Sommaire
Le maréchal Pétain et Jeune nation à l’honneur sur le site de la Libre Belgique
Après la garde à vue de deux militants, Lorraine nationaliste visé par une plainte… de la police
Bygmalion : Attal, Millot et Alvès mis en examen
Bygmalion : François Fillon accuse à demi-mot Nicolas Sárközy de mentir
Shishka
Le corrompu Thomas Thévenoud devient membre de la commission du…développement durable
Jacques Chirac : trop malade pour être condamné, pas pour faire de la politique
La statue de la honte
Après la Bretagne, un centre des impôts détruit en Savoie
Le terrorisme juif tue
Salim Benghalem lié aux islamistes dès 2007
Le monstre Lewis Peschet libérable dans une vingtaine d’années
Ébola : un clandestin créé la panique à Grenobl
Lille, scène ordinaire en France occupée
Occupation & faits divers
À lire
Guerre de l’ennemi juif contre l’Europe : Israël veut persécuter 80 Européens
Palestine : nouvelle provocation juive avec 2 610 logements dans les colonies
Ébola : un cas diagnostiqué aux États-Unis, fin de l’épidémie au Liberia
Le monde en guerre
ACTUALITÉ NATIONALISTE
Le maréchal Pétain et Jeune nation à l’honneur sur le site de la Libre Belgique
Le médiat belge La Libre Belgique a consacré un dossier au maréchal Pétain, citant à plusieurs reprises Jeune nation, évoquant les hommages rendus au chef de l’État français par le groupe Lorraine nationaliste à Douaumont et par les nationalistes français derrière Yvan Benedetti à l’île d’Yeu.
Après la garde à vue de deux militants, Lorraine nationaliste visé par une plainte… de la police
« Cela devient vraiment inquiétant. Il y a de plus en plus de groupuscule, d’extrême droite ou d’extrême gauche, qui n’ont plus aucun scrupule et qui n’hésitent plus à insulter la police sur leurs sites. Ils veulent nous imposer leur loi et leur règle. Il faut que notre administration nous protège plus et se constitue partie civile dans ce genre d’affaire »
dans les colonnes du journal local du système, les lamentations du responsable départemental d’Unité-SGP-Police-FO, l’étranger Abdel Nahass, ne s’arrêtent pas.
Si les flics républicains ont un accès privilégié à la presse serve, il leur est encore extrêmement plus facile de déposer plainte. Celle-ci ne risque pas de finir à la poubelle ou d’être transformée discrètement par un policier en inutile main courante comme cela arrive si souvent aux Français confrontés, eux, à de véritables et dramatiques problèmes.
C’est contre le groupe militant Lorraine nationaliste qu’un policier a porté plainte pour rien moins que des « menaces sous condition contre une personne dépositaire de l’autorité publique ». Tout cela pour… un statut posté sur Facebook indiquant :
« Deux de nos militants sont convoqués à l’hôtel de police de Nancy mardi prochain. Flics républicains, refusez d’obéir ou démissionnez avant qu’il ne soit trop tard, car on se souviendra de vos têtes ! »
FRANCE
Bygmalion : Attal, Millot et Alvès mis en examen
Après deux jours de garde à vue, les deux fondateurs de Bygmalion Bastien Millot et Guy Alvès ont été mis en examen pour complicité de faux et usage de faux – avec interdiction de rencontre Jean-François Copé et Nicolas Sárközy –, comme Franck Attal, l’ancien patron de la filiale de Bygmalion, Event and Cie. Guy Alvès a reconnu, comme Jérôme Lavrilleux l’avait déjà fait, la mise en place d’un vaste système de fausses factures pour permettre à Nicolas Sárközy de très largement dépasser – près de 20 millions d’euros ont été sortis des comptes officiels, soit près du double du plafond autorisé – le montant des dépenses permises lors des la campagne pour l’élection présidentielle de 2012.
« Le sentiment que j’ai, c’est que je suis face à une demande de franchissement de la ligne jaune, c’est-à-dire accepter des fausses écritures. Le choix était soit d’accepter, soit de couler ma société, alors que je n’avais fait que mon travail. J’étais pris au piège. J’ai donc accepté que la société Event et Cie émette les fausses factures qui étaient demandées par l’UMP »
a tenté de justifier Guy Alvès.
Bastien Millot a nié toute responsabilité :
« Certains responsables, non des moindres, de la campagne présidentielle de 2012 essaient de se draper dans la posture d’une victime, alors même qu’ils le font sans doute un peu grossièrement et un peu rapidement »
a-t-il déclaré, visant vraisemblablement Jean-François Copé.
Bygmalion : François Fillon accuse à demi-mot Nicolas Sárközy de mentir
« J’ai appris le nom de Bygmalion longtemps après la campagne présidentielle »
avait prétendu le 21 septembre 2014 Nicolas Sárközy, laissant apparaître un homme d’une naïveté désarmante, et surtout inquiétante s’agissant d’un homme ayant exercé les plus hautes fonctions à la tête de leur République –, n’ayant pas remarqué que les coûts induits par sa campagne électorale de 2012 avaient finalement coûté 2 fois plus que ce qui était autorisé, et que le montant présenté à la commission des comptes était visiblement mensonger.
« Je n’ai jamais organisé de campagne présidentielle. Et puis, je pars du principe que je fais confiance au candidat et à ceux qui organisent la campagne. Je n’étais pas associé à l’organisation de la campagne de 2012 mais j’ai souvent entendu parler de Bygmalion, et j’ai souvent vu que Bygmalion était une entreprise qui travaillait régulièrement avec l’UMP »
a lâché François Fillon hier sur BFMTV, accusant à demi-mot Nicolas Sárközy de mentir.
Shishka
« Ma compagne, Marie-Charline Pacquot, jeune philosophe, fille d’ouvriers du pays de Montbéliard, a montré dans ces circonstances pénibles une remarquable fermeté d’âme, une constance souriante et fine dans le soutien. »
Il y a quelques mois, Pierre Moscovici ne tarissait pas d’éloges pour sa compagne du moment, dans son livre payé en toute illégalité par le contribuable français, Combats.
La petite blanche, de plus de trente ans sa cadette, était persuadée qu’il était l’homme de sa vie. Mais après cinq ans de vie commune, le nouveau commissaire européiste a renvoyé la petite fille d’ouvriers du pays de Montbéliard ; son choix s’est porté sur Anne-Michelle, une jeune femme issue de l’ÉNA, rencontrée dans le cadre de ses fonctions de ministre. Elle est également âgée d’environ trente ans de moins que lui.
Le corrompu Thomas Thévenoud devient membre de la commission du… Développement durable
Plus d’un mois après les révélations sur ses multiples délits – refus d’acquitter l’impôt, de payer la kinésithérapeute de ses enfants, l’eau pour sa permanence électorale, son électricité, etc. – Thomas Thévenoud est toujours député de l’Assemblée antinationale, tout comme Jean-François Copé et Patrick Balkany, comme Serge Bloch – dit Dassault – est sénateur et Jérôme Lavrilleux est député européen.
Plus incroyable encore : au prétexte de l’automaticité de la procédure, il vient d’intégrer la commission du… Développement durable de l’Assemblée. S’il s’agissait du développement durable de la corruption au sein de la République, il aurait trouvé une place parfaite.
Autre exemplarité de leur République : Thomas Thévenoud n’a pas mis les pieds à l’Assemblée désormais un mois, ce qui ne lui vaut pas plus de problèmes que ses escroqueries.
Jacques Chirac : trop malade pour être condamné, pas pour faire de la politique
Jacques Chirac a échappé à la plupart des procès qui auraient dû être faits à l’un des pires présidents de leur République, impliqué dans d’innombrables affaires de corruption. En 2011, sa famille et ses avocats s’étaient répandus dans la presse pour affirmer que Jacques Chirac n’était pas en état d’être jugé, affirmant encore qu’il ne fallait pas oublier qu’il avait « sauvé la France » en 2002.
Ses avocats, alors qu’il était jugé pour les emplois fictifs de la mairie de Paris, avaient publié des documents « prouvant » son « incapacité » à comparaître – avec un document « médical » établi par le neurologue juif Olivier Lyon-Caen, petit-fils d’un président du MRAP et principal rédacteur de l’ignoble loi antifrançaise dite loi Pleven.
Si ses « graves problèmes de santé » ont empêché Jacques Chirac d’être condamné et emprisonné comme il l’aurait mérité, ils ne l’empêchent pas de participer à la vie politique. Très silencieux depuis des mois, il s’est prononcé officiellement pour son ancien adjoint, le corrompu Alain Juppé, comme choix pour la présidentielle de 2017 dans la lutte qui l’oppose à Nicolas Sárközy.
Il s’agit d’un juste retour d’ascenseur, Alain Juppé ayant accepté de porter seul la responsabilité de la corruption généralisée du RPR et particulièrement celle de Jacques Chirac dans l’affaire des emplois fictifs de la ville de Paris. Jacques Chirac avait, après la condamnation de son ancien premier ministre, déclaré qu’Alain Juppé était « le meilleur d’entre nous ».
« J’ai toujours su qu’Alain Juppé serait au rendez-vous de son destin et de celui de la France. Peu de chose pouvait me faire plus plaisir, pour moi-même, pour lui et surtout pour notre pays »
a déclaré Jacques Chirac.
La statue de la honte
Depuis fin septembre, la statue dénommée « The Kiss » a été installée devant le Mémorial de Caen, haut lieu de repentance où l’on dit que les Allemands étaient vraiment très méchants et les alliés vraiment très gentils. Et aussi que les juifs ont beaucoup souffert… Bref, cette statue de 8 mètres de haut pour 13 tonnes de bronze ne pouvait trouver meilleur écrin ! Problème : la photo dont s’inspire la statue est sujette à polémique. Prise en 1945 à New York le jour de l’annonce de la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle n’est pas aussi romantique qu’elle semble l’être. Des associations féministes s’insurgent en effet contre le cliché, il semblerait que l’infirmière embrassée fougueusement par le marin n’était pas tout à fait consentante… Quelle ironie ! Sachant le nombre de Normandes violées par des soldats US, que le symbole de la libération soit un « baiser volé » tombe sous le sens ! A contrario, on rappellera la politique très stricte de la Wehrmacht vis-à-vis des exactions commises par ses hommes sur la population française. Les soldats se comportant mal étaient sévèrement punis, voire exécutés en fonction de la gravité de leur crime. Au niveau américain, il y eut bien quelques nègres pendus (tradition séculaire) mais beaucoup de criminels ont échappé à la justice… Dans cette vie en tout cas, gageons que la justice immanente ne les aura pas épargnés ! Bref, si nous ne voulons pas de cette statue c’est parce qu’elle représente un impérialisme yankee insupportable, dans une région qui a été beaucoup plus meurtrie par les bombardements anglo-américains que par l’occupation allemande.
(Source : IFBVYF)
Pour rappel : les Françaises présentées comme des prostituées par la propagande alliée et tout juste bonnes à servir d’objets sexuels aux criminels africains servant de « soldats » à l’Oncle Sam.
Après la Bretagne, un centre des impôts détruit en Savoie
Après l’attaque d’un centre des impôts à Morlaix le 19 septembre, une attaque a été menée à Albertville dans la nuit de mardi à mercredi. Les enquêteurs ont découverts deux départs de feu distincts. Le feu a été rapidement maîtrisé par les pompiers qui ont préservé l’essentiel de ce bâtiment édifié il y a deux ans. Une attaque similaire avait été menée contre un autre centre des impôts à Moûtiers, une commune située près de là au début du mois de septembre.
Le terrorisme juif tue
La France juive n’est pas un mythe. Depuis plusieurs décennies, les terroristes juifs agissent en France avec la bénédiction des autorités. Les médiats ont longtemps excusé et justifié ces attaques – quand elles n’étaient pas censurées –, dont les nationalistes ont été durant longtemps les seules victimes. Plusieurs Français, dont François Duprat, ont payé du prix de leur vie l’occupation de la France par Israël.
Mais l’insupportable arrogance de l’occupant a poussé jusqu’à certains journalistes du système à remettre en cause l’inféodation à Israël des gouvernants comme des médiats. C’est le cas de Benoît Le Corre, journaliste à Rue89, représentant une certaine gauche judéosceptique. Ses articles lui ont valu d’être harcelé par une cyber-racaille juive, Grégory Chelli, qui serait réfugiée en Israël, comme nous l’évoquions dans un article en août dernier.
Les médiats ont annoncé la mort, après six semaines de coma, du père de Benoît Le Corre, victime d’un infarctus après plusieurs agressions téléphoniques du criminel juif.
Salim Benghalem lié aux islamistes dès 2007
Le criminel islamiste Salim Benghalem, devenu l’un des dix tueurs de l’État islamique (ÉI) les plus recherchés par les États-Unis, est parti en Syrie alors qu’il était sous surveillance des services de sécurité français. Il avait même été arrêté le 6 juillet 2010 : la police enquêtait alors sur une tentative d’évasion organisée pour Smaïn Ait Ali Belkacem, terroriste condamné pour les attentats à Paris en 1995.
Salim Benghalem était en contact alors avec Thamer Bouchnak, un islamiste relâché après quelques mois de prison laissé en liberté par la République. Il l’avait rencontré par l’intermédiaire de Mohamed El Ayouni, un islamiste ayant combattu en Irak et avec lequel il partageait sa cellule.
Visé par une information judiciaire, Salim Benghalem fait l’objet depuis mai 2014 d’un mandat d’arrêt international émis par un juge anti-terroriste.
Le monstre Lewis Peschet libérable dans une vingtaine d’années
Lewis Peschet a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une peine de sûreté de seulement 22 ans, pour le meurtre d’une lycéenne. Lors du procès le risque très élevé de récidive avait pourtant été souligné. Les débats ont été marqués par l’horreur du crime et la « perversité inouïe » du jeune tueur qui, à l’énoncé du verdict, a esquissé un sourire.
Il avait attiré la jeune fille dans un guet-apens en 2012, et l’avait massacrée avant de se vanter auprès de son ex-petite amie de son crime.
« Nous ne ferons pas appel de cette condamnation, car elle soulage la société. Mais le législateur devra se poser la question du nombre croissant de personnalités psychotiques en détention »
a déclaré l’avocat de l’accusé.
Ébola : un clandestin créé la panique à Grenoble
Grâce à destruction des frontières par la République, un délinquant clandestin venu de Guinée a pu arriver en France et aller sans problème ni controle jusqu’à Grenoble. Il a été découvert en pleine ville en se présentant lui-même à des policiers municipaux. C’est le délinquant lui-même qui a avoué venir de Guinée – un fait qu’il aurait tout autant pu cacher – et être malade, déclenchant l’alerte dans la ville.
D’importants et coûteux moyens ont été mis en place pour le secourir et l’acheminer vers l’hôpital de Grenoble où il est actuellement alité, totalement isolé. Souffrant de fièvre, il pourrait être porteur du virus Ébola, virus qui a découvert aux États-Unis pour la première fois en début de semaine chez un homme arrivant du Liberia.
À Lille, scène ordinaire en France occupée
Occupation & faits divers
-Un aide-soignant de 54 ans, travaillant dans un établissement hospitalier de Carcassonne, a été incarcéré pour le viol d’une patiente atteinte de la maladie d’Alzheimer.
-L’homme de 22 ans grièvement blessé à coups de hachoir sur le quai de la gare de Juvisy-sur-Orge lundi a succombé à ses blessures. Il avait été touché lors d’affrontements entre racailles turques et racailles kurdes.
-Un policier de 40 ans, marié et père de trois enfants, s’est suicidé mardi avec son arme de service au commissariat de Meaux. Cinquante-quatre policiers et gendarmes se sont donné la mort depuis le début de l’année.
ÉTRANGER
Guerre de l’ennemi juif contre l’Europe : Israël veut persécuter 80 Européens
Le Centre Wiesenthal exige de l’Allemagne la traque de 80 Européens, coupables aux yeux des ennemis de l’Europe d’avoir participé à la renaissance de l’Allemagne entre 1933 et 1945. Parmi les quatre-vingts personnes figurent quatre femmes ; les plus âgés avaient 21 ans en 1945. Comble de l’ignominie, les agents d’Israël se vantent de cibler des vieillards « qui ont le plus de chance d’être encore en vie et en assez bonne santé pour être poursuivis ».
Palestine : nouvelle provocation d’Israël
Dans le plus complet silence international, l’État criminel d’Israël a validé la construction de 2 610 logements dans le quartier juif de Givat Hamatos à Jérusalem-Est. C’est une association antisioniste juive qui a dénoncé cette nouvelle provocation du gouvernement, considérée comme « un pas de plus vers la destruction de toute possibilité de solution à deux États »
Ébola : un cas diagnostiqué aux États-Unis, fin de l’épidémie au Liberia
Un homme, contaminé par le virus Ébola, est hospitalisé à Dallas (Texas) depuis le 28 septembre. L’homme avait pris l’avion au Liberia mi-septembre et n’aurait commencé à souffrir de la maladie que plusieurs jours après son arrivée. Il a potentiellement pu contaminer plusieurs personnes durant ce laps de temps. Il s’était présenté à l’hôpital le 26 septembre, mais avait été renvoyé chez eux. Les États-Unis accueillent un autre patient touché par le virus, un médecin américain qui travaillait en Sierra Leone où il a été contaminé. Trois personnes, hospitalisées plus tôt durant l’été, ont été guéries.
Selon les dernières estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’épidémie a fait en Afrique de l’Ouest 3 338 morts pour 7 192 personnes touchées. L’épidémie serait totalement sous contrôle au Nigeria, où 22 cas ont été diagnostiqués au plus fort de l’épidémie ; huit personnes y sont décédées.
Le monde en guerre
-Moldavie. Alors que les tensions s’accentuent en Transnistrie, le vice-premier ministre russe a rencontré le président des séparatistes de Transnistrie.
« Je veux dire à ceux qui ne pensent pas comme nous: il ne faut pas mettre son nez en Transnistrie […], il ne faut pas faire augmenter les tensions, parce qu’il y a des citoyens russes qui habitent là-bas. […] il ne faut pas tester notre patience et notre force »
a-t-il déclaré.
-Ukraine. De violents combats se poursuivent dans l’est du pays, dans la ville comme autour de l’aéroport. Au moins dix personnes sont mortes dans une attaque sur Donetsk. Soixante-huit personnes sont décédées depuis la signature d’un « cessez-le-feu » le 5 septembre.
-États-Unis. Un islamiste somalien à papiers américain a écopé de trente ans de prison pour avoir voulu perpétrer un attentat pour le Noël 2010 dans l’Oregon. Mohamed Mohamud s’était défendu en affirmant avoir été incité à commettre cette attaque par des agents du FBI. Lors de l’énoncé de la sentence, il a reconnu les faits et s’est excusé : « Les choses que j’ai dites et faites étaient terribles. (…) Je veux m’excuser auprès de tout le monde ».
-Mexique. Quarante-trois personnes auraient disparu, une semaine après de violents affrontements qui ont opposé plusieurs groupes (des étudiants, des supporteurs, un taxi) à la police. Les violences ont fait six morts et vingt-cinq blessés ; vingt-deux policiers ont été arrêtés. Les événements ont débuté après le vol par les étudiants de trois bus, une pratique qualifiée « d’habituelle » (sic) pour les « étudiants radicaux » (re-sic) par les médiats.
-Syrie. Un double attentat perpétré dans le quartier alaouite de Homs (centre) a fait au moins trente-neuf morts, dont trente enfants hier, et plusieurs dizaines de blessés.
Selon l’OSDH, l’État islamique (ÉI) a décapité dix personnes près de Kobani, lors de son avancée en territoire kurde. Les victimes – dont trois femmes – seraient pour la plupart des combattants kurdes.
-Irak. Un attentat à Bagdad a fait au moins onze morts hier. Les violences en Irak ont fait 1 119 morts au moins.
Des combats entre une tribu sunnite et les forces irakiennes contre des soldats de l’État islamique (EI) à Doulouiya ont fait 14 morts hier. L’assaut des islamistes a été repoussé.
-Afghanistan. Sept personnes sont mortes et quinze autres ont été blessées à Kaboul lors d’une attaque menée par les talibans contre un bus de l’armée. L’attentat a été perpétré au lendemain de la signature par le nouveau président Ashraf Ghani de l’accord de défense avec le gouvernement américain, qui planifie le retrait des troupes américaines, qui sera total à l’horizon 2016. Lundi, lors des cérémonies d’investiture du nouveau président, plusieurs attaques avaient fait au moins sept morts.
© Jeune nation – 2014