« Depuis le 25 [octobre], il n’y a plus un migrant qui passe en Grande-Bretagne. Nous mobilisons nos forces pour bien envoyer le message aux passeurs que l’on ne passe plus à Calais »,
a affirmé, content de lui, Bernard Cazeneuve lors d’une intervention devant les députés. Il évoquait les clandestins qui tentent, après avoir violé nos frontières, de faire de même avec celles de Grande-Bretagne. Une affirmation péremptoire invérifiable, l’immigration clandestine étant, par essence, réalisée autant que possible en dehors du regard des autorités.
Le triomphalisme de Bernard Cazeneuve est particulièrement insultant pour les habitants du nord de la France, violemment touchée par l’invasion, et où le gouvernement finance et favorise l’immigration illégale, par le versement d’aides comme par la construction de camps, de bâtiments, à l’usage exclusif des étrangers clandestins quand tant de Français en auraient besoin.
« Le jeudi 22 octobre, il y a eu 1 300 intrusions ou tentatives d’intrusions dans le tunnel, le 23 octobre 1 040, lundi 464 et cette nuit 241 »,
a précisé le ministre de François Hollande comme si cela était un succès.
De l’aveu même des activistes pro-invasion, des prétendus « experts » payés par le système pour vanter ses politiques, il ne s’agit que d’une illusion, faute de prendre des mesures radicales.
« Les stratégies de contournement se multiplient. Chaque fois qu’on ferme une porte, une autre s’ouvre. C’est sans fin »,
a ainsi contredit Catherine Withol De Wenden, « sociologue », féroce activiste pro-invasion et membre de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA).
Pour toute politique, Bernard Cazeneuve fait harceler les ‘migrants’ pour qu’ils déposent une demande d’asile en France – alors que l’immense majorité des envahisseurs sont venus profiter des relatives bonnes conditions économiques européennes –, et fait diffuser les prétendus réfugiés à travers la France. Déjà 300 clandestins ont été dispersés sur le territoire français, le gouvernement d’occupation choisissant particulièrement des petites communes rurales blanches. Mais déjà, la plupart d’entre eux sont revenus ou en route pour Calais.