Images de nos camarades allemands de Die Heimat à Dresde, pour l’événement commémoratif dédié aux victimes des bombardements du 13 au 15 février 1945. Le 11 février 2024, environ 1200 participants ont commémoré les dizaines de milliers de civils morts en février 1945.
L’historien Donald Bloxham a conclu que le bombardement de Dresde a été un crime de guerre : l’attaque aérienne sur la ville allemande par les forces alliées n’étant « justifiée » que par le « motif » que la ville était défendue…
Dresde sur Jeune Nation
Doctrine bomber Harris !
1/Faire craquer les militaires pendant que leur familles brulent.
2/ espérer désolidariser les masses populaires de leurs dirigeants.
Le résultat est la fanatisation de combattants qui sentent n avoir plus rien à perdre et un peuple faisant « »Block » »comme un seul homme derrière ses chefs légitimes.
Toute autre explication n est que fantasme de névrosés de la seconde guerre mondiale car le dingue a justifié très clairement sa conduite militaire auprès de sa hiérarchie(les preuves ne manquent pas).
Dresde – le massacre de la Saint Valentin
Dresde ce sont les 3 500 000 femmes et enfants Sudètes – les hommes étant mobilisés – qui eurent deux heures pour prendre leurs affaires et décamper – les bijoux ayant été volé par le gouvernement tchèque franc-maçonnique peu avant – s’ils ne voulaient pas subir les tortures des Allemands de Prague, comme ces jeunes filles du lycée allemand crucifiées sur des planches et jetées dans la Mlatava, parmi tant d’autres tortures horribles imposées par les Hussites Tchèques. Comme tout ces malades et blessés allemands défenestrés des hôpitaux ou ces gens pendus par les pieds au dessus d’un brasier pour fêter le retour du franc-maçon Bénès.
Qui expliquera cette haine issue du protestantisme, chez un peuple qui pourtant avait collaboré volontairement et loyalement avec Hitler pendant toute la guerre ! La même haine gaullo-communiste qui dévastera la France à la Libération.
Pour les Sudètes ce fut alors la marche à la mort. Ils auraient pu faire escale à Dresde, se restaurer et retrouver des forces mais Dresde était en cendres. Il manquera 250 000 Allemands de Tchécoslovaquie à l’appel.
Munich c’est Dresde et Dresde c’est Munich.
Munich, ce que personne n’a vu, c’est ce Western où l’on voit un chasseur de prime qui s’infiltre dans une bande de brigands dont les têtes sont mises à prix, et cela grâce à un simplet de la bande qu’il a réussi à circonvenir. Et il apparaît dans la bande au moment où elle faisait la fête. Le chef, ayant ordonné le silence, demande alors au simplet s’il savait pourquoi cet étranger était là. Et le chasseur de têtes de répondre à sa place : parce que je suis un chasseur de prime et que je veux toutes vos têtes. Très bien lui répondit le chef, c’est la seule réponse que tu pouvais me donner. Que la fête continue.
Munich c’est ça. Les Alliés voulaient l’anéantissement de tous les Allemands et pour cela il fallait que les Allemands des Sudètes, séparés de l’Allemagne par le Traité de Versailles fussent à nouveau réincorporés.
Pour réaliser ce tour de force anti-Versailles, on mit à la tête du gouvernement, Chamberlin, un ministre connu pour sa recherche de dialogue pacifique. Et Hitler, qui depuis son arrivée au pouvoir cherchait ce même dialogue avec les franco-anglais qui repoussaient chaque fois sa main tendue, en fut heureux, et mordit à l’hameçon. On lui donna les Sudètes.
Baudouin
Le bombardement de Dresde eut lieu du 13 au 15 février 1945, selon les principes de la directive du ministère de l’Aviation du gouvernement britannique sur le bombardement de zone du 14 février 1942, devenue avec l’USAAF la directive de Casablanca (en) en 1943. Il détruisit presque entièrement la ville allemande de Dresde, dans le cadre d’un bombardement combiné en bomber stream. L’United States Army Air Forces (USAAF) et la Royal Air Force (RAF) utilisèrent des bombes incendiaires notamment à la thermite1, l’emploi du phosphore étant lui discuté. Les bombes classiques et à retardement furent aussi utilisées. L’évaluation actuelle du nombre des victimes se situe autour de 35 000 morts (dont 25 000 corps identifiés)
L´évaluation du nombre de victimes = env. 250 000 morts !!!!
Dresde 2024 – Quelques jours précédant la commémoration du bombardement de Dresde le 13 février 1945, bombardement incendiaire qui dura trois jours et qui fit près de 250 000 morts, en grande partie des femmes et des enfants qui y avaient trouvé refuge, fuyant l´avancée des hordes soviétiques à l´est, la ville effaca pendant la nuit l´incription gravée sur un banc… attenant à des WC publics, le seul monument existant en hommage aux victimes d´alors… Deux autres monuments furent alors érigés rapidement à la place, puis à nouveau retirés par la ville… Cet outrage à la mémoire des victimes provoqua un grand émoi dans la population… surtout dans le cadre de crise existentielle aigue que traverse l´Allemagne aujourd´hui… En effet, partout en Allemagne, des manifestations organisées et/ou soutenues PAR le gouvernement ont lieu, non pas ou plus contre l´ »extrême droite », mais contre la « droite » tout court. Ces manifestations visent à faire « barrage » au seul parti de l´opposition, l´AfD (contrôle des frontières, expulsions des illégaux et criminels étrangers, restauration de la justice et du droit, pour la démocratie directe, baisse des impôts et de la bureaucratie, reprise du nucléaire, etc…).
Bref, l´épisode de Dresde vient ajouter de l´eau au moulin de la contestation populaire.. Enfin, et pour la premiére fois, on ose parler ouvertement de cette tragédie monstrueuse, de ce massacre traité jusqu´alors discrètement, balayée sous le tapis… à celle-ci s´atèleront certainement d´autres… Le temps est-il venu pour l´Allemagne de se pencher sur quelques chapîtres de son histoire jusqu´alors la chasse gardée d´un narratif agréé par qui on sait ?
Le temps du mensonge étatique est terminé. Chez nous, pour contrer la montée du peuple allemand vers la vérité (qu’ils appellent la droite, comme si la vérité est à droite ou à gauche), chez nous donc ils ont monté en épingle l’exécution du commando Manouchian. Or Manouchian, que j’affectionne parce qu’il est mort en chrétien, avec confession et communion, a été victime des gaullo-communistes, car la III° République vaincue dans une guerre qu’elle avait déclaré, avait signé une armistice qui nous laissait une petite armée laquelle se réarmait en silence, mais tout attentat contre des soldats allemands était un viol du traité et s’ensuivait la peine de mort. Le gouvernement français qui fera tout pour sauver ses nationaux condamnés mort, et non les étrangers qui auraient du garder un droit de réserve en rapport avec notre hospitalité, n’oublia jamais qu’il y avait un million et demi de soldats en otage en Allemagne. Cela n’empêcha pas son chef de donner l’ordre de saborder la Flotte à Toulon, ce qui fut le plus gigantesque acte de résistance de la France.
Maintenant justifier l’écrasement des villes des nazis (y comprit les bébés à la mamelle) par l’extermination des six millions gazés, c’est une baudruche qui se dégonfle, puisqu’il y avait deux millions trois cent mille juifs dans les territoires occupés par l’armée allemande et que la ville de Phœnix aux USA a supprimé sa chambre gaz, (qui était un œuf d’acier et de verre) parce que devenue trop dangereuse pour les bourreaux eux-mêmes. Il reste les déportations mais on sait que les camps de France étaient alimentés par les juifs du CRIF dont les membres se sont tous amnistiés à la Libération etc. etc…
Baudouin