Le « révolutionnaire » d’extrême gauche de Mai 68 est devenu le parfait parvenu. Ancien dirigeant de parti politique, ancien député européen, journaliste radio, il illustre l’inversion totale de la société où des individus improductifs et parasites, des destructeurs haineux sont devenus l’élite de leur société.
Daniel Cohn-Bendit, c’est bien entendu d’abord la pédocriminalité : en plusieurs occasions, sur papier comme à la télévision, il s’est vanté d’avoir eu des relations sexuelles avec de très jeunes enfants.
« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d’autres gosses ?” Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. […] J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi. »
écrivait-il dans Le Grand Bazar en 1975.
« Je viens à 9 heures du matin retrouver mes huit petits gosses entre 16 mois et 2 ans. Je vais leur torcher le cul, je vais… les chatouiller, ils me chatouillent, on se fait des papouilles. […] Vous savez que la sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. […] Quand une petite fille, de 5 ans, commence à vous déshabiller c’est fantastique ! C’est fantastique parce que c’est un jeu absolument érotico-maniaque ! »
précisait-il dans une émission sur la télévision publique en avril 1982.
Cet étranger ennemi de l’Europe s’est par ailleurs illustré dans la défense de la légalisation des drogues, de leur vente comme de leur usage, par l’incitation à l’invasion de l’Europe et au génocide des Blancs.
C’est ce personnage, qui dans toute société normale croupirait aujourd’hui dans des geôles si ses victimes l’avaient autorisé à rester en vie, qui vient de recevoir le titre honorifique de docteur honoris causa de l’université de Nanterre. À l’université à l’époque, l’asocial juif avait été incapable d’obtenir simplement son DEUG. Grâce à la complicité de Charles De Gaulle notamment, il n’avait pas été expulsé de l’université malgré sa participation à la tête de la « révolution juive » de Mai 68 (avec ses coreligionnaires Alain Geismar, Bernard Kouchner, Alain Finkielkraut, Tiennot Grumbach, Marc Kravetz, etc.).
Il avait déjà été nommé membre du conseil d’administration de cette faculté en 2012.