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J’ai le plaisir de vous présenter cette réédition du Discours de la servitude volontaire d’Etienne de la Boétie. Ecrit au XVIe siècle par un jeune philosophe de 16 ans, meilleur ami de Montaigne, il défend une thèse surprenante : le joug tyrannique qui s’impose aux peuples quelle que soit la forme de gouvernement qui s’exerce sur lui serait le fait du peuple lui-même qui préférerait abdiquer sa destinée et sa liberté par paresse, goût de la tranquillité et manque d’ambition. l’auteur, humaniste épris de connaissance, de science et de liberté, regrette cet état de fait et propose aux peuples d’arrêter de servir les tyrans pour sortir de cette servitude.
Ce discours est devenu une référence de la pensée politique critique et a été utilisé aussi bien par les révolutionnaires de 1789 et les communistes que par les Gilets Jaunes et des dissidents radicaux aujourd’hui.
Au-delà de la critique de la tyrannie, il explique, avec un siècle et demi d’avance, les raisons de la confiscation du pouvoir par une même oligarchie au gré des alternances de régimes.
Bonne lecture !
Disponible sur Arts Enracinés
Réédition : Discours de la servitude volontaire – Etienne de la Boétie – Jeune Nation
Nous laissons à l’appréciation de chacun de constater le niveau de maturité, de raisonnement et de connaissance de ces nombreux enfants éduqués autrefois par des clercs, alors qu’aujourd’hui la République laïque est incapable de produire de tel penseur. Ce ne sont plus des Chrétiens qui dirigent la France mais des crétins. Depuis le sombre siècle des Lumières, l’obscurité nous aveugle.
Ce sont des coprophages qui brillent par leur débilité profonde qui occupent la boîte à images, la chambres des putes; toutes nos fausses élites sont de vrais sbires des frères la magouille, ramassis de loges de concierge de la Synagogue de Satan
Ce texte ? Un bel effet de manche visant à nouer le poisson et même tous les poissons à venir.
Une réédition de ce texte, bien, mais après ? On peut se demander même si son auteur la bien compris. Les contempteurs de La Boétie ne voient dans ce texte, que L’expression du talent d’un jeune homme qui se destinait à une carrière « prometteuse. » . Le fait que ce discours ait plu aux révolutionnaires ( de salons) et aux communistes, est assez révélateur.