La « semaine rouge » est le nom donné à la semaine du 30 mai au 5 juin 1944, pendant laquelle ont eu lieu d’importants bombardements stratégiques sur Rouen et son agglomération…
Ces bombardements ont été effectués par des bombardiers anglais et américains, et ont fait 400 victimes dans Rouen seule.
Entre la victoire de l’Allemagne dans la bataille de France et la libération du pays, les Alliés ont bombardé de nombreux sites en France.
En tout, 1.570 villes ont été bombardées par les anglo-américains entre juin 1940 et mai 1945.
Le nombre total de morts civiles est de 68.778 hommes, femmes et enfants.
Rappelons que les bombardements Allemands sur la Grande-Bretagne n’ont causé dans l’ensemble du pays, durant la bataille d’Angleterre, que près de 40.000 morts et environ cent mille blessés…
Un aspect trop souvent (presque toujours) occulté de la sale guerre dite de libération (2000 † en un
seul coup Porte de la Chapelle). Jamais les « yankees » n’ont voulu « libérer » les froggies », il s’agissait de les « envahir » (voir les titres de la presse anglo-saxonne de l’époque) et de les occuper (l’AMGOT).
Quant on aura comprit que la seconde guerre mondiale n’a pas été faite contre l’Allemagne mais contre la France on aura fait un grand pas d’intelligence.
Les choses sont simples à comprendre : Traité de Versailles qui jette le peuple allemand dans une misère noire (800 000 enfants morts dans les bras de leurs mères!) > Recherche du sauveur suprême > celui-ci gazé de 14-18 ne veut plus la guerre, mais on l’oblige. Munich c’était un piège pour qu’il retire les Sudètes de la domination malfaisante des Tchèques, afin qu’il ait un réservoir de soldats plus grands pour envahir la France. La Pologne ? Les polonais torturaient et déportaient les paysans allemands de Silésie. Tout ça c’est le piège qui se referme.
Obligé donc de refaire une armée pour protéger son peuple d’un retour du traité de Versailles, celui-ci fit ce qu’on voulait qu’il fasse : une nouvelle armée. Les prototypes essayés chez les Soviets, le minerait de fer lorrain vendu par la France jusqu’en 1937, puis par la Suède, sans qu’aucun minéraliers allemand ne soit coulé par la Royale Navy qui surveillait les côtes.
Bref, quand la guerre éclate les Anglais filent à l’anglaise comme ils ont l’habitude, non sans avoir mitraillé les colonnes de réfugiés sur les routes de France, puis détruit sa Marine à Mers el Kébir et a Toulon où elle fut obligée de se saborder parce que les américains avaient miné le port avec des mines flottantes larguées d’avions la veille. (A Dakar c’était l’or de la banque de France cachée au Sénégal qu’ils recherchaient.)
Puis ce fut les villes françaises bombardées « par erreur » alors que les pilotes se vantaient de pouvoir jeter une bombe dans un tonneau grâce à la précision de leurs nouveaux appareils de guidage.
Mais la France est insubmersible.
Baudouin
Les libera-tueurs s’en sont donnés à coeur joie. Pas descendu beaucoup d’allemands dans ces bombardements « stratégiques » mais des civils français. Spécialité du pourri Churchill, après Mers el Kebir, et avant les bombardements génocidaires de l’Allemagne culminant à Dresde
Le relevé des crimes de guerre et crimes contre l’humanité imputables aux judéo-alliés ne serait pas complet si l’on oubliait les 18 000 viols, souvent accompagnés d’assassinats des victimes ou de leurs proches, perpétrés par les nègres américains en Europe :
– 3 000 en Grande Bretagne, en quelques années…
– 3 500 en Normandie, en quelques mois…
– 11 500 en Allemagne…
NI OUBLI NI PARDON !