S’il y a bien un mythe tenace, c’est celui selon lequel Hitler aurait eu en juin 1940 l’intention d’envahir l’Angleterre. C’est d’abord l’un des plus grands travestissements de la pensée générale du Führer : en réalité, il était un grand admirateur de l’Empire Britannique comme expression et démonstration de la supériorité raciale blanche, il l’a clairement dit dans sa réponse à Roosevelt le 28 avril 1940, dans son discours devant le Reichstag.
Tout ce qu’on croit savoir au sujet d’un projet d’invasion de l’Angleterre par Hitler est un mythe créé de toutes pièces par Churchill
On sait d’après le journal personnel de Lord Halifax, le ministre des Affaires étrangères britannique, qu’Hitler avait proposé des conditions d’armistice qui excluaient tout contrôle allemand sur l’Angleterre. Churchill n’a pas autorisé que ces conditions soient lues devant le cabinet (conseil des ministres) et elles sont restées soigneusement occultées, leur déclassification ne devant pas intervenir avant cent ans. Mais même sans aller chercher dans des notes secrètes, Hitler avait fait en public, devant le Reichstag, le 19 juillet 1940, une offre de paix à l’Angleterre.
Et au lieu d’examiner ces conditions, Churchill a au contraire tout fait pour maintenir la Grande-Bretagne en état de guerre en soutenant l’affabulation selon laquelle le pays était confronté à une guerre pour sa survie. Mais quelle absurdité ! En plus d’être un non-sens idéologique c’était une impossibilité militaire absolument flagrante, qu’on songe seulement à l’armada qu’il a fallu quatre ans plus tard, le 6 juin 1944, et alors qu’il n’y avait aucune opposition navale allemande. Le mensonge de Churchill n’est battu que pas celui de Roosevelt qui prétendait sans ciller que les flottes fascistes fonderaient comme des essaims à travers l’Atlantique (même les USA n’auraient pas pu mener le débarquement en partant de New York, le D-Day n’a été possible que parce qu’il y avait une base de départ proche : l’Angleterre).
La réalité, c’est que le chef de la Kriegsmarine, l’amiral Raeder, avait expressément interdit à ses équipes de planifier une invasion de la Grande-Bretagne. Loin de vouloir poursuivre la guerre en juin 1940, Hitler avait au contraire ordonné la démobilisation de 20% de son armée pour permettre à l’économie allemande de redémarrer. La « flotte d’invasion » que les nazis commençaient à constituer cet été-là n’était pas plus capable d’envahir la Grande-Bretagne que Hawaï. C’était de la guerre en trompe l’œil pour amener l’Angleterre à la table des négociations (et aussi, probablement, pour masquer aux Soviétiques la préparation de Barbarossa).
Qu’on en juge, cette « flotte » se constituait de 1900 barges fluviales à fond plat, un tiers seulement étaient motorisées, les autres devant être remorquées par groupe de trois par 380 remorqueurs. En plus d’être dépourvue de quille, ces barges avaient une proue droite à peine surélevée et un gouvernail dérisoire, le rebord de ces barges dépassait de 60 petits centimètres le niveau de l’eau, on n’ose pas dire « de la mer ».
Ces embarcations auraient été parfaitement incapables de soutenir la violence des courants qui règnent dans la Manche, un goulet étroit et peu profond qui relie la Mer du Nord à l’Atlantique, même en empruntant la traversée la plus courte (Calais – Douvres). Mais ces barges qui « filaient » trois nœuds et qui étaient maniées par des équipages inexpérimentés auraient en plus dû appareiller depuis Rotterdam, Le Havre et Boulogne. Ces ports sont éloignés de la plus proche plage de débarquement de respectivement 370 kilomètres ou 60 heures, 185 kilomètres ou 30 heures et 92 kilomètres ou 15 heures. Mal de mer garantie pour les soldats entassés et pataugeant sur ces embarcations sans quille, sans toilette et sans eau potable. Quelle armée serait en état de combattre après une telle traversée ? En outre, il fallait prévoir de faire passer les 55 000 chevaux dont la Wehrmacht aurait eu besoin, car, contrairement à ce qu’affirmait de Gaulle, l’armée allemande était très peu mécanisée.
Si tout avait été « pour le mieux » – un « mieux » vraiment tout relatif – il aurait fallu au moins 10 jours de navettes pour débarquer la première vague d’assaut, avec des horaires de marée qui suivent les ordres du Führer et non ceux du rythme habituellement en vigueur, et le tout de nuit et sans feux-de-position.
Pourquoi sans feux-de-position ? Ah, la Royal Navy. C’est là que le projet jusque-là seulement loufoque devient complètement fantasmagorique. En août 1940, la SEULE Home Fleet comptait 140 destroyers, 40 croiseurs et frégates, cinq croiseurs de bataille et deux porte-avions.
En face, toute la Kriegsmarine se constituait en tout et pour tout de 7 destroyers, d’un croiseur aux moteurs défectueux et de deux croiseurs en état de marche. Pas de porte-avions, pas de croiseur de bataille : le Bismarck et le Tirpitz étaient encore sur cales et le Gneisenau et le Scharnhorst étaient endommagés et hors de combat jusqu’à l’hiver suivant.
Et que dire de la Luftwaffe ? Qu’elle ne disposait pas du moindre avion torpilleur, alors que les Anglais en avaient de deux types, les Beaufort et les Swordfish, les deux devant avoir l’occasion de prouver leur efficacité contre les croiseurs de bataille allemands. La Luftwaffe disposait de ses Stukas, mais le bombardement en piqué contre des cibles mobiles fortement défendues en haute mer est quasiment impossible, les viseurs des Stukas n’étaient de toute façon conçus que pour des cibles fixes.
Soit, mais du moins les plages britanniques n’étaient-elles pas sans défenses en 1940 ? Non, pas du tout, outre une armée en grande partie intacte, deux divisions canadiennes équipées au complet étaient arrivées cet été-là, ainsi que 200 000 fusils en provenance des USA transportés par le SS Britannique.
Dire que Winston Churchill voulait battre Hitler et qu’il avait bien raison de vouloir le faire, c’est une chose, mais comment la propagande a-t-elle pu nous convaincre jusqu’à aujourd’hui que l’Angleterre était alors sous une menace existentielle imminente ? Ça laisse pantois.
Source Irish Independent (Kevin Myers: Everything people believed about Hitler’s intentions toward Britain was a myth created by Churchill – Independent.ie)
Parce que Churchill avait un intérêt a faire prolonger la guerre.
Il semble que Churchill et Adolf Jacob Hitler étaient tous deux cousins, des batards Rothschild.
Les Roth utiliseraient leurs bâtards pour leur basses besognes.
La famille Britanique n’est pas une famille royale, les descendants seraient en Amérique.
C’est a partir de la Mère de Victoria que tout va de travers.
Une émission américaine de chercheur de vérité qui racontait cela. Ils sont partis de recherche papiers, ils ont fait un travail phénoménal et il faut avoir papier et crayon pour suivre les méandres de la famille Rothschild Royale car elle est plus que liée.
Si j’avais encore le lien je vous le mettrais mais çà fait plusieurs années que j’ai écouté puis lu cela.
Quand à Merkel……..Cherchez qui elle est vraiment et vous trouverez. Encore un secret d’état.
Et Valls qui est-il vraiment.
Hiltler et Mengelé étaient copains, Mengelé a été exfiltré en Amérique au moment de la débâcle il est devenu Docteur Green et a pu continuer ses expériences bien tranquillement, son dada c’était le jumelage, du jumelage au clonage il n’y a qu’un pas…..
Faut arrêter de fumer la moquette, madame
https://www.youtube.com/watch?v=aOcEaYkrEKA
Je ne retrouve pas encore mon lien mais j’ai trouvé cela où déjà il y a pas mal de choses notamment le nom allemand de la famille Anglaise les Battenberg
Ce lien ne montre pas la parentalité des batards Rothschild mais il est sur internet.
On apprend ici de véritable NONSENS, comme le général Mc Auliffe disait « NUTS »