Sommaire :
Actualité nationaliste France
- Elie Wiesel est mort – Professeur Robert Faurisson
Actualité nationaliste Europe
- 50 ans du mouvement nationaliste espagnol Fuerza Nueva
- Grand succès pour la fête du Mouvement Nation en Belgique
France
- 4 ans de prison pour Mohamed Camara, prédateur sexuel, Guinéen et clandestin
- Abdelhakim Dekhar, le tireur de Libé et de BFM sera bien renvoyé aux assises
- Un Sri-Lankais tue son colocataire Géorgien dans un foyer à Poitiers
- Des policiers menacés de mort par des hommes se réclamant de Daech
- Une salle de sport particulière et la télé pour Salah Abdeslam
- La dette française s’élève désormais à 2137,6 milliards
Etranger
Europe
- 300 000 Africains se dirigent vers l’Europe
- Italie : vaste opération contre des passeurs qui vendaient des organes humains
- Pologne : relèvement temporaire des frontières
Monde
- Iran – deux migrants afghans condamnés à la pendaison pour le viol d’une Française
- Turquie : l’appel à la prière du muezzin pour la 1ere fois depuis 85 ans à Sainte-Sophie
- Turquie : arrestation de 2 jihadistes de l’État Islamique à l’aéroport Ataturk d’Istanbul
- Palestine occupée : l’État sioniste autorise 800 nouveaux logements de colonisation
Vidéo
- Vladimir Boukovski – L’Union européenne : nouvelle URSS
Ephéméride nationaliste
- 5 juillet 1958 : 1er numéro de Jeune Nation
- 5 juillet 1962 : massacre d’Oran
- 5 juillet 1988 : mort de Arthur Holmston-Smyslovsky
Agenda
- 11 juillet – 17 juillet Camp-école Jeune Nation
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Actualité nationaliste France
Elie Wiesel est mort – Professeur Robert Faurisson
Elie Wiesel est mort le samedi 2 juillet 2016 à l’âge de 87 ans.
Sur le personnage, voyez Un grand faux témoin : Élie Wiesel (17 octobre 1986) ainsi que Un grand faux témoin : Élie Wiesel (Suite) (29 juin 1993).
Il passe pour un grand témoin, par excellence, d’Auschwitz. Or, dans son témoignage sur ce camp, il ne mentionne jamais les chambres à gaz mais prétend que les Allemands exterminaient leurs victimes dans des brasiers en plein air.
Dans ce témoignage, il nous rappelle également qu’en janvier 1945, à l’approche des troupes soviétiques, les Allemands ont décidé de partir en laissant le choix aux internés soit de rester sur place, soit de partir vers l’intérieur de l’Allemagne avec leurs gardiens allemands. Après mûre réflexion, Wiesel père et Wiesel fils ont décidé, votant avec leurs pieds, de partir avec leurs gardiens et bourreaux plutôt que d’attendre leurs libérateurs soviétiques.
L’Armée Rouge s’est emparée d’Auschwitz le 27 janvier et j’ai personnellement découvert que la Pravda (La Vérité) est restée silencieuse sur leur découverte du camp les 28, 29, 30, 31 janvier et que c’est seulement le 2 février 1945 qu’elle a annoncé la grande nouvelle : à Auschwitz, les Allemands tuaient systématiquement leurs victimes à l’électricité : les cadavres des victimes tombaient sur un tapis roulant qui les transportait jusqu’au sommet d’un haut fourneau où ils étaient déversés et brûlés.
Vers la même époque, le document du Tribunal de Nuremberg PS-3311, résumant en anglais des attestations polonaises, nous apprenaient qu’à Treblinka les juifs étaient tués à la vapeur d’eau dans des « steam chambers » (chambres à vapeur).
Mais très vite tout ce beau monde de menteurs s’est ensuite abonné au gaz des Américains du War Refugee Board, laissant de côté le feu, l’eau, l’électricité, la chaux vive, les pompes à faire le vide et autres folles inventions de la propagande de guerre souvent reprises des inventions, pendant la Première guerre mondiale, de la propagande des Alliés sur le compte des Huns et des Teutons.
« Le délire de mentir et de croire s’attrape comme la gale » (Céline).
Comme disent les bonnes gens, « Tout cela est forcément vrai ! C’est tellement gros ! Cela ne s’invente pas ! Qui irait inventer de pareilles horreurs ? »
PS : Notez ce que l’historien conventionnel Pierre Vidal-Naquet (1930-2006) disait du caractère « dangereux » d’Elie Wiesel, l’accusant de « raconter n’importe quoi » : Pierre Vidal-Naquet juge Elie Wiesel (20 avril 1987).
3 juillet 2016
Actualité nationaliste Europe
50 ans du mouvement nationaliste espagnol Fuerza Nueva
Le 50ème anniversaire de Fuerza Nueva a été commémoré à Madrid avec un déjeuner de 700 convives et une messe célébré à la vallée de Los Caidos. Le PNF et les caryatides étaient représentés en la personne d’Hélène Grimaldi.
Grand succès pour la fête du Mouvement NATION !
Il est connu que les conditions atmosphériques et l’emplacement sont deux conditions importantes pour aider au succès d’une activité de plein air.
Cela implique donc que la fête de NATION qui s’est déroulée près de Couvin à proximité de la frontière française (près de Givet) avec une météo très incertaine et qui a, malgré tout cela, rassemblé une centaine de personnes fut un grand succès !
Elle fut donc un succès au niveau de la mobilisation mais aussi au niveau organisationnel puisque cette journée se déroula, malgré des averses passagères mais intenses, comme elle avait été prévue. Et ceci à la grande satisfaction du public présent !
Les jeux de groupe rencontrèrent un grand succès et furent suivis par des débats très intéressants sur le thème « quel combat pour demain » avec Jean-Pierre Demol (ancien président de NATION) et Jean Libert (qui est appelé à reprendre la fonction de président d’arrondissement pour Mons).
Les divers stands ont également remporté un franc succès : boutique NATION, cochonnaille, bar à sangria et vin, stand NS-A, stand PNF,…). La tombola et le barbecue ont également remporté un beau succès.
Notre camarade français Yvan Benedetti a participé à un « question-réponse » suivi par un public nombreux et intéressé. Eddy Hermie, au nom du N-SA a pu communiquer le point de vue des solidaristes flamands.
Le volet politique de la journée s’est clôturé par une intervention du secrétaire-général Olivier Frapchot, cheville ouvrière de ce rassemblement et du président Hervé Van Laethem qui a tenu un discours offensif comme à l’accoutumée..
En soirée a eu lieu un concert rock avec le groupe belge « Les Eburons ».
Outre tout cela, notons la bonne ambiance qui a marqué cette réunion et la présence d’un public très varié à tous les niveaux et qui nous encourage à continuer à essayer de travailler au sein de la population et non à sa marge !
Notons pour l’anecdote, une provocation policière lors de laquelle quelques larbins en uniforme du bourgmestre ont essayé, sans succès de gâcher la fête en cherchant la petite bête pour des problèmes de stationnement.
Notons aussi pour l’anecdote, l’action de notre service d’ordre pour ramener une vache dans son pré (authentique !).
Le bilan de la journée est indiscutablement positif. Il a permis aux militants confirmés de passer un moment agréable à l’issue d’une première moitié d’année militante et aux sympathisants d’avoir un contact concret avec le Mouvement !
Cette journée a enfin aussi permis de démontrer que NATION est plus que jamais l’unique opposition et la seule alternative tant par son sérieux que par sa capacité de mobilisation !
Voir le site de Nation : ici
France
4 ans de prison pour Mohamed Camara, prédateur sexuel, Guinéen et clandestin
Un homme de couleur noire repérait des jeunes filles à la sortie des discothèques du carré Curial avant de les agresser sexuellement alors qu’elles rentraient chez elles. À chaque fois, il était interrompu par des passants ou des automobilistes et réussissait à prendre la fuite.
Jusqu’au jour où sa première victime l’a reconnu dans la rue et l’a pris en photo avec son téléphone portable. Un geste qui a permis aux enquêteurs de mettre rapidement la main sur un Guinéen de 21 ans, en situation irrégulière.
Presque deux ans après les faits, Mohamed Camara comparaissait devant le tribunal correctionnel de Chambéry, vendredi 1er juillet. En détention provisoire depuis le 11 septembre 2014, il avait face à lui l’une des cinq victimes, les autres étant représentées par leurs avocats.
Mohamed Camara a été condamné à quatre ans d’emprisonnement avec maintien en détention et une injonction de suivi sociojudiciaire de 10 ans. Il a été inscrit au fichier des délinquants sexuels (Fijais).
Abdelhakim Dekhar, le tireur de Libé et de BFM sera bien renvoyé aux assises
La cour d’appel de Paris a confirmé jeudi le renvoi aux assises d’Abdelhakim Dekhar qui avait fait une irruption armée à BFMTV et Libération en novembre 2013.
Un juge d’instruction avait ordonné le 25 mars dernier son renvoi aux assises pour tentatives d’assassinats. Le «tireur parisien» est également poursuivi pour avoir contraint un automobiliste de le conduire du quartier d’affaires de la Défense à la place de l’Etoile, à Paris.
Le 15 novembre 2013, la police s’était lancée dans une longue traque de l’homme de 50 ans après son apparition dans les locaux de BFMTV, armé d’un fusil à pompe. «Simple» menace ce jour-là, il réapparaît 72 heures plus tard au siège du journal «Libération, ouvre le feu, et blesse grièvement un assistant photographe dans le hall d’accueil.
Les images de ce périple armé aux sièges de médias ont tourné en boucle pendant cinq jours, avant qu’Abdelhakim Dekhar ne soit finalement interpellé sur un parking de Bois-Colombe (Hauts-de-Seine) le 20 novembre. Son arrestation a été possible grâce au témoignage d’une personne qui l’hébergeait. Ce logeur est également renvoyé aux assises pour recel de malfaiteurs, et destruction de preuves, notamment le fusil qui a servi à l’assaut.
Un Sri-Lankais tue son colocataire Géorgien dans un foyer à Poitiers
Les faits se sont déroulés dans la cuisine d’un appartement du foyer Coallia de Poitiers vendredi soir vers 21 heures. Un homme d’origine Sri Lankaise a tué de plusieurs coups de couteau son colocataire d’origine Géorgienne. La victime âgée de 35 ans n’a pas survécu,
Un autre occupant de l’appartement présent au moment des faits a désarmé l’agresseur. Les secours sont très vite arrivés sur les lieux ainsi que les policiers qui ont interpellé le mis en cause, il n’a opposé aucune résistance.
L’agresseur présumé devrait a été à un juge lundi, une information judiciaire a été ouverte pour des faits d’homicide volontaire.
Des policiers menacés de mort par des hommes se réclamant de Daech
Des policiers de Nîmes ont été menacés de mort par différents individus qui se sont réclamés de Daech. Ils ont menacé deux policiers en donnant des précisions physiques, laissant supposer qu’ils les avaient déjà vu, et se sont réclamés de l’Etat islamique.
Les coups de téléphone ont été passés depuis la maison d’arrêt de Nîmes et de Béziers. Les détenus, qui ne sont pas fichés « S », ont été localisés grâce à l’identification du numéro du téléphone portable utilisé. Une expertise de son a été lancée pour déterminer les auteurs de tels ou tels propos, a indiqué la procureure. Ils doivent comparaître d’ici la semaine prochaine devant le tribunal
Un autre policier a été nommément menacé par un Nîmois de 17 ans : le jeune homme, qui avait déjà menacé le policier dans la rue, a réitéré ses menaces en garde à vue vendredi – il venait d’être arrêté pour des vols. L’individu a déclaré, face au policier visé et devant d’autres agents, savoir où il habitait et où son fils faisait du sport. Il a également fait référence à Daech et aux attentats en France.
Les trois policiers concernés ont porté plainte, et leur avocat a appelé à ne pas prendre ces menaces à la légère, plus de deux semaines après l’assassinat d’un couple de policiers à Magnanville.
Une salle de sport particulière et la télé pour Salah Abdeslam
Depuis fin mai, les députés, accompagnés de journalistes, peuvent se rendre dans les prisons à l’improviste pour les inspecter. C’est ce qu’a fait le député LR Thierry Solère. Dans le bâtiment D3 de la prison de Fleury-Mérogis, dans l’Essonne, le dernier étage est, depuis le 27 avril, réservé au détenu le plus surveillé de France : Salah Abdeslam.
Dans les colonnes du Journal du Dimanche, Mario Guzzo, un des plus hauts gradés des surveillants de la prison, se souvient l’arrivée du membre du commando du 13 novembre : « Il y a eu une grande bronca quand il a fait son entrée, un mélange d’applaudissements, surtout de la part des plus jeunes. »
Le seul membre vivant des attaques du 13 novembre occupe quatre cellules : une cellule A et une cellule B (en cas de dégradation de la première) pour son usage personnel ; une au milieu des deux reconstituée en poste de surveillance vidéo où un fonctionnaire le surveille 24h/24. Enfin, la 4e et dernière cellule a été transformée en salle de sport, équipée d’un rameur. Un autre équipement de musculation a été commandé pour lui. Sur le toit, toujours sous l’œil des caméras, un petit espace de promenade lui est exclusivement réservé.
Depuis qu’il est prison, le suspect-clé des attentats du 13 novembre a eu quatre ou cinq visites de sa famille au parloir équipé d’un hygiaphone, sans contact direct. « Son avocat a pu venir jusqu’ici », confie un surveillant. En cas de déplacement du détenu, tout est vidé sur son parcours.
Le détenu passe beaucoup de temps à prier : « Après sa prière, Abdeslam s’est assis sur son lit, et il s’est mis à lire le Coran », note le député LR des Hauts-de-Seine, marqué par la très grande propreté et le rangement méticuleux de la cellule : « Le lit est fait parfaitement, tout est rangé de façon maniaque. »
Selon les surveillants, qui consignent ses moindres faits et gestes dans un cahier, le terroriste présumé passe du temps à se faire à manger, un réchaud et un frigo étant à sa disposition comme les autres détenus. Depuis le début du ramadan, il attend la tombée de la nuit pour dîner. « Il regarde assez peu l’Euro. En revanche, son truc c’est la téléréalité, il regarde des émissions des heures et des heures… et le matin, il se lève vers 11 heures », glisse un surveillant. Le « responsable des bâtiments centraux » Mario Guzzo confie au journal que ce nouveau détenu « quasi modèle » il y a deux mois n’est plus aussi poli qu’à son arrivée. Il y a quelques semaines, « quand il a voulu s’opposer à une fouille corporelle, le ton est monté avec un agent et cela a été très tendu », relate le surveillant gradé.
La dette française s’élève désormais à 2137,6 milliards
L’endettement culminait fin mars à 97,5 % du PIB. Bercy maintient sa prévision de 96,2 % à la fin de l’année. À la suite d’une révision du PIB en valeur pour l’année 2015, rendue publique par l’Insee le 17 mai, l’endettement de la France à la fin de l’année dernière vient d’être revu en hausse à 96,1 % de la richesse nationale (contre 95,7 % initialement annoncés).
L’Insee a indiqué que la dette publique du pays avait atteint 2137,6 milliards.
Etranger
Europe
300 000 Africains se dirigent vers l’Europe
300 000 envahisseurs en provenance d’Afrique de l’Ouest devraient rejoindre l’Europe au cours des prochains mois, la majorité d’entre eux se dirigeront vers l’Italie via la Libye, a averti Fabrice Leggeri, le directeur de Frontex, l’agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des États membres de l’Union européenne.
Les estimations de Leggeri sont basées sur des recherches réalisées dans la région d’Agadez au Niger où 13 000 personnes fuient la région par mois.
« Si la migration depuis l’Afrique de l’Ouest vers la Libye continue, nous devrions nous attendre à 300 000 réfugiés qui fuiront cette année l’Afrique de l’Ouest pour se diriger vers l’Europe via les pays du nord du Maghreb », explique Fabrice Leggeri.
« A l’heure actuelle, 13 à 14 fois plus de réfugiés quittent la Libye vers l’Italie que depuis la Turquie vers la Grèce », précise Leggeri.
« Entre avril et mai, le nombre de personnes qui ont fui vers l’Italie a doublé. La composition ethnique des migrants a également évolué depuis le Moyen-Orient jusqu’à l’Afrique. La majorité des demandeurs d’asile sont maintenant issus de pays tels que l’Erythrée dans la Corne de l’Afrique où une dictature brutale est au pouvoir ».
En seulement quatre jours, 11 000 réfugiés ont été secourus en Méditerranée, la plupart voyageant dans des bateaux en provenance de Lybie vers l’Italie.
Italie : vaste opération contre des passeurs qui vendaient des organes humains
38 passeurs d’envahisseurs ont été arrêtés à travers l’Italie lundi matin 4 juillet. Ils sont soupçonnés d’appartenir à un réseau international de trafic d’êtres humains, de participation à une organisation criminelle d’immigration clandestine, de blanchiment d’argent et de trafic de drogue. L’enquête menée par l’unité anti-mafia de Palerme a été lancée à la suite du témoignage d’un « repenti ». Mais, pour compléter le tableau, le réseau est également soupçonné d’être impliqué dans un trafic d’organes d’envahisseurs morts. Le repenti aurait signalé aux forces de l’ordre que les trafiquants vendent les organes des candidats à la migration qui n’ont pas survécu au voyage, voire en auraient tués quelques uns ne disposant pas d’assez d’argent pour payer les frais du transport. La police a suivi le flux d’argent dans le réseau, dont le « centre financier » à Rome semble être dans un magasin de parfum à proximité de la gare centrale Termini. Là, des sommes représentant plusieurs centaines de milliers d’euros ont été saisies en espèces en juin, avec une liste de comptes bancaires et de noms de citoyens étrangers. Le réseau aurait réinvesti l’argent provenant du trafic d’envahisseurs dans le commerce de la drogue, en particulier le khat qu’ils auraient importé d’Éthiopie.
Pologne : relèvement temporaire des frontières
La Pologne accueille le sommet de l’OTAN à Varsovie les 8 et 9 juillet et les Journées mondiales de la jeunesse du 25 au 31 juillet à Cracovie. Afin de sécuriser son territoire à l’occasion de ces deux événements, la Pologne rétablit des contrôles à ses frontières avec ses voisins de l’Union européenne (Tchéquie, Allemagne, Lituanie, Slovaquie), mais aussi dans les ports et les aéroports. Les individus contrôlés sont sélectionnés en fonction d’une analyse des risques et les pays concernés sont susceptible de fournir des informations à propos de ces individus. Le trafic frontalier local a été également suspendu avec l’enclave russe de Kaliningrad et l’Ukraine.
Des préoccupations sécuritaires relatives à ces deux événements exigent de relever les frontières. Mais pourquoi temporairement ? Les Polonais et tous les peuples de l’Union européenne ont droit aux meilleures garanties de sécurité toute l’année…
Monde
Iran – deux migrants afghans condamnés à la pendaison pour le viol d’une Française
Deux Afghans ont été reconnus coupables d’avoir violé une jeune Française en septembre 2015. Ils ont été condamnés à mort par un tribunal de Téhéran.
Deux autres clandestins afghans devaient être jugés avec eux mais ils ont réussi à fuir le pays, selon le quotidien gouvernemental Iran.
La jeune touriste française, alors âgée de 23 ans et dont l’identité n’a pas été révélée, faisait de la marche le 19 septembre 2015 dans les montagnes de Farahzad, dans le nord de Téhéran, lorsque plusieurs hommes l’ont attaquée pour la voler et la violer.
« J’étais venue en Iran comme touriste et je découvrais le nord de Téhéran lorsque quatre Afghans m’ont approchée », a déclaré la jeune femme à la police, selon l’agence de presse de la télévision publique Irib. « Ils m’ont volée et m’ont violée, je ne pouvais pas me défendre », a-t-elle ajouté. […]
Téhéran et l’Iran sont des lieux généralement sûrs où les cas d’agression d’étrangers sont rares.
Les deux afghans, Gholam et Hakim, tous deux clandestins, devraient être exécutés par pendaison prochainement.
Turquie : l’appel à la prière du muezzin pour la 1ere fois depuis 85 ans à Sainte-Sophie
Pour la première fois depuis 85 ans a retenti l’appel à la prière d’un muezzin dans la basilique Sainte-Sophie d’Istanbul. Construite comme une basilique chrétienne orthodoxe sous le règne de l’empereur byzantin Justinien Ier en 537, le bâtiment avec son dôme célèbre, a été converti en mosquée suite à la conquête de la ville, en 1453, par le sultan Mehmet II. La diffusion de l’appel du matin à la prière depuis l’intérieur de la basilique est susceptible de relancer la controverse sur l’utilisation du bâtiment, qui a été converti en musée en 1935, sous Mustafa Kemal Atatürk, le fondateur de la République turque moderne. Depuis quelques années des voix islamistes se sont élevées en Turquie pour que le bâtiment redevienne un lieu de culte musulman. Mais le gouvernement grec dénonce régulièrement ces velléités. Le mois dernier il a protesté contre la récitation du Coran et il y a quelques jours le ministre grec des Affaires Étrangères s’est exprimé en ces termes : « Nous exprimons notre préoccupation importante et notre gêne face au franchissement d’un nouveau seuil qui porte atteinte à la nature de Sainte-Sophie comme un monument du patrimoine culturel mondial, dont la gestion est en contradiction avec les principes qui devraient le gouverner dans un état laïque moderne ».
Turquie : arrestation de 2 jihadistes de l’État Islamique à l’aéroport Ataturk d’Istanbul
2 hommes âgés de 25 et 35 ans ont été arrêtés à l’aéroport Ataturk d’Istanbul, cible d’un sanglant attentat il y a quelques jours. Les 2 hommes, ressortissants kirghizes déclarés, étaient porteurs de faux passeports, de vêtements militaires et surtout de lunettes de vision nocturne.
Concernant l’attentat du mardi 28 juin, l’un des kamikazes aurait également été originaire du Kirghizstan tandis que deux autres pourraient être russe et ouzbèque. Les autorités turques soupçonnent le commando terroriste d’avoir appartenu à une unité russophone de l’État Islamique, dirigée par un ancien combattant de Tchétchénie, Akhmed Tchataev. 29 personnes ont été arrêtés jusqu’à présent en rapport avec l’attentat qui a fait 45 morts et plus de 200 blessés dont 17 sont toujours en soins intensifs.
Palestine occupée : l’État sioniste autorise 800 nouveaux logements de colonisation
Selon un quotidien israélien, le Premier ministre Benjamin Netanhayou et le ministre des Affaires étrangères Avigdor Liberman viennent d’approuver les nouveaux plans de construction, ce dimanche 3 juillet, de 560 nouveaux bâtiments dans la colonie de Maale Adumin, en Cisjordanie, de 140 dans la colonie de Ramot et de 100 à Har Homa et Pisgat Zeev, dans la périphérie de Jérusalem-Est. Cette décision sonne comme une réplique provocatoire à la face de la communauté internationale et des puissances du « Quartette ». En effet ces dernières (États-Unis, Russie, Union européenne et Nations-Unies) se sont réunies quelques jours plus tôt, le 30 juin, en demandant instamment à « Israël de mettre fin d’urgence à la colonisation en Cisjordanie » ! L’ONU et la plupart des États considèrent les colonies israéliennes comme illégales, car construites sur des terres occupées par l’Entité sioniste depuis la guerre de 1967. Ces territoires conquis sont soumis aux Conventions de Genève, qui proscrivent la construction et la colonisation de terres occupées. or plus d’un demi-million d’Israéliens vivent dans plus de 230 colonies construites depuis 1967, à Jérusalem-Est et en Cisjordanie…
Les protestations de la communauté internationale, bien molles, resteront vraisemblablement encore une fois lettre-morte face à l’arrogance de cet État, centre mondial du judaïsme politique. On ne peut s’empêcher de pointer du doigt le 2 poids 2 mesures. D’autres États ont été sévèrement punis pour des faits de « colonisation » ou « annexion » (justifiés ou non) : l’Irak a été envahi pour l’annexion du Koweït, la Serbie a été bombardée pour son intervention au Kosovo, la Russie est sanctionnée économiquement et financièrement pour le retour de la Crimée.
Vidéo
Vladimir Boukovski – L’Union européenne : nouvelle URSS
Ephéméride nationaliste
5 juillet 1958 : 1er numéro de Jeune Nation
Le 5 juillet 1958, jour anniversaire de la prise d’Alger en 1830, le journal Jeune Nation fait paraitre son 1er numéro.
Il succédait au Courrier d’informations, bulletin intérieur du Mouvement Jeune Nation tiré au duplicateur paraissant entre 1955 et 1958.
Son directeur est Pierre Sidos, le Chef de Jeune Nation, qu’assiste Dominique Venner, venu tard au mouvement, mais qui s’était fait très vite remarquer par son ardeur et sa détermination, Luis Daney, un juriste qui a été officier en Algérie, Jean Malardier, militant déjà chevronné, Jacques Meyniel, agent de publicité et ancien d’Indochine et d’Algérie, F. Ferrand, un négociant parisien, Albert Malbrun, etc.
Outre les éditoriaux de Pierre Sidos et les articles de son équipe, Jeune Nation publie des chroniques, des études, des interviews de personnalités de la presse et de la politique.
C’est ainsi que paraissent, régulièrement, dans les colonnes du journal, les signatures des nationalistes Jacques Ploncard d’Assac et Hubert Saint-Julien (Hubert Lanbert), des anti-capitalistes Pierre Fontaine et Henry Coston, et celles des personnalités politiques et littéraires de tendance assez diverses : Pierre Hofstetter, Jean-André Faucher, Georges Robert, ancien délégué à la presse de Présence Française-Tunisie, Paul Ottaviani, chef national niçois, Saint Paulien, l’auteur du « Soleil des morts » et des « Maudits », le Général Rime-Bruneau président de Présence Française-Tunisie, le Dr Gaston Thouvenot, militant nationaliste connu en Algérie, Stéphen Hecquet, Jean-Louis Tixier-Vignancourt, qui était le défenseur des militants de Jeune Nation, Pierre-Antoine Cousteau, qui avait promis une chronique régulière dans le journal lorsque la mort l’emporta.
Après la dissolution du Parti Nationaliste et malgré les saisies nombreuses qui le frappe à chaque numéro, ou presque, le journal Jeune Nation poursuit sa publication jusqu’en 1961, date à laquelle Pierre Sidos entre en clandestinité…
L’attraction exercée par Jeune Nation sur la jeunesse française fut si grande, que plusieurs formations ou périodiques, sans être organiquement sortis du mouvement ou du journal, sont en quelque sorte ses héritiers directs.
C’est notamment le cas du journal Le Soleil de Pierre Sidos, de la revue Europe-Action, et du Mouvement Nationaliste, de Dominique Venner, de la Fédération des Etudiants Nationalistes, du mouvement Occident et d’une multitude de groupes et de feuilles provinciales qui ont existé au cours des années 60 et 70.
Le journal Jeune Nation reparaît dans les années 1990 et 2000, sous la direction d’Yvan Benedetti.
5 juillet 1962 : massacre d’ Oran
Depuis le 1er juillet, des manifestations musulmanes ont salué joyeusement l’indépendance. Sur Radio-Alger, le GPRA appelle à de grands rassemblements pour le 5 juillet, jour de la proclamation de l’indépendance.
Il reste à Oran, le 5 juillet, environ 100 000 Européens. Ils bénéficient, en principe, de la garantie de leur personne par les accords d’Évian.
On ignore qui prend l’initiative du massacre d’Européens qui va suivre. En revanche, concernant son déroulement ainsi que les enlèvements, les témoins sont unanimes à mettre en cause l’ALN, les ATO et des civils équipés de pistolets et de couteaux. Tous ces hommes armés agressent les Européens qu’ils rencontrent, dans un déchaînement meurtrier. C’est une véritable chasse à l’homme qui s’organise. Elle va mettre à feu et à sang de nombreux quartiers européens. Les hommes armés se ruent sur les immeubles, enfoncent les portes des appartements, ouvrent le feu dans les restaurants, arrêtent, enlèvent, égorgent, au hasard des rencontres. Des rafales de mitraillette balaient les terrasses des cafés, les porches, les voitures.
Les premiers rapts sont signalés vers 12 h 10 : une centaine d’Européens sont dirigés sur Ville-Nouvelle (quartier musulman du centre). Puis, la poste principale est envahie, les fonctionnaires présents sont égorgés et une trentaine de personnes, hommes et femmes, sont enlevées, contraintes de se déplacer à genoux. Les hommes de l’ALN quadrillent la ville. Ils enlèvent des personnes, et les regroupent. C’est ainsi qu’ils conduisent des Européens en cortège au commissariat central, ou vers Petit-Lac (quartier musulman, au sud-est), où sont pratiqués des assassinats de masse. Certains de ces prisonniers sont tués en chemin. D’autres sont sauvés par des musulmans.
Le général Joseph Katz, qui commande les 18 000 soldats français encore à Oran, survole la ville à plusieurs reprises. Il téléphone au président Charles de Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre et demander l’autorisation d’intervenir. « Surtout, ne bougez pas ! » lui est-il répondu. Par les accords d’Evian, en effet, le gouvernement français a accepté – contre l’avis des militaires – que le maintien de l’ordre relèverait exclusivement des autorités algériennes à compter du jour de l’indépendance. Les soldats restent donc dans les casernes.
Au soir de cette journée, la Grande Zohra apparaît comme prévu à la télévision, et proclame l’indépendance de l’Algérie.
On parle dans les semaines qui suivent de plusieurs centaines de morts. Les représentants des pieds-noirs évoquent le chiffre de 2 000 non compris quelques centaines de disparus… Des disparus qui seront signalés plus tard dans les mines de l’Algérie, dans des prisons, des maisons closes et des bars à soldats…
Ce massacre achève de terroriser la population civile européenne. Il lui montre qu’elle est privée de protection. Il lui montre la fragilité de son statut, défini par des accords d’Évian qui sont remis en cause d’un côté comme de l’autre. Le massacre suscite le désespoir des Européens, dont l’exode prend alors un tour définitif.
5 juillet 1988 : mort de Arthur Holmston-Smyslovsky (biographie)
Agenda
11 juillet – 17 juillet Camp-école Jeune Nation
© Jeune nation – 2016
« Arnaque au president » de 10 millions d’euros pour le bailleur social de Dunkerque (6 800 locataires).
http://www.lavoixdunord.fr/region/dunkerque-le-bailleur-social-cottage-victime-d-une-ia17b47588n3612016