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Jeune nation dans la presse

 

Novembre 2014

-Diffusion sur Slate d’un article retraçant l’histoire de l’Œuvre française, évoquant Jeune nation le 21 novembre 2014 : Nicolas Lebourg,  « L’Œuvre française, une longue marche sous le signe de la croix celtique« , Slate, 21 novembre 2014.

« Ils contestent depuis le départ la légitimité de ces mesures et revendiquent de persévérer dans leur action politique. Depuis la dissolution de leurs groupes, ils s’expriment à travers un site internet baptisé Jeune Nation, soit le nom d’une des premières moutures de l’Œuvre… interdite il y a près de six décennies. Cette attitude est, il est vrai, parfaitement cohérente avec l’histoire de leur mouvement, plusieurs fois interdit donc, toujours continué pourtant. Une groupement dont les fondations datent de l’Epuration peut-il encore perdurer? Son histoire participe de la réponse à cette question. »

slate-jn

-À l’annonce de la mise en examen d’Yvan Benedetti puis d’Alexandre Gabriac, les 19 et 20 novembre 2014, Jeune nation est cité à plusieurs reprises par de nombreux médiats, nationaux et lyonnais, tous se basant sur une dépêche AFP reprenant des informations de 2013 :

« Alexandre Gabriac, autre représentant de l’ultra-droite lyonnaise, est, selon l’ex-dirigeant de l’Oeuvre française, convoqué jeudi après-midi devant le juge dans la même affaire. Après la dissolution de leurs mouvements, tous deux ont notamment réactivé en août 2013 le site internet «Jeune nation», enregistré au nom d’Yvan Benedetti et dans lequel ils revendiquent une «information sans concession». Ce site, qui porte le nom d’un précédent mouvement de Pierre Sidos interdit en 1958, indique l’agenda des deux hommes et fait régulièrement état de «rencontres militantes». »

indique ainsi Rue89 Lyon (« L’ultranationaliste Yvan Benedetti mis en examen pour reconstitution de ligue dissoute« ) avec LyonMag, MLyon, Lyon Capitale et Le Figaro, 20 Minutes, Le Monde, Le Parisien, etc. À l’international, JN a été évoquée par le site Vice (« France’s ‘Favorite Fascist’ Is in Trouble for Restarting a Banned Hate Group »).

« Benedetti — who describes himself on Twitter as the « President, against insurmountable odds, of Oeuvre Française, a movement banned by the socialist dictatorship » — has been flaunting the government ban and keeping the group active through its website, Jeune Nation. »

-Quelques jours avant l’annonce de la mise en examen d’Yvan Benedetti pour maintien ou reconstitution de ligue dissoute, Jeune nation est évoqué dans un article des Inrocks, repris dans notre journal du 15 novembre sous le titre : « Selon un « politologue », Jeune nation prouve que les dissolutions ne servent à rien »

Jeune nation est un médiat qui existe depuis plus de 50 ans. D’abord distribué sous format papier, il fut dès les années 1990 disponible au format numérique, connaissant certaines interruptions jusqu’à nos jours. Malgré cela pour un « politologue » officiel aux connaissances presque aussi approximatives que celles des journalistes des Inrocks, c’est le développement de Jeune nation qui explique que les prétendues dissolutions prononcées par Manuel Valls contre l’Œuvre française, mouvement crée dix ans après le journal, et les Jeunesses nationalistes, créées cinquante ans plus tard, n’ont eu aucun effet.

« Pour Stéphane François pourtant, la dissolution de ces groupes n’a pas l’effet escompté :

“L’interdiction des partis ne sert à rien, on l’a vu après le tragique épisode Clément Méric. Le groupe Jeunesses nationalistes d’Alexandre Gabriac et Yvan Benedetti s’est reformé dans la foulée en prenant un nouveau nom, “Jeune Nation” du nom d’un mouvement lancé par Pierre Sidos en 1949 et interdit par le général de Gaulle. Il y a aussi l’exemple de la Tribu Ka, mouvement qui se présentait comme “défenseur du peuple noir”, lancé par Kemi Seba en 2004. Il a été dissous par décret en juillet 2006. Mais qu’a fait Kemi Seba mais moins d’un an après ? Il a annoncé la création d’un nouveau groupe, en changeant uniquement le nom. Dissoudre un groupe reste un geste fort, mais qui au final victimise les personnes visées.” »

 

inrock-jeune-nation

 

Le Point a enquêté sur le Jour de Colère se demandant pourquoi Jeune nation (et Dieudonné) ne figuraient pas dans la liste des soutiens officiels à la manifestation

« Oui, mais derrière ces noms farfelus se cachent d’autres mouvements plus connus du grand public. Parmi lesquels figurent le parti de l’Innocence, fondé par Renaud Camus (un écrivain proche de l’extrême droite), des associations issues de la Manif pour tous, ou les Bonnets rouges transfrontaliers… Plus étonnant, la liste des signataires publiée sur le site du collectif n’est pas exhaustive. Jeune Nation, un site internet lié à la mouvance nationaliste qui en fait la promotion, n’a pas droit de cité. Dieudonné, qui a également appelé ses fans à gonfler les rangs, est lui aussi absent… Oubli manifeste ou étourderie ? « Tous les soutiens affichés sur notre site web sont nos partenaires officiels. Ils se retrouvent dans notre manifeste et ont accepté notre charte », se défend Jour de colère. Tout en reconnaissant : « D’autres mouvements ont relayé notre appel, sans que nous ayons été prévenus. » Mais, pour autant, les organisateurs ne comptent empêcher « personne de participer au rassemblement » ». (http://www.lepoint.fr/societe/jour-de-colere-un-mouvement-reactionnaire-24-01-2014-1783807_23.php)

 

Janvier 2014

Le Point a enquêté sur le Jour de Colère se demandant pourquoi Jeune nation (et Dieudonné) ne figuraient pas dans la liste des soutiens officiels à la manifestation

« Oui, mais derrière ces noms farfelus se cachent d’autres mouvements plus connus du grand public. Parmi lesquels figurent le parti de l’Innocence, fondé par Renaud Camus (un écrivain proche de l’extrême droite), des associations issues de la Manif pour tous, ou les Bonnets rouges transfrontaliers… Plus étonnant, la liste des signataires publiée sur le site du collectif n’est pas exhaustive. Jeune Nation, un site internet lié à la mouvance nationaliste qui en fait la promotion, n’a pas droit de cité. Dieudonné, qui a également appelé ses fans à gonfler les rangs, est lui aussi absent… Oubli manifeste ou étourderie ? « Tous les soutiens affichés sur notre site web sont nos partenaires officiels. Ils se retrouvent dans notre manifeste et ont accepté notre charte », se défend Jour de colère. Tout en reconnaissant : « D’autres mouvements ont relayé notre appel, sans que nous ayons été prévenus. » Mais, pour autant, les organisateurs ne comptent empêcher « personne de participer au rassemblement » ». (http://www.lepoint.fr/societe/jour-de-colere-un-mouvement-reactionnaire-24-01-2014-1783807_23.php)

– Jeune nation ayant relayé les initiatives citoyennes de Sauvons Calais est cité dans un article de l‘Huffington Post (journal lié au groupe Le Monde :

« Indiquant vouloir « remettre Calais dans le droit chemin », le collectif renvoie sur son site internet vers les pages Facebook de plusieurs organisations d’extrême-droite nationaliste comme Action Solidarité Citoyenne ou Jeune Nation. Le groupe revendique entre autre « l’expulsion des migrants du territoire Calaisien », « l’arrêt de toute subvention attribuée aux migrants », l’interdiction du mouvement « No Border » (des militants qui viennent en aide aux migrants), ou « l’arrestation de toute personne qui héberge des clandestins ». » (http://www.huffingtonpost.fr/2014/01/11/sauvons-calais-manifestation-collectif-extreme-droite_n_4579753.html)

 

Août 2013

A l’occasion de la reprise du site Jeune nation, en préparation depuis plusieurs mois, l’équipe de Droites extrêmes consacre un article au sujet (fourmillant d’erreurs et d’inexactitudes).

« Ce n’est pas une surprise. Yvan Benedetti, président de l’Œuvre française, et Alexandre Gabriac, chef des Jeunesses nationalistes, ont réactivé le site Internet de Jeune nation  après la dissolution de leurs deux organisations le 24 juillet. Ce site existait mais il était laissé en déshérence depuis de longs mois. Un compte Twitter a aussi été ouvert lundi 5 août. » (http://droites-extremes.blog.lemonde.fr/2013/08/07/yvan-benedetti-et-alexandre-gabriac-reactivent-jeune-nation/)

L’information fut reprise par Le Figaro dans une brève.

 Le site Internet « Jeune nation » a été réactivé par Alexandre Gabriac, chef des Jeunesses nationalistes et Yvan Benedetti, président de l’Œuvre française, après la dissolution par le gouvernement de leurs deux organisations le 24 juillet, informe le blog du Monde Droite(s) Extreme(s).
Ce site existait mais il était inactif depuis plusieurs mois. Un compte Twitter a aussi été ouvert lundi 5 août. (http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/08/97001-20130808FILWWW00262-le-site-internet-jeune-nation-reactive.php)

et par LyonMag et MLyon (http://www.mlyon.fr/106764-prives-de-leurs-groupes-d-extreme-droite-gabriac-et-benedetti-reactivent-jeune-nation.html) :

Lors de la dissolution des Jeunesses Nationalistes et de l’Œuvre française le 24 juillet dernier, les deux leaders d’extrême-droite avaient affirmé de ne pas vouloir en rester là. Ils ont réactivé cette semaine le site internet « Jeune nation » pourtant inutilisé depuis plusieurs mois. Ce site, enregistré au nom d’Yvan Benedetti, ancien président de l’Œuvre française, contient l’agenda de ce dernier ainsi que d’Alexandre Gabriac. Jeune nation était à l’origine un mouvement fondé en 1949 par les frères Sidos visant à la « constitution d’un État national, autoritaire, populaire et hiérarchique ». L’un d’eux, Pierre Sidos, fondera des années plus tard l’Œuvre française. Jeune nation a été dissous en 1958. (http://www.lyonmag.com/article/56388/prives-de-leurs-groupes-d-extreme-droite-gabriac-et-benedetti-reactivent-jeune-nation)

 

Mars 2013

Avec l’arrivée du printemps, les autocollants de Jeune nation fleurissent un peu partout en France, comme à Châlons :

Classée à l’extrême droite, le mouvement « Jeune Nation  » vient de faire son apparition ce week end dans notre ville. Plusieurs auto-collants ont été apposés par quelques militants de cette organisation ces derniers jours.

vivre_a_chalons_jeune_nationUn mouvement qui semble du moins localement être en concurrence avec  » Génération identitaire » qui apparaît aussi régulièrement au cœur de la ville avec des auto-collants.

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