L’Algérienne Yamina Benguigui, ancienne ministre de la Francophonie François Hollande, sera jugée en correctionnelle dans l’affaire de sa fausse déclaration présumée de patrimoine. Selon les enquêteurs, ses déclarations de patrimoines alors qu’elle était ministre, sont entachées d’irrégularités.
Elle aurait caché sa participation dans une société installée en Belgique pour échapper au fisc français, G2, une société ayant la particularité d’avoir financé exclusivement ses propres « films » et documenteurs – des œuvres de propagandes exaltant l’invasion de la France telles qu’Inch’Allah dimanche, Femmes d’islam, Le Grand Voyage de Lalla Amina, Aïcha, Mémoires d’immigrés, l’héritage maghrébin, Un jour pour l’Algérie, Le Jardin parfumé, Aïcha, Mohamed, Chaïb… Engagés pour la France, 9-3 Mémoire d’un territoire, etc.
G2 détenait à 99 % sa propre société de production, Bandits production. Yamina Benguigui est également accusée de n’avoir pas déclaré la vente de ses parts dans le capital (20 %), ce qui lui avait rapporté 430 000 euros.
Les révélations de ces faits n’avaient pas conduit à son éviction du gouvernement Ayrault. Yamina Benguigui est d’ailleurs toujours membre du conseil de Paris, comme Thierry Lepaon est toujours à la tête de la CGT, le corrompu Serge “Dassaut” Bloch est toujours sénateur de leur république corrompue et propriétaire du Figaro, Thomas Thévenoud député de leur République, Jérôme Lavrilleux député de leur Union européenne, etc.
Ces faits interviennent après la très grave mise en cause du proche conseiller de François Hollande Faouzi Lamdaoui dans diverses affaires de corruption.