J’ai toujours été nationaliste frappé par l’évidence de la supériorité de cette doctrine. Le nationalisme, c’est avant tout une grande histoire d’amour politique pour notre peuple, notre terre, notre héritage, notre culture et tout ce qui est constitutif de la France. Il faudrait être bien fou ou inconscient pour ne pas aimer d’un amour ardent cette mère nourricière si belle et si glorieuse.
Le nationalisme, c’est également la plus complète des doctrines qui a naturellement épousé tous les enjeux de notre temps : l’écologie intégrale par le localisme et les circuits courts ; la promotion du rôle de la femme, nous qui honorons chaque année Ste Jeanne d’Arc ; les grands enjeux internationaux par le rejet de toute forme d’asservissement des peuples de Damas à Taïwan en passant par Caracas mais aussi l’économie, nous qui suivons globalement les préceptes du seul prix Nobel d’économie français, Maurice Allais.
Alors que socialistes et libéraux posent irrémédiablement les mêmes constats depuis 40 ans, sont au pouvoir depuis toujours et échouent encore et encore, Jean-Marie le Pen avait prédit dans le détail et avec 40 ans d’avance ce que nous vivons aujourd’hui et qui avait déjà été conceptualisé dès le début du XXe siècle par de grands penseurs. Tous les régimes nationaux ont brillé par leurs accomplissements, l’unité populaire qu’ils ont su créer derrière eux et le bien commun comme seul objectif politique alors que tous les régimes communistes s’effondraient sur eux même sous le poids de leurs crimes et de leur économie à bout de souffle.
Je n’ai jamais été particulièrement raciste, j’ai un profond respect pour la plupart des peuples que je peux connaître et une certaine neutralité vis à vis de ceux dont je ne maîtrise pas assez les codes pour me faire une opinion. Ce qui certain c’est que tout comme deux familles voisines n’auront pas les mêmes accomplissements académiques, professionnels, éducatifs… jamais deux peuples ne pourront être égaux même si aucun n’est nécessairement supérieur à l’autre. Dire le contraire est une absurdité rhétorique…. De même, aucun principe moral n’interdit de préférer son peuple à tous les autres. Tout comme au sein d’une famille, c’est le peuple qui nous a vu naître, grandir, nous épanouir, c’est le peuple dont nous avons hérité les codes, l’histoire par filiation directe. Tout comme renier la mère qui nous a porté et élevé avec amour serait moralement condamnable, renier sa Nation n’est pas quelque chose de normal et n’est pas quelque chose d’acceptable.
La race est quelque chose de plus complexe. Je ne lui ai jamais porté une importance majeure mais les événements actuels me renvoient de manière permanente vers elle. Je ne suis plus un homme, français, hétérosexuel et catholique, je ne suis plus qu’un Blanc. Les manifestants, les médias, les élus, tous n’ont que cette obsession à l’esprit : les Blancs sont coupables, quels qu’ils soient et quoi qu’ils aient fait. Des idéologues BLM [« Black Lives Matter »] ont même émis le concept très bien reçu par la communauté anti raciste selon lequel TOUS les Blancs sans exception étaient fondamentalement racistes, même sans le savoir, de par leur éducation « occidentalo-centrée ».
La race semble donc un concept phare, un nouveau combat à mener qui désormais prendra une place croissante sur le champ de bataille politique sur lequel nous sommes tous engagés. Étonnamment, les nationalistes sont plutôt mauvais sur ce concept. Mis à part quelques individus folkloriques lors d’événements folkloriques, je n’ai jamais véritablement croisé de militant politique de la race en 15 ans de nationalisme contrairement aux phantasmes de nos adversaires. Nous menons un combat national voir civilisationnel au niveau européen bien plus riche culturellement que le combat pour un taux de mélanine dans la peau et quelques caractéristiques génétiques. Cependant, c’est la que nos adversaires ont décidé de nous attaquer, et c’est donc la que nous mènerons bataille.
Nous devons des aujourd’hui nous réapproprier ces concepts qui plus est lorsqu’on les croyait disparus et qu’ils reviennent de plus belle dans le débat public.
Oui nous sommes des Blancs et comme pour la famille dans laquelle nous sommes nés et le sol sur lequel nous avons vu le jour, nous en sommes fiers ! Est ce que tout est parfait, est ce que notre histoire est immaculée ? Je ne sais pas, mais je ne me renierai pas ni ce que je suis. Les Blancs ont ils vendu plus ou moins d’esclaves que les centaines de milliers d’âmes vendues par les Arabes ou par les Noirs eux mêmes ? Je ne sais pas, personnellement je n’ai jamais acheté d’esclave et me semble t il, aucune personne qui me le reproche n’a elle même connu l’esclavage.
Ce monde individualiste a voulu nous faire croire que la seule chose qui ait de la valeur, c’est sa jouissance personnelle. Abandonner sa famille pour en refonder une nouvelle ? Pas de problème, on va faire une loi. Vous avez peur des migrants en bas de chez vous dans le centre de Paris ? Pas de problème, on va les envoyer à Calais. Vous souhaitez vous débarrasser de l’enfant qui grandit en votre sein ? Pas de problème, la sécu rembourse la « procédure » [Avortement]. Pourtant, même le plus individualiste et paumé de nos frères ressent le malaise que nous ressentons tous quand l’adolescent blanc se fait tabasser par 10 allogènes à la sortie de son lycée pour sa couleur de peau et se fait afficher sur Youtube. Chacun d’entre nous souffre intérieurement quand la petite blanche se fait violer par 4 métèques au bas de sa tour car elle est la seule blanche du quartier.
Aujourd’hui, les Noirs nous montrent la voie. N’ayons pas peur de saisir leur main et d’embrasser les concepts qu’ils nous offrent : nous sommes Blancs, fiers et non reniés. En tant que tel, nous serrons les rangs comme les membres d’une seule et même famille. De Lille à Marseille et de Brest à Strasbourg nous ne sommes qu’un, nous sommes chez nous et nous ne vous lâcherons jamais rien. Fixons nous des objectifs ambitieux mais atteignables : convertissons nous, puis convertissons nos proches : mon cousin, mon boucher, ma coiffeuse, mon collègue. A chaque jour suffit son petit élément factuel, sa petite opinion pernicieuse. Nous sommes programmés depuis 50 ans pour ne pas entendre le discours racialiste. Une porte s’ouvre grâce aux BLM[« Black Lives Matter »], enfonçons la et clamons notre fierté et notre solidarité qui ne seront féconds que lorsqu’ils se traduiront en actes.
Quelle finalité de cette réflexion ? La finalité, c’est que la race, bien que concept très pauvre politiquement nous donne un outil : fini les délires de Mamoudou plus français que toi car sa carte d’identité toute neuve le dit. Finit les tracas juridiques et dialectiques pour expliquer avec pertes et fracas pourquoi Mohamed retraversera forcément la Méditerranée un jour ou l’autre même s’il est électeur inscrit au bureau de vote de la mairie du 15e.
Saisissons cet outil et travaillons d’arrache pieds pour devenir au plus vite la plus grande agence de voyage Nord-Sud de l’histoire de l’humanité sous le haut patronage de Sainte Isabelle. Le génie blanc mit sur pieds les chantiers de l’atlantique, fleuron mondial de l’industrie maritime basés à Saint-Nazaire ou encore le joyau national, Airbus à Toulouse. Nous pouvons même demander à Vinci de nous construire un pont sur la Méditerranée pour que les bus Renault organisent une voie sacrée pour permettre à nos invités d’un jour de regagner leurs véritables foyers.
Bref, l’antiracisme n’existe plus, il est temps pour tous les peuples du monde de clamer la fierté d’être eux mêmes et de se réapproprier la terre de leurs ancêtres pour y préparer un avenir lumineux et en paix pour tous.
« Nous ne sommes qu’amour. Amour de notre peuple, amour de notre terre, amour de nos traditions. Mais venez à y toucher et nous déclencherons l’enfer ». Y.B.
Quel texte remarquable !
Je suis très impressionné et je valide cet engagement qui est le vôtre et que je partage !
Bravo.
Merci !
Voilà un condensé d’arguments réutiisables auprès de nos détracteurs.
Il est toujours important des les avoirs bien clairs contre nos adversaires.