Une source interne à EDF a informé la rédaction de Jeune Nation d’une surprenante affaire. En juin dernier, période de l’année où les multinationales occidentales célèbrent la « fierté LGBT » (mais en quoi peut-on être fier d’être homosexuel ?), les salariés d’EDVANCE, filiale d’EDF en charge de l’ingénierie du nouveau nucléaire, ont reçu une invitation à participer à une « sensibilisation à l’inclusion », ornée du drapeau LGBT augmenté des couleurs trans (bleu blanc rose) et Black Lives Matter (marron et noir) :
Plusieurs salariés ont exprimé courageusement leur désapprobation en répondant, mettant en copie toute la société, que les préférences sexuelles relèvent de la vie privée et n’ont rien à faire dans une entreprise dont la vocation est de produire de l’électricité. Quelques jours après, ils ont eu la désagréable surprise d’être convoqués en entretien par la direction des ressources humaines de la société, qui n’a pas apprécié cette remise en cause frontale et publique de leur politique absurde.
Mais ce n’est rien à côté de ce qui est arrivé à un salarié prestataire, particulièrement remonté, qui a écrit que ces séances de formation relevaient de la « propagande » et du « Arbeit macht frei », créant une cascade de réponses scandalisées. En réaction, la direction de l’entreprise a carrément mis fin à la mission du prestataire. Et la société qui l’employait l’a licencié !
On constate que pour EDF, la promotion de l’homosexualité est plus importante que la conservation des compétences dans le nucléaire, dans un contexte où l’entreprise peine à recruter des profils pour les chantiers titanesques lancés par le gouvernement (Grand Carénage, EPR2, Nuward, etc.).
Remarquons que la comparaison avec le Troisième Reich est absurde car jamais les nationaux-socialistes n’auraient promu l’homosexualité, qu’ils estimaient contre-nature. Le spectacle des « gay prides » ou « marches de la fierté », chaque année plus hideuses et plus choquantes, n’est guère de nature à faire adopter une autre opinion.
Ce qui n’a pas été relevé par les salariés d’EDF, c’est que, au-delà de l’homosexualité, EDF entendait promouvoir le mouvement BLM, à l’origine d’émeutes raciales cataclysmiques aux Etats-Unis en 2020, et du mouvement trans qui cherche à légaliser dans les Etats occidentaux le changement de sexe pour les mineurs, c’est-à-dire la mutilation génitale d’enfants proclamés « trans ». On dépasse largement les « préférences sexuelles personnelles ».
Tout cela se passe alors qu’EDF ne parvient toujours pas à démarrer l’EPR de Flamanville 3, dont le chantier a commencé en 2008 et dont le démarrage, prévu initialement en 2012, a encore été repoussé jusqu’à 2024, tandis que son coût a triplé…Quand on voit les priorités d’EDF, on ne peut que nourrir un doute sur ses capacités à mener à bien le projet d’EPR2, programme de construction de six tranches nucléaire !
Notons au passage le nom de la filiale, EDVANCE, à consonance faussement anglo-saxonne, mais ne signifiant rien en anglais, pas plus qu’en français. Cette société absorbe deux entités précédentes : le CNEN (Centre National d’Equipements Nucléaires) et SOFINEL (Société française d’ingénierie électronucléaire). Le changement de nom, là aussi, est révélateur du programme : de moins en moins de France et de plus en plus de mondialisme globish, indifférencié et sans saveur. Le prétexte utilisé pour angliciser les noms des sociétés est la difficulté des étrangers à prononcer les mots français. Or, on peut parfaitement trouver des mots à consonance française et facilement prononçables à l’étranger, justement comme SOFINEL, qui conçut des centrales nucléaires pour l’Afrique du Sud, la Corée et la Chine.
Logo d’EDVANCE
Le nom de la société est inscrit en lettres minuscules sur le logo. Il s’agit ainsi de donner une image moins hautaine, impressionnante, que ne le feraient supposément des majuscules. Mais il est certain qu’EDF, quand elle arborait encore le logo de 1987 et n’était pas encore « inclusive », n’aurait jamais chassé de salarié pour avoir douté des vertus de la sodomie expliquée en groupe :
Logo de 1987
Il est temps pour l’électricien national de cesser ces graves dérives et de redevenir une entreprise focalisée sur l’essentiel, la production d’électricité avec des coûts et des délais raisonnables, ce qu’elle a parfaitement su faire sous la direction de son ancien PDG Marcel Boiteux (disparu le 6 septembre dernier). Cela doit passer par une reprise en main par le gouvernement du marché de l’énergie. Le mécanisme de l’ARENH imposé par l’UE a forcé EDF à vendre de l’électricité à perte à des concurrents ne produisant pas un seul électron, plaçant EDF dans une situation financière périlleuse, restaurée tout juste aux frais du contribuable. Mais cela ne peut-être fait que par un Etat nationaliste, qu’il dépend de nous de faire advenir !
Le mari de la vice-présidente des Etats-Unis, Douglas Emhoff, posant avec le futur logo d’EDF ?
Lamentable écœurant
Normal .on à un type à l élysée homosexuel avec un transgenre c est la grande mode
Il nous faudra déraciner la cause, c’est à dire l’arbre qui produit ces mauvais fruits et non se contenter de cueillir les fruits…
Ou l’accélération de la décadence…!!