Les dirigeants de leur Union européenne (UE) ont débloqué ce lundi une « allocation » de 2,4 milliards d’euros pour faciliter l’invasion de l’Europe. Neuf pays toucheront cette somme jusqu’en 2020, pour améliorer les aires d’accueil pour les envahisseurs, mais aussi pour permettre de les ramener sur la terre d’Europe. L’Italie recevra 558 millions d’euros, l’Espagne 521,8, la Grèce 474, la Suède 154, la Roumanie 98,4, Malte 74,6, Chypre 74, la Bulgarie 72,7, la Pologne 69,3, la Hongrie 61,4, la Finlande 52,9, la Slovénie 41, le Portugal 38,6, l’Estonie 35,2, l’Autriche 26,5, la Lituanie 17,2, la Slovaquie 13, l’Irlande 9,2 et le Luxembourg 7,5, issus du Fonds pour l’asile, la migration et l’intégration (FAMI) – il n’est donc aucunement question de même envisager renvoyer les envahisseurs chez eux – et du Fonds pour la sécurité intérieure (FSI) qui disposent d’un d’un budget total pour la période de 7 milliards d’euros.
La France est triplement pénalisée puisque non seulement ses contribuables sont rackettés par le super État fédéral, non seulement elle subit de plein fouet l’invasion, mais elle ne touchera en plus pas un centime de ces aides.
Les noms évoqués par le document permettent de voir les nouvelles cibles choisies par les gouvernants criminels pour imposer le « multiculturalisme », notamment la Pologne, l’Estonie, la Lituanie dans le nord-est de l’Europe mais aussi la Slovénie et la Slovaquie en Europe centrale.
Depuis plusieurs jours, les autorités mondialistes s’agitaient pour imposer des mesures semblables à l’Europe. Le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCNUR, dit HCR) avait qualifié l’accueil par l’UE des envahisseurs de « honteux ».
Pour le seul mois de juillet, 50 000 envahisseurs ont pénétré en Grèce par la Méditerranée, pour près de 175 000 depuis le début de l’année, un assaut migratoire jamais vu dans l’histoire.