Pour se donner les moyens de faire l’histoire de la période communiste, la Pologne s’est donné un instrument spécifique en Europe de l’Est : l’Institut polonais de la mémoire nationale (Instytut Pamięci Narodowej — IPN), qui mêle enquêtes judiciaires et recherches scientifiques. Cet institut, devenu incontournable dans le paysage universitaire et historiographique polonais, est notamment en charge de la mémoire des héroïques combattants anticommunistes, issus des armées de la résistance intérieure.
Mais il fait actuellement l’objet d’attaques systématiques de la part des lobbies de la gauche mémorielle et des anciens valets des soviétiques.
Les ombres immenses de nos fiers lanciers polonais, des martyrs assassinés à Katyn et des héros du soulèvement de Varsovie trahis par Staline veilleront toujours sur la Pologne.
On ne touche pas a l’IPN !
Bas les pattes les rouges et leurs séides étoilés !
C’est évidemment l’affaire des Polonais, mais on ne peut soutenir pour les uns ce que l’on conteste pour d’autres. L’histoire, quelle qu’elle soit n’est pas une matière figée. Elle ne doit être la propriété de personne et doit pouvoir être discutée et revue à la lumière de nouveaux éléments.
Europe Blanche soutient « l’Institut National de la Mémoire » polonais. Nous sommes heureux que le peuple polonais se révolte contre la fausse mémoire forgée par les vainqueurs de 1945. La vérité est que l’Europe a perdu la guerre en 1945, et que le procès bidon de Nuremberg a entériné les mensonges des vainqueurs.