Trahie par les tiens, tuée par les poux, tête à plaque et fille de rue, vendue par ton père, crotte de bic, jeune étoile, fille des camps, tu fusses malade, mais tu rodes partout, au Brésil, au Chili, dans l’Arkansas, en Hongrie et bien sûr, chez ton cousin des Carpates, en Roumanie.
L’immigration, le métissage, le féminisme, l’avortement, la pornographie, le LGBT, le BLM, le Wokisme, le véganisme, l’antispécisme, le transhumanisme, le vaccin c’est encore toi.
En France, en Espagne, en Angleterre, aux USA, tu ne rodes pas tu sièges.
En Allemagne et en Autriche, tu ramasses.
On reconnaît ta main dans l’incendie de Notre-Dame.
Toi, créature de Nuremberg, Frank-Anne-Stein, tu nous tues, mais tu ne nous survivras pas.
Quant à toi l’Aryen, tu ne meures pas tant à cause de Frank-Anne-Stein, mais parce que tu oublies que loi suprême de l’univers, c’est l’honneur (et la beauté). Tu te laisses détourner par des religions sémitiques pour lesquelles la valeur suprême n’est même pas l’amour, mais la soumission.
Ton Pape est un Jésuite, un ordre qui depuis sa fondation par Ignace de Loyola, en Espagne, en 1534, à peine libérée des Maures, exige une obéissance de cadavre, on pourrait dire aujourd’hui, une obéissance d’immigré, une obéissance de métisse.
Réveille-toi vite, réveille-toi fort, un autre monde est possible
Mais surtout, conserve bien les cathédrales et les églises, les statues et les gisants, les retables et l’orfèvrerie d’église, c’est profond et c’est beau, et c’est à toi.
Conserve la croix, ce symbole de mort et de résurrection, ce lien entre la verticalité du ciel et l’horizontalité du sol c’est aussi à toi.
Conserve Noël, bien sûr, la Vierge et le bleu.
Et n’aie plus peur de Frank-Anne-Stein.
Désolé pour mon ignorance, comprends rien à ce charabia, trop fort pour moi…
Idem !
Où veut en venir l’auteur de l’article ?
Inverser les deux premiers prénoms, cela devrait faciliter la compréhension,
le Stein ensuite chapeaute très bien l’ensemble pour aboutir.