« Les Maçons en sommeil pourraient se réveiller.
En les éliminant, nous sommes sûrs qu’ils dormiront pour toujours »
Duce Benito Mussolini, 7 octobre 1930
Bernard Faÿ est né le 3 avril 1893 à Paris.
Il soutient en 1924 une thèse de doctorat ès lettres sur L’Esprit révolutionnaire en France et aux États-Unis à la fin du XVIIIe siècle. Il est nommé chargé de cours à la faculté des Lettres de Clermont-Ferrand avant de devenir professeur dans plusieurs universités.
Il devient un spécialiste du XVIIIe siècle, particulièrement des rapports entre la France et les États-Unis, ce qui l’amène à bien connaître la littérature américaine de son époque. Il est professeur aux universités de Columbia puis de l’Iowa et effectue plus de vingt séjours aux États-Unis durant l’entre-deux-guerres. Sa brillante carrière universitaire culmine avec son élection en 1932 comme professeur de civilisation américaine au Collège de France, à moins de 40 ans. Il en sera démissionné en septembre 1944.
Bernard Faÿ est nommé administrateur général de la Bibliothèque nationale le 6 août 1940 à la suite de la destitution, par l’État français, de Julien Cain qui a déserté la France le 19 juin 1940 à bord du paquebot Massilia et qui est juif. Il applique au sein de la Bibliothèque nationale les règlements édictés par le Maréchal Pétain : acquisition des bibliothèques appartenant à des communistes ou des juifs déchus de la nationalité française, refus des lecteurs juifs, suspension des personnels juifs, etc.
Sa dénonciation du complot judéo-maçonnique semble aux yeux des Allemands suffisamment solides pour que son nom figure dans la liste de noms sélectionnés proposée le 1er mars 1941 à Otto Abetz pour diriger l’Office central juif.
Bernard Faÿ veut donner à la Bibliothèque nationale une véritable place au sein du nouveau régime qu’il soutient totalement. Il remet pour cela au Maréchal Pétain, en 1943, un rapport où est défini le rôle de la Bibliothèque nationale dans l’effort de redressement national.
Une « Bibliothèque d’histoire de la France contemporaine » (BHFC) instituée au sein de la BN au début de 1941 et dont la direction est confiée à Adrien Dansette, est chargée de l’étude des documents qui ont été confisqués dans les loges maçonniques interdites. 64 000 noms de maçons sont fichés par « l’équipe des sociétés secrètes ». 18 000 noms sont publiés à partir d’août 1941. 3 000 fonctionnaires maçons, infiltrés, perdent alors leur emploi.
Bernard Faÿ joue un rôle très important dans la politique anti-maçonnique de l’État français qui expose l’influence négative sur la France, causant son abaissement tant sur le plan intérieur qu’extérieur. D’opinion politique royaliste, Bernard Faÿ appartient au courant contre-révolutionnaire qui se reconnaît dans le discours rural de l’État.
Après les mesures d’interdiction du Grand Orient De France et des autres sociétés secrètes, il est nommé chef du Service des sociétés secrètes (SSS), chargé de recueillir, de classer et d’étudier toutes les archives saisies dans les loges.
Pour lutter contre ce « parasite monstrueux », Bernard Faÿ publie pendant quatre ans une revue, Les Documents maçonniques avec comme rédacteur en chef le catholique traditionaliste Robert Vallery-Radot, qui démontre la désastreuse influence de la franc-maçonnerie sur la France ; il fait tourner un film, Forces occultes, organise des conférences, une grande exposition au Petit Palais en octobre-novembre 1941, et crée à Paris un musée permanent des sociétés secrètes.
Bernard Faÿ est arrêté le 19 août 1944 dans son bureau, à la Bibliothèque nationale.
Le tribunal le condamne aux travaux forcés à perpétuité, à la confiscation de ses biens et à l’indignité nationale. Gertrude Stein et Alice B. Toklas interviennent vainement en sa faveur, convaincues qu’il leur a sauvé la vie pendant l’Occupation. Après la mort de Gertrude Stein, en juillet 1946, Alice B. Toklas continuera d’intercéder pour obtenir la grâce de Bernard Faÿ.
Alors qu’il est soigné à l’hôpital d’Angers en 1951, Bernard Faÿ parvient à s’échapper et à quitter la France pour trouver refuge en Suisse à Fribourg, à la Villa Saint-Jean. Il enseigne au Collège Saint-Michel.
Il est finalement gracié en 1959 par le président Coty.
Bernard Faÿ a utilisé le nom de plume d’Elphège du Croquet de l’Esq.
Il décède le décembre 1978 à Tours.
Une messe de requiem est célébrée à Paris, en l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet, par Mgr Ducaud Bourget, en présence de Mgr Lefebvre.
Merci à vous pour tous ces renseignements historiques précieux qu’on ne nous donnera jamais dans l’enseignement public aujourd’hui.
J’ai fait l’école buissonnière étant jeune, et continue grâce à vous à apprendre notre histoire!
Que Dieu vous bénisse! Cordialement,Lidwine
J’ai lu ce texte sur Pro Fide le 31 décembre 2020. je vous en remercie et reprends les mots de Lydwine Dobardan, je suis bac – 2 et ai gardé toute ma souplesse d’esprit et une grande curiosité en tous domaines!! Né en 51, j’ai pu passer des concours de la FP, jusqu’à cad-sup à FT. La nation est en train de se refaire une santé!! Le garde en mémoire votre site!! Merci encore!!
« » »LE MARÉCHAL PETAIN ETAIT FRANC-MAÇON ! Les archives secrètes de la Stasi n’ont pas toutes été restituées au G.O, c’est ce que révèle le journal Bild dans sa dernière édition. Un carton, cote FM/Frankreich/2789/Ziz vient d’être exhumé, son contenu est explosif : Philippe Pétain était affilié au GEOFL et fréquentait secrètement la Loge Oasis à l’Orient de Villeneuve-Loubet » » »
Je suis le petit cousin de pierre BOISSON ( troisième personnage de l’état secrétaire general de toutes les colonies française ( Haut-Commissaire de l’Afrique française) en 1941 gouverneur general de l’AEF , de L’ AOF et de l’amiral Darlan aux troisième degrés+deux generation descendante!, puis coussin de Nicole questiaux par deux de son mari et je l’ais étudier de façon scrupuleuse! A la fameuse Nicole questiaux qui dirigés les inter loges d’Europes en 1982 et fessais tous sous mitterand! ; tous étais sous l’obligation dans cette saloperie de république d’être Franc-maçon de façon certaine primordiale et absolu surtout dans les fonctions les plus centralisées: defense renseignement, police; ne croyez en rien les histoires de la contre révolution nationale c’est du pipo!!!tous les ennemis secret de ces personnages ont étés exterminer sous tous les régimes secrètement et depuis les orléanistes aux bonapartiste et dans tous les groupuscules nationaliste en France l’idéologie satanique maçonnique y a fait ses dégâts!!!!La france est sous le gout depuis 1760 de cette luciférative!!!