Ne jamais oublier : le métissage obligatoire, théorie exprimée par l’euro-atlantiste Nicolas Sarkozy
« L’objectif, c’est de relever le défi du métissage. […] Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudrait que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore » (Nicolas Sárközy, le 17 décembre 2008 à l’École polytechnique).
Mise en pratique outre-Atlantique
À Millington, près de Memphis, dans le Tennessee : une mère menacée et son fils blanc blessé, car pas assez soumis au métissage.
Pour ne pas avoir souhaité jouer au football après les cours avec une bande de six, majoritairement africains, cet adolescent de quinze ans a subi une agression surprise en classe.
Résultat : une clavicule fracturée, le port d’une minerve et de multiples contusions.
De toute évidence, « le facteur racial a joué », y compris dans les menaces adressées à la mère de l’enfant devant son domicile.
Cependant, le groupe haineux n’étant pas totalement africain, l’affaire n’a pas été officiellement jugée raciste. Le directeur d’école, gêné par les questions de la presse, a même refusé de confirmer les faits pourtant avérés, après n’avoir apporté aucun soin à son élève blanc malgré la violence des coups reçus.
Quelques autres crimes récents contre des Blancs aux États-Unis d’Amérique
Un Blanc tué au couteau par… une Noire
À Juneau, dans le Wisconsin, l’Africaine Kriscilla K. McHenry a été reconnue coupable et « condamnée » à seulement vingt ans de prison pour avoir poignardé à mort l’Européen Michael Soeller.
Elle a prétendu avoir été agressée sexuellement par cet homme… dans une chambre d’hôtel routier (motel), sans préciser comment elle s’était retrouvée là en sa compagnie.
Or, elle est décrite comme « très manipulatrice, malhonnête, sans remords et globalement de faible moralité ». De plus, elle a également été condamnée à rembourser 14 549 dollars.
Il est donc probable qu’elle a attiré un homme naïf à l’hôtel pour le poignarder, puis le délester de ses biens.
N’ayant pas subi une peine rationnelle, elle pourra récidiver dans vingt ans.
Un chauffard noir habitué à conduire sans permis prend la fuite après avoir heurté mortellement un Blanc… leur Justice le laisse libre
Après avoir finalement choisi de plaider coupable, le chauffard africain qui a tué un Blanc puis s’est enfui pour réparer son véhicule, et ainsi effacer les traces de son forfait, écope de deux ans de… liberté conditionnelle !
Pourtant, l’avocat de Mark Fleming a osé déclarer que son client ne se souvenait pas avoir heurté Roy Yeck (alors pourquoi plaider coupable et prétendre qu’il regrette ce qui s’est passé ?). De plus, Fleming avait déjà été arrêté 14 fois alors qu’il conduisait malgré la suspension de son permis de conduire… suspension, donc, pour encore d’autres antécédents…
Il pourra ainsi récidiver (à nouveau) dès qu’il le voudra.
Un ‘jeune’ tire sur une femme blanche… pour s’amuser
Le jeune tireur de coups de feu « pour s’amuser » Raymond Brown vient d’être interpellé pour avoir blessé grièvement, d’une balle dans la poitrine, une piétonne qui rentrait de son travail. Il occupait le siège passager avant d’un véhicule conduit par l’un de ses congénères, lorsqu’il avait d’abord crié le nom de cette femme, puis l’avait prise pour cible.
Un extrémiste noir tue un jeune policier blanc… qui voulait l’aider
Plutôt que d’arrêter un chauffard africain qui roulait sans permis et en excès de vitesse, un jeune policier blanc a préféré lui laisser trouver un hôtel pour passer la nuit avec ses passagers, deux femmes et deux enfants.
Mal lui en a pris puisque celui qu’il voulait aider a soudainement redémarré sa voiture, conduisant le policier en patrouille à le poursuivre pour l’interpeller.
Mais, cette fois, le jeune policier, victime de sa tolérance, a été abattu au pistolet alors qu’il immobilisait sa voiture contre celle du fugitif.
Son assassin s’était rendu aux obsèques du gangster supprimé Michael Brown, à Ferguson, après l’élimination duquel est apparu le mouvement #BlackLivesMatter. Il avait aussi participé à des manifestations où il avait levé les mains comme pour signifier qu’il n’était pas armé face à la police, mais également, pas avare de contradiction, pris la pose avec des policiers.
Après les opérations de recherche, Joseph Thomas Johnson-Shanks, ayant refusé de lâcher son arme face aux autres policiers, a été mis définitivement hors d’état de nuire.
Ferguson : un activiste noir arrêté pour avoir tiré sur deux policiers
Dans la ville de Ferguson, sous tension raciale accrue par les déclarations des médiats et de leur président Barack Obama, un autre extrémiste #BlackLiveMatters a été arrêté, après avoir tiré en direction de deux policiers.
Sa ligne de défense consiste à déclarer qu’il ne visait pas les forces de l’ordre, mais qu’il échangeait des coups de feu avec deux caïds d’un gang criminel qui se seraient trouvés entre lui… et la police. Évidemment, les deux autres auraient fait feu en premier et placé l’interpellé en situation de légitime défense, toujours selon ses dires.
Cependant, le pistolet Smith et Wesson qui a été retrouvé à son domicile sera probablement soumis à une expertise balistique et il est poursuivi pour trois activités criminelles armées et un tir depuis une voiture.
Jeffrey Leehoust Williams était déjà en liberté conditionnelle pour recel (de biens volés) et il semble qu’un mandat à son encontre venait d’être délivré après plusieurs mois passés sans pointer auprès de la police malgré son contrôle judiciaire.
Il s’était fait photographier, comme feu Michael Brown, en train de faire, avec les mains, des signes d’appartenance à un gang de malfrats.
Bref, encore un extrémiste qui appelle « racisme » le fait que la police puisse un peu limiter ses activités criminelles.
Pourquoi leurs gros médiats ne se sont-ils pas indignés de ces faits ?