Plus critiquable est cette propension à se focaliser sur les victimes, alors que ce qui, en matière de malfaisance, fait toute le différence, n’est pas la nature des victimes mais celle de leurs bourreaux et de leurs méthodes.
Entre ceux qui s’en prennent aux ennemis de leur peuple en temps de guerre, et ceux qui massacrent leur propre peuple en temps de paix, tels les Lénine, Staline, Pol Pot, la hiérarchie dans l’horreur et dans le crime n’est-elle pas évidente ?
Ainsi en est-il des cent cinquante millions de victimes du communisme massacrées par leurs propres dirigeants…
Mais que l’on considère apparemment comme cent cinquante millions de sous-hommes, dans la mesure où, depuis plus de soixante-dix ans, la notions de « crime contre l’humanité » est trustée par un petit nombre de victimes apparemment d’essence humaine supérieure…. à tel point qu’en prononcer le nom relève du sacrilège !
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Plus critiquable est cette propension à se focaliser sur les victimes, alors que ce qui, en matière de malfaisance, fait toute le différence, n’est pas la nature des victimes mais celle de leurs bourreaux et de leurs méthodes.
Entre ceux qui s’en prennent aux ennemis de leur peuple en temps de guerre, et ceux qui massacrent leur propre peuple en temps de paix, tels les Lénine, Staline, Pol Pot, la hiérarchie dans l’horreur et dans le crime n’est-elle pas évidente ?
Ainsi en est-il des cent cinquante millions de victimes du communisme massacrées par leurs propres dirigeants…
Mais que l’on considère apparemment comme cent cinquante millions de sous-hommes, dans la mesure où, depuis plus de soixante-dix ans, la notions de « crime contre l’humanité » est trustée par un petit nombre de victimes apparemment d’essence humaine supérieure…. à tel point qu’en prononcer le nom relève du sacrilège !