On a coutume de dire que les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, Il est vrai que l’homme est bien peu de choses et qu’il est vite oublié de ses semblables, y compris de ses proches. A relire Bardèche, on s’aperçoit pourtant qu’il n’a pas été remplacé. Et que des intellectuels de cette trempe, de cette lucidité, de ce courage et de ce talent manquent terriblement dans le désert où il nous est donné de vivre.
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