« À la cour du Suprême Appel, ce n’est pas les mêmes toujours,
Ô frères des taules glacées, qui seront du côté du manche » (Robert Brasillach)
Mercredi 15 février, Yvan Benedetti, président des Nationalistes, était une nouvelle fois convoqué devant la XVIIe chambre correctionnelle, prétendument en charge de la liberté d’expression, pour un article dénonçant l’immigration afro-maghrébine publié sur Jeune Nation dont il est le directeur.
Il avait constaté en janvier dernier que la décision de première instance, pour un article sur le nombre de juifs morts en camps de concentration, était identique au précédent jugement dont il avait fait opposition, car jugé en son absence. Yvan Benedetti avait pourtant passé cette fois-ci deux heures à répondre aux questions des juges. Mais, dans les deux cas, la même peine fut prononcée : 100 jours amende à 100 €, c’est-à-dire une amende de 10 000 € transformée en 100 jours de prison en cas de non-paiement.
Cette fois-ci, refusant de répondre aux questions ineptes des magistrats aux ordres, il a préféré lire un poème de Robert Brasillach, Le Jugement des juges, extrait du recueil des Poèmes de Fresnes, écrits dans les couloirs de la mort par l’écrivain, condamné à la peine capitale. C’est un des plus beaux ouvrages de la langue française, que tout Nationaliste se doit de connaître.
Le poème est très touchant car il prend la défense non seulement des innocents à travers l’histoire, mais aussi des mauvais garçons, de ceux qui n’ont pas toujours eu la vie facile, ou qui ont choisi la vie âpre et aventureuse du hors-la-loi, bandit ou héros.
Le poème assimilant les juges à des traitres, des Judas et des lâches, les magistrats de la XVIIe Chambre ont été médusés et furieux de cette lecture. Le procureur a requis 4 mois de prison ferme pour cette insolence et pour l’article prenant la défense du peuple français meurtri et dépouillé par l’immigration. Gageons que le souvenir des vers accablants de Brasillach hantera malgré tout longtemps les valets du Système.
Voici une récitation du poème par le grand acteur Pierre Fresnay, médaillé de la francisque. Jean-Marie Le Pen, qui a réalisé cet enregistrement en présence de la mère de Brasillach, raconte dans ses Mémoires (Fils de la Nation) qu’à la fin des récitations même le technicien du son était en larme à l’écoute des derniers mots du Petit Prince du Nationalisme, au seuil de la tragédie emplis de force, de grâce et d’espérance.
Retenons ce vers de Brasillach : « Car la parole est tout d’abord à ceux qui courent l’aventure, Et non à ceux qui pour juger se sont satisfaits d’être assis ».
On ne peut s’empêcher de dresser un parallèle entre la vie et l’œuvre de Robert Brasillach et celles du compositeur russe Serguei Rachmaninoff, qui dut fuir la Russie bolchevique et exprima sa mélancolie et ses rêves de jours meilleurs dans sa musique. Ici une interprétation du Prélude en g mineur par la virtuose ukrainienne (mais pro-russe !) Valentina Lisitsa :
Le jugement sera rendu le 11 avril 2023. Le 27 février, un autre jugement sera rendu, sur l’article “Israël, Etat refuges des criminels”.
Yvan Benedetti remercie tous ceux qui ont fait le déplacement lors du procès ou qui ont contribué aux frais de déplacement et d’avocat.
Pour ceux qui le peuvent, la cagnotte reste en ligne sur https://vu.fr/vwwm
Merci pour votre courage de patriote, monsieur Benedetti , et que Dieu vous préserve !
Longue vie au Peuple Français !
Chapeau bas, Yvan Benedetti, pour votre courage et votre persévérance.
Pour beaucoup d’entre nous, vous demeurez comme un flambeau dans la tourmente et nous marcherons dans vos pas…