Jean de Brem, né le 2 août 1935 dans le 6e arrondissement de Paris.
Démobilisé après la guerre d’Algérie (sous-lieutenant au 2e RPC), il participe à des journaux tels que Paris Match, Combat mais aussi L’Esprit public, écrit plusieurs recueils de poèmes, se lance dans la rédaction d’un ouvrage sur l’histoire de l’Europe, milite dans les milieux pro-Algérie française.
Il rejoint l’OAS dès sa fondation.
A l’occasion de l’assassinat de Jean-Marie Bastien-Thiry, il publie une version française du chant allemand Ich hatt’ einen Kameraden, sous le titre La Cavalcade. Le 6 mars 1963, Jean de Brem abat devant son domicile le banquier Henri Lafond, président de la Banque de l’Union parisienne (BUP), qui avait refusé de témoigner en faveur des accusés lors des procès du Petit-Clamart, lui assénant avant de tirer : « De la part de Bastien-Thiry ! ».
Le 18 avril 1963 à Paris, sur la montagne Sainte-Geneviève, il est abattu par la police, alors qu’il tentait s’enfuir. Les policiers iront égorger son cadavre pour tenter de lui arracher le message qu’il vient d’avaler.
Son histoire de l’Europe, de plus de 600 pages, a été publiée à titre posthume par les Éditions de la Table ronde : Le testament d’un Européen (1964).
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Un question… Une seule !
Alors qu’il y a des journalistes pour excuser, des juges pour relâcher, un nombre exponentiel d’auteurs de viols, d’assassinats odieux touchant même des bébés dans leurs poussettes,… Alors que les raisons pour réagir enfin se multiplient…
Où sont les Jean Marceteau de Brem, parmi les jeunes d’aujourd’hui ?
Derrière les claviers de leurs ordinateurs ?
Une réponse, une seule, à votre question : personne ne veut mourir pour sauver une civilisation qui à court terme finira dans les poubelles de l’histoire. Pour l’instant, le sacrifice ne peut être qu’un acte de vengeance personnelle, ou par délégation, comme dans le cas de Jean de Brem.
Croyez bien que dès l’apparition des premiers signes d’effondrements une armée de hordes et de francs -tireurs se levera pour un carnage titanesque et vous verrez les élites de ce monde fuirent comme des lapins.
Malheureusement ce sera la guerre et la trahison de tous contre tous.
Il faudra passer par là pour une régénération totale.
PROFESSEUR ?
Vous vous exprimez effectivement comme un professeur…
Moi comme le tueur de l’OAS que j’ai été et que je ne renierai jamais, quelles qu’en soient pour moi les conséquences…
E je crois, quant-à moi, que l’explication la plus évidente de notre décadence est donnée par la biologiste Rachel Carson, dans un livre essentiel « Le printemps silencieux » qui explique comment plusieurs centaines de substances chimiques (209 à l’époque), dites PCB, perturbent la différenciation des foetus au plan de la sexualité. Et cela dans tous les pays industrialisés… donc notamment en Europe et en France.
Pour faire bref : les femmes sont de moins en moins des femmes… et les hommes de moins en moins des hommes !
Ce qui est à l’origine de prétendus choix de société qui ne sont en réalité que les conséquences logiques de pathologies hormonales.
Mais ce qui explique surtout qu’il y ait trop de « professeurs » et de moins en moins de « brutes » comme moi pour penser qu’il est des circonstances où COMMENCER A REFLECHIR C’EST CESSER D »ETRE UN HOMME !
J’ai tort, « professeur » ? Jean de Brem aussi ? Ainsi que les 130 fidèles de l’OAS tombés au combat ?
Assurément… puisque vous le dites…
Mais si, en 2024, quelques dizaines de milliers de jeunes Français de souche AVAIENT AUSSI TORT QUE JEAN DE BREM en 1963, la vie serait intenable pour ceux qui trahissent notre peuple.
Et nous serions au pouvoir sur la terre de nos aïeux.
La République est heureuse de pouvoir compter sur ses salauds de tous acabits pour éliminer les meilleurs français et promouvoir les traîtres.