Saint François-Xavier, confesseur
Sommaire :
Actualité nationaliste en Europe
- Délégation PNF et Jeune Nation aux commémorations de Corneliu Codreanu
- Délégation PNF et Jeune Nation aux commémorations de Jose Antonio Primo de Rivera
France
- Paris : délirante manifestation de bienvenue aux envahisseurs
- Nîmes : les tracts français / arabe de la CGT et du NPA
- Tarik E, le beau-frère de Mohamed Abrini arrêté puis relâché… faute d’avoir pu joindre la DGSI
- Extorsion par violence, menace : un conseiller départemental LR condamné à du sursis !
- Le Front national visé par une enquête préliminaire sur le financement de sa campagne aux régionales 2015
Etranger
Europe
- Monténégro : le coup d’État attribué à la Russie serait un coup monté
- Royaume-Uni : l’invasion migratoire a son plus haut niveau avant le Brexit
Monde
- États-Unis : l’ex-chef des Femen au Quebec, Kseniya Chernyshova, arrêtée pour prostitution
- Entité sioniste : piratage des journaux télévisés de deux chaines privées
- Les Nations-Unies réclament la cessation de toute poursuite contre Julien Assange
Ephéméride nationaliste
- 3 décembre 1890 : mort de Oswald Mosley
- 3 décembre 1897 : naissance de Boris Smyslovsky
- 3 décembre 2013 : mort de Paul Aussaresses
- 4 décembre 1892 : naissance de Francisco Franco
- 4 décembre 1923 : mort de Maurice Barrés
Agenda
- 11 décembre 2016 : XXIème Table Ronde de Terre et Peuple
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Actualité nationaliste en Europe
Délégation PNF et Jeune Nation aux commémorations de Corneliu Codreanu
Du vendredi 25 au dimanche 27 novembre 2016, une délégation du Parti Nationaliste Français, conduite par son porte-parole Yvan Benedetti, s’est rendue en Roumanie pour assister aux commémorations organisées à Tancabesti, sur le lieu de l’assassinat, le 30 novembre 1938, du Capitaine et fondateur de la Garde de Fer, Corneliu Codreanu, au pied de la croix érigée en son honneur. À l’issue de l’émouvante cérémonie, célébrée par un Pope de l’Eglise orthodoxe roumaine, plusieurs discours furent prononcés, notamment par notre Camarade organisateur, Florin Dobrescu, au nom de la fondation Ogoranu, ainsi que par Yvan Benedetti et par un représentant de la Phalange espagnole.
Croix à Tancabesti en hommage à Corneliu Codreanu et ses camarades
Comme en France, nos camarades de Roumanie sont confrontés aux maîtres de l’époque ; ainsi, la fondation Elie Wiesel a obtenu du gouvernement en place l’interdiction du parti « Tout pour la Patrie », héritier du mouvement légionnaire. C’est donc sous la surveillance de deux véhicules de police qu’a été organisée malgré les oukases du régime cette cérémonie d’hommage. Résonnèrent ensuite dans l’air froid le Chant du Légionnaire tombé et l’hymne aux jeunes légionnaires, tandis que nos bras saluaient le ciel d’un antique geste romain.
Nous eûmes ensuite l’honneur de visiter le sinistre bagne de Jilava, où les légionnaires et bien d’autres connurent la souffrance et les privations, tant sous la dictature du roi félon Carol II, que sous celle du Maréchal Antonescu et enfin, durant la trop longue nuit imposée par la barbarie communiste. Le corps du Capitaine ainsi que ceux des Nicadorii et Decemvirii y reposèrent un temps, le régime ayant tenté de masquer son odieuse forfaiture en les arrosant d’acide. C’est aussi dans ce même fort que le Maréchal Antonescu affronta son procès et les balles du peloton, rachetant par son courage face à la mort ses fautes envers les Légionnaires.
Enfin, nous pûmes visiter le siège de la Fondation Ogoranu, du nom de cet infatigable combattant légionnaire anticommuniste qui ne rendit les armes qu’en 1976. D’émouvantes reliques de cette épopée de géants peuvent toujours y être admirées.
Yvan Benedetti avec Florin Dobrescu, secrétaire général de la Fondation Ogoranu et organisateur de la commémoration de Tancabesti
Le lendemain, à l’issue d’une messe orthodoxe, à l’église légionnaire, dont l’entrée est marquée par un sobre monument à Mota et Marin, héros de la croisade anticommuniste espagnole, nous visitâmes le Bucarest légionnaire aux cotés de nos camarades et guides roumains. Nous vîmes aussi les traces, plus récentes, des soulèvements étudiants de 1989, contre Ceaucescu, mais aussi de 1990 et d’après, contre Petre Roman, Iliescu et leurs sbires. Nos hôtes qui y occupèrent, comme militants légionnaires et étudiants, la première ligne, nous contèrent leurs combats, poitrine et foi révolutionnaires s’opposant aux mitrailleuses et aux voitures blindées, leurs espoirs, leurs déceptions, nous évoquant parfois le souvenir de tel ou telle de leurs camarades, tombés au combat pour la liberté et la grandeur de la patrie roumaine, devant quelques plaques rappelant sur les murs, cicatrices encore béantes, sobrement leur sacrifice…
Stèle en hommage à Mota Marin à l’entrée de l’Église légionnaire à Bucarest
C’est pleins de gratitude pour cet accueil que nous avons reçu, pleins d’espoir et illuminés par la beauté de la geste légionnaire que nous sommes rentrés en France, sûrs de la solidité des liens d’une fructueuse amitié politique ainsi créés. Et, comme le clamaient les Légionnaires, aux temps de la clandestinité, par cet acronyme partout repris : TLC ! Traiasca Legiunea şi Capitanul !
Vive la Légion et le Capitaine !
Qui vive ? FRANCE ! TLC !
Délégation PNF et Jeune Nation aux commémorations de Jose Antonio Primo de Rivera
Une délégation du PNF et du cercle Franco-Hispanique, constituée d’une vingtaine de militants venus des quatre coins de France s’est rendue en Espagne. Invités par nos camarades Phalangistes à l’occasion des cérémonies et manifestations du 20 novembre, commémorant les morts de José Antonio Primo de Rivera et Francisco Franco. Cette année fut marquée par le quatre-vingtième anniversaire de la mort de José Antonio le 20 novembre 1936.
Le vendredi matin, la délégation se retrouva pour une visite historique du temple de Debod, temple offert sous la présidence de Gamal Abdel Nasser en 1972 à Franco.
En contrebas, à l’emplacement de la caserne madrilène : le Cuartel de la Montaña ou a été érigé un monument en mémoire du siège tenu bravement par le Général Fanjul, où tombèrent 500 à 900 hommes comprenant des cadets et des phalangistes.
Conviés à un déjeuner à « La Légion » aux côtés de nos camarades espagnols nous partageons un moment de convivialité autour de spécialités espagnoles. Le vendredi soir, se tient la grande manifestation qui débute par les discours des divers représentants. Avec notamment, Udo Voigt l’ex-président du NPD allemand, Yvan Benedetti chef envers et contre tout de l’Œuvre Française, pour finir sur celui de Manuel Andrino, chef national de la Phalange.
Benedetti prenant la parole devant une foule attentive.
Le défilé suit son traditionnel parcourt, au départ de la rue Génova (la maison natale de José Antonio) jusqu’à l’Arc de la Victoire, monument célébrant la victoire du camp nationaliste pendant la guerre civile.
De là, se forme deux colonnes distinctes, en tête les étendards et drapeaux flottent, juste derrière eux le Catafalque que couvre le drapeau de la Phalange. Rappelant le transfert du cercueil de José Antonio d’Alicante – où il fut tué – au monastère de Saint-Laurent de l’Escurial par les phalangistes en 1939, qui se fit à dos d’hommes pendant dix jours. La marche à la couronne commence au rythme du tambour et des flambeaux, c’est bras tendu que les espagnols saluent les colonnes.
Départ de la marche à la couronne.
Quatre militantes phalangistes portant le Catafalque.
À la sixième et avant-dernière étape, les Français eurent l’honneur de commander la colonne et de porter la couronne.
C’est à l’issue d’une quarantaine de kilomètres, marqués par le pas espagnol dans un silence poignant, que la colonne s’arrête aux portes de la Valle de los Caïdos, au petit jour. Les portes nous sont fermées, à l’initiative du gouvernement traître.
La couronne de fleur est déposée devant les grilles. Après une prière, un abbé bénit les participants. La marche s’achève sous un soleil radieux, l’hymne phalangiste s’élève au loin. Le « Cara el Sol ».
Une partie de la délégation du PNF, comprenant plusieurs Caryatides a pu visiter la Valle de los Caïdos le samedi après-midi.
En soirée, nous sommes tous invités au dîner des nations, organisé au siège de la Phalange pour les délégations étrangères. Durant le repas, les responsables des différentes délégations prirent tour à tour la parole.
S’ensuivirent des échanges de camaraderies autour du « vin nouveau » espagnol.
Reprenant ainsi les mots de Saint Loup : « Lorsque la jeunesse française avait repris la route de la vie libre et de l’amour fraternel, elle avait éprouvé le besoin de chanter. (…) Et les chants achevèrent de créer l’unité » les chants rythmèrent la soirée.
Le dimanche en début d’après-midi, nous rejoignons la Place de l’Orient, ou le rassemblement du 20 novembre rend hommage à José Antonio Primo de Rivera et Francisco Franco décédé le 20 novembre 1975. De très nombreux patriotes étaient présents. Ainsi que les mouvements : de Fuerza Nueva, le Movimiento Católico Español, la Falange et Democracia Nacional. Hélène Grimaldi entama le premier discours au nom du Cercle Franco-Hispanique.
Le lundi, une partie de la délégation du PNF a organisé une visite de Tolède. Notamment de l’Alcázar de Tolède où les franquistes résistèrent héroïquement pendant deux mois face aux républicains, jusqu’à la délivrance par l’arrivée des troupes du Général José Enrique Varela et le lendemain, du Général Franco.
C’est le cœur emplit de courage et de volonté pour le combat qu’il nous reste à mener, que nous sommes rentrés en France. Le nationalisme est un socle immuable, une famille, qui porte les peuples et les lient par une amitié dépassant tout entendement.
Arriba Espana ! Qui vive ? France !
France
Paris : délirante manifestation de bienvenue aux envahisseurs
Le 26 novembre dernier, quelques centaines de Parisiens sont descendus dans la rue afin de manifester leur soutien aux « personnes ayant fui des zones de conflits » et pour rappeler au gouvernement la nécessité de respecter l’article 13 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Selon les conceptions délirantes des organisateurs, qui confinent à la trahison, « toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un État, toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien ». C’est pour défendre ces principes de la Déclaration universelle des droits de l’homme et dire « bienvenue » à ces envahisseurs prétendument « contraints de quitter leurs maisons » et « fuir les hostilités dans leurs pays », qu’un un millier de personnes sont donc descendues dans les rues de la capitale.
Et les autorités de police qui ne manque pas d’interdire la moindre manifestation et réprimer le moindre attroupement d’oppositions à l’invasion a autorisé et laissé se dérouler impunément cet affront. « Migrant-es bienvenue », était le slogan sous le lequel s’est déroulée la manifestation. Les militants se sont rassemblés place Stalingrad, d’où quelques 3 800 envahisseurs qui pourrissaient la vie des riverains avaient été évacués début novembre. Sur leurs pancartes et banderoles on pouvait lire : « Face au tri, face aux expulsions. Liberté de circulation et d’installation ».
Les milliers de victimes passées et futures d’agressions, vols, viols et meurtres commis par des envahisseurs apprécieront. Silence, on assassine un peuple !
Nîmes : les tracts français / arabe de la CGT et du NPA
Tarik E, le beau-frère de Mohamed Abrini arrêté puis relâché… faute d’avoir pu joindre la DGSI
Selon « Le Canard Enchaîné », le beau-frère de Mohamed Abrini a été interpellé dans un hôtel de Roissy-en-France le 19 novembre, après avoir réservé une chambre sans bagage et interrogé le réceptionniste sur la configuration du centre commercial le plus proche. Faute de pouvoir joindre la DGSI, alertée d’un risque imminent d’attentat en région parisienne, les gendarmes ont été forcés de le relâcher.
C’est un client un peu étrange qui se présente à la réception du Formule 1 de Roissy-en-France (Val d’Oise) ce 19 novembre, à 1h30 du matin. Dépourvu de bagages, l’homme réserve une chambre pour la nuit et règle la facture en espèce. S’il « paraît très nerveux », c’est vers 4h du matin, lorsqu’il redescend à la réception que l’homme commence à intriguer. Visiblement peu discret, l’homme en question interroge le réceptionniste sur le centre commercial le plus proche. Il veut tout savoir, des horaires, à la configuration du site. De quoi inquiéter le réceptionniste qui, ni une, ni deux, appelle la gendarmerie la plus proche.
Lorsqu’elle arrive sur place, la patrouille de gendarmes fait la connaissance de Tarik E., 27 ans, « touriste » originaire de Molenbeek, ville où le commando du 13 novembre avait séjourné avant son funeste trajet. Tarik E. est finalement placé en garde à vue vers 13h. Le cannabis retrouvé dans sa chambre d’hôtel suffit à justifier son interpellation. Si les gendarmes ne trouvent rien de lui dans leurs petits papiers, ils apprennent rapidement en appelant un service de coopération franco-belge que l’individu vient d’être libéré de prison pour trafic d’armes, qu’il est fiché comme radicalisé en Belgique et enfin, cerise sur le gâteau, que sa sœur est la compagne de Mohamed Abrini, « l’homme au chapeau » vu à l’aéroport de Bruxelles avant les attentats de mars.
En apparence, tout laisse à penser que la présence de Tarik E. dans cet hôtel devrait faire l’objet d’une étude un peu plus poussée. Mais faute de pouvoir joindre leurs collègues de la DGSI pour avoir des informations supplémentaires et le garder plus longtemps, les gendarmes décident de relâcher l’homme dans la nature. Si cette histoire paraît surréaliste, elle semble d’autant plus grotesque qu’« au même moment », indique le journal, les forces de police étaient alertées d’un risque imminent d’attentat en région parisienne.
La DGSI était priée de garder l’œil ouvert… elle aurait peut-être juste dû décrocher son téléphone.
Extorsion par violence, menace : un conseiller départemental LR condamné à du sursis !
Un an de prison avec sursis pour le conseiller départemental LR de Soissons, Frédéric Vanier
Le lundi 28 novembre, le tribunal correctionnel de Senlis a condamné à un an de prison avec sursis, Frédéric Vanier, conseiller départemental LR de Soissons et maire adjoint aux sports de la cité du Vase, pour des faits survenus en août dernier à Crépy-en-Valois, pour des faits d’extorsion par violence, menace ou contrainte de signature.
Le Front national visé par une enquête préliminaire sur le financement de sa campagne aux régionales 2015
La justice s’interroge sur une possible surfacturation des frais de campagne du Front national lors des régionales de 2015.
Le 9 novembre, la justice a ouvert une enquête préliminaire sur le financement de la campagne du Front national, lors des régionales 2015, selon une information vendredi 2 décembre de franceinfo. Il s’agit d’une investigation préliminaire pour « escroquerie au préjudice de l’État, abus de biens sociaux et blanchiment de ces délits« . L’investigation a été confiée à la brigade financière.
La justice s’intéresse à Presses de France, une société fondée en juillet 2015 et dirigée par le conseiller régional FN d’Ile-de-France, Axel Loustau. Elle a été créée pour remplacer la société Riwal, qui n’avait plus le droit de travailler avec le Front national. Riwal sera jugée comme personne morale dans l’enquête sur le financement par le FN des campagnes de 2012 (les législatives et la présidentielle).
L’entreprise Presses de France a travaillé avec les mêmes sous-traitants que Riwal, qui étaient chargés d’imprimer le matériel électoral pour une partie des candidats du Front national aux régionales 2015. Lors de ces élections, Presses de France a reçu 4,7 millions d’euros de remboursement des frais de campagne de la part de l’État. Selon les enquêteurs, seuls 1,2 million d’euros ont été versés aux imprimeurs. La cellule antiblanchiment du ministère des Finances, Tracfin, qui soupçonne une possible surfacturation des frais de campagne, a alerté la justice fin juillet.
Les enquêteurs s’interrogent aussi sur un possible enrichissement personnel. En effet, une autre partie de la somme remboursée par l’État, un peu moins d’un million d’euros, a été versée à la Financière Agos, ancienne société d’Axel Loustau, aujourd’hui dirigée par l’un de ses proches.
Un million d’euros de ces remboursements ont également été reversés à la Financière de la Pépinière, qui ne revendique pourtant pas d’activité en lien avec une campagne électorale.
Les financements de toutes les campagnes du FN menées depuis 2011, et l’arrivée de Marine Le Pen à la tête du parti, font donc désormais l’objet d’une enquête.
Etranger
Europe
Monténégro : le coup d’État attribué à la Russie serait un coup monté
Dans la nuit du 15 au 16 octobre 2016, une vingtaine de paramilitaires d’origine serbe franchit la frontière qui la sépare du Monténégro. Elle pénètre dans le petit pays des Balkans, dernier né de la partition de l’ex-Yougoslavie. À sa tête, un ancien commandant de police serbe, Bratislav Dikic, surnommé « le petit Legija » – du nom d’un autre paramilitaire serbe, assassin du Premier ministre (en 2003) et de l’ancien président (en 2000) – qui est suspecté d’être à la tête d’une organisation mafieuse en Serbie, et que la gendarmerie de son pays a renvoyé de ses rangs en 2013.
L’expédition tourne court. Les membres du commando sont rapidement appréhendés par les forces de police monténégrines. Ces dernières les accusent d’avoir tenté de se procurer des armes de guerre, afin de mener l’assaut contre plusieurs institutions étatiques. On leur prête même l’intention d’avoir planifié l’arrestation et l’enlèvement du Premier ministre en exercice, Milo Djukanovic.
Selon le procureur monténégrin en charge du dossier, l’enquête aurait, permis de démontrer que le commando était composé de « nationalistes russes », qui auraient planifié leur irruption au sein du Parlement, l’exécution du Premier ministre et l’arrivée d’une coalition pro-russe au pouvoir. Affirmations pour lesquelles le procureur n’a cependant pu avancer la moindre preuve…
La tentative n’a pas eu lieu n’importe quand mais le dimanche 16 octobre, jour d’élections législatives au Monténégro. En jeu, la reconduction de la formation du Premier ministre, le Parti démocrate des socialistes (PDS), au pouvoir depuis plus de 25 ans, à laquelle est opposée le Front démocratique (FD), une coalition de partis monténégrins qui monte dans le paysage politique national
Et ces élections générales du 16 octobre étaient présentées par le camp du Premier ministre, comme l’occasion pour les électeurs d’arbitrer entre d’un côté sa formation, favorable à l’intégration du Monténégro à l’Otan et à l’Union européenne, et de l’autre l’opposition accusée de vouloir précipiter le pays au rang de « colonie russe ».
Depuis, de plus en plus d’observateurs s’interrogent. Ils se demandent si, comme Recep Tayyip Erdoğan instrumentalisant le coup d’État du 15 juillet 2016 pour raffermir son pouvoir et purger la société et l’administration, le Premier ministre monténégrin n’aurait pas commandité le commando serbe qui a pénétré dans son pays, dans la nuit du 15 au 16 octobre ?
C’est l’avis du « Centre for Eastern Studies », un think tank basé à Varsovie : il suggère que la tentative de coup d’État fait partie du plan du PDS pour gagner les élections. Et il avance pour preuve que « l’arrestation du commando, orchestrée par les partisans de Djukanovic au sein de la police et des services secrets, n’a pas été coordonnée à l’avance avec le chef du ministère de l’Intérieur », qui lui-même n’est pas membre du DPS, le parti de Djukanovic…
Finalement, au terme du processus électoral, le PDS est certes arrivé en tête, mais avec un peu plus de 41% des suffrages exprimés il est dépourvu de majorité absolue. Et les troubles observés avant, pendant et après les dernières élections laissent l’image d’un régime fébrile, aux méthodes douteuses et autoritaires. Le clan européo-atlantiste ne recule devant rien…
Royaume-Uni : l’invasion migratoire a son plus haut niveau avant le Brexit
L’immigration vers le Royaume-Uni a atteint des niveaux record juste avant que la Grande-Bretagne ait voté pour quitter l’Union européenne, selon des données de l’Office des Statistiques Nationales (ONS)
Le solde migratoire (différence entre le nombre de personnes qui sont entrées sur le territoire et le nombre de personnes qui en sont sorties au cours de l’année) a atteint le niveau de + 335 000 entrées dans le Royaume-Uni.
650 000 personnes sont venues au Royaume-Uni en 1 an, de Juin 2015 à Juin 2016, avec un nombre « historiquement élevé » de citoyens de l’Union européenne entrant dans le pays avant le vote Brexit.
284 000 citoyens de l’Union européenne ont immigré au Royaume-Uni au cours de l’année, ce que l’ONS estime être la « plus haute estimation enregistrée ». Le nombre de personnes immigrant en Grande-Bretagne hors de l’UE était de 289 000.
Un grand facteur de l’immigration record de l’Union européenne dans le pays a été un nombre croissant de citoyens bulgares et roumains se déplaçant vers la Grande-Bretagne, la majorité d’entre eux pour trouver du travail.
Monde
États-Unis : l’ex-chef des Femen au Quebec, Kseniya Chernyshova, arrêtée pour prostitution
L’ex-leader de Femen Québec, Kseniya Chernyshova, qui s’était fait connaître en se dénudant la poitrine à l’Assemblée nationale en 2013, a été arrêtée à New York il y a deux semaines. Elle fait face à un chef d’accusation de prostitution.
Son arrestation est survenue le 11 novembre, trois jours après l’arrestation à New York de la Femen montréalaise Neda Topaloski, qui s’est présentée les seins nus au bureau de vote de Donald Trump, dans Manhattan, le jour de l’élection présidentielle. Les deux événements ne semblent cependant pas liés.
Le Bureau du commissaire adjoint à l’information du NYPD a indiqué hier à que Kseniya Chernyshova a été arrêtée dans la soirée du 11 novembre pour « avoir accepté de participer à un échange sexuel contre la somme de 300 $ ». La police new-yorkaise n’a pas donné plus de détails sur les circonstances de l’arrestation.
Jointe par Facebook, la Montréalaise de 30 ans dément formellement s’être livrée à des activités de prostitution. Elle affirme avoir été incarcérée pendant 24 heures avant d’être libérée. Les policiers new-yorkais l’ont laissée avec seulement un dollar en poche à sa sortie du poste.
En octobre 2013, Kseniya Chernyshova avait défrayé la chronique lorsqu’elle s’était dénudée la poitrine dans l’estrade des visiteurs de l’Assemblée nationale, avec deux autres complices. Les trois femmes avaient scandé « Crucifix décâlisse » pour dénoncer la présence de symboles religieux dans l’arène politique. Peu après, Kseniya Chernyshova, avait prétendument rompu avec le mouvement Femen…
Entité sioniste : piratage des journaux télévisés de deux chaines privées
Les deux grands journaux télévisés israéliens du soir ont été piratés mardi 29 novembre par des hackers qui ont diffusé des messages en faveur de l’islam semblant présenter une récente vague d’incendies comme une punition divine contre Israël.
Le piratage est intervenu la veille de l’examen, attendu mercredi, par le Parlement israélien d’une proposition de loi qui indigne les musulmans. Le texte reviendrait à interdire aux mosquées d’employer des haut-parleurs pour l’appel à la prière tôt le matin et tard le soir. Les journaux de la « 2 » et de la « 10 », chaînes privées, ont donc été coupés pendant une trentaine de secondes par des images de sites musulmans, dont l’esplanade des Mosquées à Jérusalem (également révérée par les juifs comme le mont du Temple), avec en fond sonore des appels à la prière. Des inscriptions en hébreu sont apparues à l’écran, proclamant : « Allah est le plus grand », « punition de Dieu » et « le feu qui embrase les cœurs ». Ces propos paraissent faire référence à la vague exceptionnelle d’incendies qui a sévi la semaine passée en Israël et en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël.
Selon les médias israéliens, les pirates ont réussi à infiltrer les liaisons satellites des deux chaînes sans parvenir à s’introduire dans les systèmes informatiques des chaînes elles-mêmes ou du satellite. En juillet 2014, un groupe de pirates informatiques partisans du régime syrien avait piraté un compte Twitter de l’armée israélienne durant la guerre entre Israël et les groupes armés palestiniens dans la bande de Gaza. En janvier 2012, une campagne de piratage informatique contre Israël avait frappé les sites officiels de la Bourse de Tel-Aviv et de la compagnie aérienne El Al, une cyber-offensive revendiquée par des hackers affirmant être Saoudiens et Palestiniens de Gaza.
Les Nations-Unies réclament la cessation de toute poursuite contre Julien Assange
Les Nations unies ont rejeté tous les appels et ont confirmé leur décision visant à obliger la Suède et le Royaume-Uni à cesser de poursuivre Julian Assange, le fondateur du site lanceur d’alerte WikiLeaks.
Le 30 novembre 2016, les Nations unies ont rejeté un appel du Royaume-Uni contre sa précédente décision concernant Julian Assange. L’ONU confirme ainsi qu’elle demande à Londres et Stockholm de mettre fin à la « détention arbitraire » du fondateur de WikiLeaks. Plus tôt cette année, l’Onu avait émis une résolution demandant au Royaume-Uni et à la Suède de prendre des mesures immédiates pour assurer la liberté du fondateur de WikiLeaks, afin de protéger ses droits fondamentaux.
Bien que le Royaume-Uni ait fait appel de cette décision à deux reprises, l’ONU a rejeté son deuxième appel mercredi en le qualifiant « d’inadmissible », a indiqué le site Justice for Assange, tout en soulignant que ce rejet signifie la fin des « tentatives de Londres de contrer la décision de l’Onu ».
« Maintenant que tous les appels sont rejetés, je m’attends à ce que le Royaume-Uni et la Suède remplissent leurs obligations internationales et me libèrent », a déclaré Julian Assange, en qualifiant sa détention « d’injustice évidente et grotesque ».
Julian Assange, âgé de 45 ans, se trouve dans l’ambassade équatorienne à Londres depuis 2012, craignant d’être arrêté par la police britannique et extradé par la suite en Suède qui, à son tour, selon lui, l’extradera aux États-Unis. Une fois dans ce pays, il pourrait faire face à la peine de mort dans l’affaire des révélations de Wikileaks contenant des secrets militaires et des câbles diplomatiques.
Ephéméride nationaliste
3 décembre 1890 : mort de Oswald Mosley
3 décembre 1897 : naissance de Boris Smyslovsky (biographie)
3 décembre 2013 : mort de Paul Aussaresses
4 décembre 1892 : naissance de Francisco Franco
4 décembre 1923 : mort de Maurice Barrés
Agenda
11 décembre 2016 : XXIème Table Ronde de Terre et Peuple
© Jeune nation – 2016
J-Charles della Faille, circa 1640, Antoine van Dyck
(Musées royaux des beaux-arts de Belgique – Bruxelles)
La Convention Nationale du Crif a lieu ce dimanche 4 décembre au Palais des Congrès. Thème : « Si on parlait de la France ? » (aie).
http://www.crif.org/fr/newsletter/aujourdhui-la-7eme-convention-nationale-du-crif-cest-dimanche-inscriptions-en-ligne-programme-boycott-securite
Valls « condamné à la loyauté » par Gilles Finchelstein et Maurice Szafran (sur BFM).
http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/manuel-valls-condamne-a-la-loyaute-22-890021.html
Robert « fine gueule » Zarader passe a table avec Anne Sophie Lapix-Sadoun et Patrick Cohen (sur France 5).
http://www.coulisses-tv.fr/index.php/magazines/item/8798-“c-à-vous”-vendredi-2-décembre-spéciale-hollande,-les-invités-d-anne-sophie-lapix
« Espion », « traitre » : Zarader, qui jusqu’à présent murmurait à l’oreille de Hollande, penche desormais pour Macron.
http://lelab.europe1.fr/ces-hommes-de-lombre-qui-naviguent-entre-francois-hollande-et-emmanuel-macron-2892653
Mais « Quel avenir pour notre démocratie ? » demande Patrick Cohen a Gilles Finchelstein et Romain Slitine (sur France Inter).
https://www.franceinter.fr/emissions/le-7-9/le-7-9-29-septembre-2016
La guerre continue entre les façadiers français et Vinci, qui leur a préféré une société turque.
http://www.lemoniteur.fr/article/tour-saint-gobain-la-guerre-des-mots-continue-entre-vinci-et-les-facadiers-francais-33767880
A 250 euros la place, l’Opéra de Paris, pure escroquerie ? Non, mais « Il faut savoir ne pas persister dans ses erreurs ». « Mis à part trois paires de seins et quelques torses nus plutôt chastes, c’est le décor qui se dépouille, seulement habillé de lumière (comme les filles du Crazy Horse). En revanche, on passera sur les toges stylisées et les slips kangourous des danseurs… »
http://www.forumopera.com/actu/opera-de-paris-le-juste-prix
https://www.francemusique.fr/evenements/eliogabalo-l-opera-national-de-paris-opera-garnier