KA’Éditions, 240 pages, 20 €
Claude Janvier nous plonge dans les méandres de la finance et de l’oligarchie et nous dévoile la prolifération tentaculaire du Nouvel ordre mondial… Notre planète est-elle dirigée par un groupuscule de financiers nomades et apatrides œuvrant pour l’établissement d’un gouvernement mondial ? Est-elle sous l’empire des propriétaires de Vanguard, qui n’aiment pas être sous les feux de la rampe, à savoir les Rothschild, les Orsini, les Bush, la maison royale britannique, les DuPont, les Goldman Sachs, les Soros, avec leur Open Society, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller et leurs satellites ?
Ces familles, adeptes des clubs très fermés et de l’ostracisme social, sont parfaitement identifiées dans la chronologie élaborée par l’auteur. Leurs sociétés tentaculaires, secrètes et discrètes, ont pour but essentiel de trouver, d’enrôler et de placer, selon leurs besoins, une élite politicienne à la tête des pays de leur choix, pour exécuter à la perfection les termes de leur agenda établi sous l’autorité du Forum économique mondial de Klaus Schwab et consorts.
Que ce soit dans le secteur financier, économique, écologique, alimentaire, ou dans celui des Big Pharma, des médias mainstream, des fonds de pensions et d’investissements, notamment de BlackRock et de Vanguard, cette hyperclasse, appuyée par des sociétés-écrans, des fondations suspectes, dont celle de Bill et Melinda Gates, des ONG ambivalentes, ainsi que par des mouvements sociaux des minorités (Genre, LGBétisme, Wokisme, Black Lives Matter, etc.), agit pour mettre en esclavage le plus grand nombre de citoyens du monde et rendre leur quotidien infesté par des pandémies, des crises de tout genre, des guerres et des lendemains qui déchantent !
Alors que rien ne semble pouvoir arrêter ce mastodonte, les voix de plusieurs « complotistes » sont parvenues à le freiner, voire à le paralyser, dans sa course destructrice de l’humanité, en dépit des moyens colossaux dont il dispose…
Au fil de la lecture de cet ouvrage, chacun se fera sa propre opinion sur l’implication ou pas de cette caste scélérate, qui ne cesse de faire polémique en France et ailleurs. Toujours est-il que les preuves de sa culpabilité existent bel et bien. Il fallait les assembler et les dévoiler.
Extrait :
« Si des programmes réels étaient mis en place dans tous les pays, il serait évident que ces fléaux n’existeraient plus. Mais l’argent ne sert qu’à alimenter ceux qui en ont déjà. Quant aux fonds humanitaires, ils disparaissent bien souvent dans la poche de dirigeants plus soucieux de s’acheter la dernière Lamborghini à la mode plutôt que de faire creuser des puits dans les zones infertiles ou développer des programmes scolaires efficaces. Cette élite et ses exécutants ne sont pas des altruistes. Au contraire, leurs âmes sont noires et, même s’ils portent un costume trois-pièces, cela ne les dédouane pas. Leurs objectifs sont uniquement le contrôle, la puissance et l’argent. Tous les secteurs de production existants dans une société sont gangrenés par des programmes malveillants initiés par cette élite
mondiale financière apatride. À la manière d’un « cheval de Troie », des « virus contaminants » sont distillés dans les milieux culturels, sociaux, industriels et éducatifs. Aujourd’hui, il est donc impossible de rester indifférent à des faits prouvés, à des enquêtes approfondies, à de vrais chiffres et, de temps en temps, à un zeste d’humour… Au fil de la lecture de cet ouvrage, chacun pourra se faire une opinion sur l’implication ou pas de la famille Rockefeller, des banquiers Rothschild et Goldman Sachs, de la Banque d’Angleterre, de la City de Londres, de Georges Soros et de son Open Society, de la famille Bush, des GAFAM, de Bill et Melinda Gates, des fonds de pensions et d’investissements, tels que BlackRock et Vanguard, des laboratoires pharmaceutiques, de la médecine allopathique, de la psychiatrie, des grands groupes agroalimentaires, de Monsanto-Bayer, des médias de masse, des services secrets et des agences de renseignements. Les preuves existent. Il fallait les assembler. Les voici.… »
L’auteur :
Claude Janvier est écrivain-essayiste. Doté d’un humour noir et disciple de Pierre Desproges, il est l’auteur de trois ouvrages à succès, dont deux sont co-écrits avec Jean-Loup Izambert. Depuis vingt ans déjà, il fouille, déterre, décortique, analyse l’actualité et se rend sur les lieux de conflits, comme en Syrie, afin de mettre à jour les véritables informations qu’il diffuse dans les nombreux médias où il intervient. Il anime, en tant que chroniqueur permanent, l’émission hebdomadaire « Libres Paroles » sur TV ADP, la télévision des esprits libres. Partisan du courant de contre-culture dans les années 1970, Claude JANVIER a développé un sentiment de méfiance envers l’État-providence et la société de consommation. En toute circonstance, il reste fidèle à sa plume alerte et à sa devise rebelle : « Je râle donc je suis ! »
Ses ouvrages :
- Un coup de gueule vaut mieux que faire la gueule, Les Éditions du Net, 2014.
- Le virus et le Président : Enquête sur l’une des plus grandes tromperies de l’Histoire, co-écrit avec Jean-Loup Izambert, IS Édition, 2020.
- Covid-19 : Le bilan en 40 questions, co-écrit avec Jean-Loup Izambert, IS Édition, mai 2022.
Disponible sur : KA’Éditions
A part les quotients intellectuels de limace – encore trop nombreux ! – qui, par crainte de l’accusation débile de « complotisme » s’interdisent de penser :
– Qu’un effet a toujours une cause….
– Qu’une politique a toujours des instigateurs et des bénéficiaires…
– Que ceux qui favorisent les carrières politiques de certains attendent évidemment une totale servilité en retour…
Je pense que nous savons tout de l’hyper classe mondialiste apatride, de ses objectifs, de ses méthodes, des gouvernements qu’elle contrôle et de ses courroies de transmission médiatiques et associatifs.
Mais l’avantage d’un tel livre, s’il est sérieusement documenté, réside dans les citations précises, les documents révélés, avec les dates et les identités de ceux qui sont concernés.
Ce qui permet de s’appuyer sur des arguments solides et circonstanciés pour défendre nos idées face à ceux qui hésitent encore à nommer l’adversaire.
Je vais donc commander ce livre à titre personnel.. avant d’en recommander l’achat aux membres de l’ADIMAD. En effet, je ne voudrais pas encourir les mêmes reproches que m’a valu la recommandation d’un livre édité par Kontre Kulture, tellement condensé qu’il était pratiquement illisible et que, comme certains, j’ai balancé mon exemplaire à la poubelle !
Il faut tout de même, en matière d’édition, un minimum de professionnalisme.
Dans l’Histoire, il y a bien eu des empires, mais ils ne sont jamais étendus si loin que ça et surtout ils n’ont jamais duré si longtemps que ça. Jusqu’à présent, aucun autocrate, aucune dynastie n’avait pu prétendre régner sur le monde.
Avec le phénomène en cours de la mondialisation, nous assistons à un événement inédit, sans précédent dans l’histoire de l’humanité : pour la première fois, nous voyons un pouvoir qui n’est pas un gouvernement constitué mais qui consiste en des gouvernants disséminés aux quatre coins de la planète, apparemment sans lien entre eux, disposer de tous les leviers du pouvoir (finance, information, éducation, législation, police, défense), et cela depuis à peine plus d’un demi-siècle, sans que personne – ou presque – n’ait rien vu venir !
C’est aussi, c’est surtout une machine infernale si bien lancée que rien ne semble plus pouvoir ni devoir l’arrêter, et on se pose la question de savoir comment un tel « miracle » a-t-il pu être possible.
Mais c’est une autre question que nous devons nous poser : quels moyens nous reste-t-il de nous opposer ?
L’action nationaliste est la réponse, mais le mode d’action ne pourra pas se limiter au cadre national. Il faudra que les nationalistes de toutes nations et de tous pays s’unissent et unissent leurs efforts en une lutte commune et concertée contre cette hydre aux tentacules mondiales.
Saurons-nous le faire, alors que cela va à l’encontre de nos vécus historiques respectifs ? et même si nous y parvenions, saurons-nous gagner ?
Je ne sais qu’une chose : si nous perdons, c’est toute l’humanité qui sera perdue, avec ou sans nous, avec ou contre nous.