Le 7 octobre 2014, la cour de justice de Genève a condamné le révisionniste suisse Franck Brunner à 5 mois de prison ferme. Cette condamnation s’inscrit dans la liste des longues persécutions infligée par la communauté juive aux révisionnistes en Europe. Franck Brunner avait été attaqué par la Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation (CICAD) sur le fondement de l’article 261 bis du Code pénal suisse, proche de « notre » liberticide loi Fabius-Gayssot.
Dans leurs attendus, les juges d’occupation en Suisse énumèrent des passages d’article cités hors de leur contexte, prêtent à Franck Brunner des opinions qu’il ne professe pas et lui reprochent surtout de vouloir une Suisse libre, débarrassée de l’occupation juive.
Franck Brunner s’en explique dans un article sur son site : « Le lobby juif : Attaque contre la liberté d’expression (26e partie) ».
Incarcéré le 13 juin 2013 et pendant plus d’un mois, il avait été libéré le 31 juillet 2013 après une condamnation à 6 mois de prison avec sursis. C’est l’appel de cette décision qui a été rejugé très sévèrement par la cour de justice de Genève.
« La Cour n’a tenu strictement aucun compte des deux classeurs de preuves que j’ai produits à l’appui de la véracité de mes écrits. Aucune de mes preuves n’est mentionnée à quelque moment que ce soit. Mes écrits sont toujours présentés hors contexte, comme s’ils ne reposaient sur rien d’objectif »
précise le révisionniste, auquel les juges ont refusé le droit de faire appel aux meilleurs experts des questions soulevées. Le professeur Faurisson n’a ainsi pas été entendu par les juges.