Selon Minute, la présidente du parti d’extrême droite Front national (FN) va officialiser le ralliement de Sébastien Chenu, un membre de l’UMP essentiellement connu pour son activisme homosexualiste et antifasciste.
Un cadre (volage) de l’UMP
Membre de l’Union pour un mouvement populaire (UMP), Sébastien Chenu en a gravi les échelons jusqu’à en devenir secrétaire national et conseiller national à la culture (sic). Il fut rejeté à plusieurs reprises par les Français, notamment lors de scrutins à Beauvais : il avait battu par la candidate du Parti socialiste (PS) en 2004 comme en 2011.
Marine Le Pen a déjà montré qu’elle aime à s’entourer de traîtres ambitieux et la venue de Sébastien Chenu ne fera pas exception. Membre de Démocratie libérale (DL), il avait pris sa carte de l’UMP où il s’est caractérisé par son côté volage : proche à Beauvais de Jacques Néhorai, il avait quitté ce dernier pour Caroline Cayeux, avec laquelle il avait été élu à Beauvais. Il avait fini par obtenir une place d’adjoint au maire et de vice-président de la communauté d’agglomération, mais cela ne comblait pas son appétit du pouvoir.
Ce proche de Christine Lagarde (il fut chef son chef de cabinet entre 2005 et 2007 après avoir été le conseiller en communication de Nicole Gued, et avant de devenir directeur de la stratégie – on imagine hélas laquelle – de France 24), il avait rejoint l’équipe de Nathalie Kosciusko-Morizet dans l’espoir d’obtenir une place de maire dans le IIe arrondissement. Nathalie Kosciusko-Morizet l’avait débauché en espérant qu’il pourrait constituer un contrepoids au lobby homosexualiste travaillant pour Bertrand Delanöé et Anne Hidalgo. Il n’avait pas ménagé sa peine.
« Il avait soutenu NKM à la primaire et l’avait présentée à toute la communauté gay, lui avait organisé des dîners, des débats »
rapportait Le Monde peu après la nomination d’une autre tête de liste, décrivant l’individu comme « très amer ». Le Bien public aurait dû – encore plus – s’effacer devant les ambitions personnelles et les revendications communautaristes…
« J’ai été débarqué en vertu d’un deal non écrit et non assumé de NKM avec la Manif pour tous »,
éructait-il à l’époque. Il est certain qu’aux côtés de Marine Le Pen, il ne risque pas d’être embêté par les revendications des militants pro-famille. Il multipliait alors les attaques contre « NKM » quelques semaines avoir déclaré :
« Quand j’ai su que c’était en projet [la candidature à la mairie de Paris], en janvier dernier, je l’ai encouragée. Je lui ai dit qu’elle serait la meilleure pour gagner, la première femme maire de Paris ».
‘GayLib’
Ce qui intéresse Sébastien Chenu dans la politique, c’est le combat consistant à faire d’une déviance sexuelle un étendard et une fierté. C’est ce qui l’a conduit à participer à la création de l’association ‘GayLib’ en 2001, alors dans l’orbite de Démocratie libérale, le groupuscule ultralibéral d’Alain Madelin. Le groupe s’était rattaché à l’UMP en 2003 avant, en 2013, de quitter le parti alors dirigé par Jean-François Copé, pour rejoindre l’Union des démocrates et indépendants (UDI).
Ce lobby antisocial avait obtenu sous les présidences de Jacques Chirac puis de Nicolas Sárközy divers reculs sociétaux, comme l’aggravation des sanctions pénales encourues par les auteurs d’agression à caractère « homophobe », la pénalisation des injures et diffamations à caractère homophobe, des extensions diverses apportées au PACS ou la création d’une « Journée de lutte contre l’homophobie » notamment.
Ils exigeaient dès cette époque, au sein du parti au pouvoir, pour obtenir la légalisation des accouplements sodomites, mais déjà aussi la reconnaissance de « familles » avec des parents de même sexe et autres abominations.
Florian Silnicki et Sébastien Chenu : antifascisme…
Si le ralliement de Sébastien Chenu au Front national – ou au RBM – se vérifiait, il illustrerait une fois encore un étonnant renversement d’idées :
« La question du Front national ou de la parité. On est toujours en train de se faire des nœuds au cerveau sur ces sujets-là. Pour nous, ils sont déjà derrière nous ! […] La question de l’alliance avec le FN, même chose : pas d’alliance, ni de près, ni de loin, ni de discours, ni d’approche. On est capables de se définir autrement »
expliquait-il, catégorique, il y a seulement deux ans dans Paris Match alors qu’il annonçait la création de Nouvelle donne, un microparti intégré à l’UMP. Le journal précisait qu’il refusait « tout rapprochement avec le FN ».
Cet engagement antifasciste, Sébastien Chenu l’avait tristement illustré en juin 2013 en publiant une tribune libre dans le journal de gauche L’Obs pour défendre l’agression d’un gang antifasciste contre un groupe de jeunes patriotes dans les rues de Paris, attaque qui s’était soldée par la mort d’une racaille rouge, Clément Méric. Il avait coécrit cet article avec Florian Silnicki, un autre membre de l’UMP, célèbre, lui, pour avoir été condamné (très légèrement au vu des faits) dans une affaire de falsification.
Il n’avait écopé que de six mois de prison avec sursis pour avoir trafiqué ses résultats aux examens durant plusieurs années. Il n’avait été condamné en outre qu’à ne verser que 3 000 euros d’amende, 2 000 euros au titre des frais d’avocat et un euro symbolique au titre du préjudice moral ; il n’a été interdit d’exercer tout emploi public que pendant cinq ans. Cela explique pourquoi il avait si facilement été accepté à l’UMP où il s’est rapidement intégré.
Ces antécédents qui, dans tout parti honorable, auraient conduit à la mise à la porte, l’avaient conduit à travailler avec plusieurs parlementaires – Serge Bloch dit Dassault ? Patrick Balkany ? Jérôme Lavrilleux ? –; ils ne l’empêchent d’ailleurs pas de revendiquer la possession de diplômes tels que qu’un « master II en Stratégie et Décision publique et politique » ou un « master I en droit public des affaires & institut d’études judiciaires ».
… falsification et soupçons de corruption
Les deux individus collaborent régulièrement : en septembre dernier, Le Figaro publiait une tribune en leur nom. Ils se présentent comme des « experts en communication ». Tous deux possèdent une société baptisée SC Conseil pour le premier et FS Conseil pour le second. Tous deux travaillent pour une société baptisée « LaFrenchCom’ » dont l’adresse correspond à « SC Conseil ».
Il est possible de s’interroger sur la probité des deux comparses qui, membres d’un parti politique, sont invités dans les médiats comme « analystes politiques » sans que leur engagement ne soit rappelé.
Si les pratiques « scolaires » de Florian Silnicki ont été mises en cause, les attitudes professionnelles de Sébastien Chenu n’ont pas toujours convaincu. En 2010, les communautaristes homosexuels avaient accusé Sébastien Chenu d’être directement responsable de l’échec d’un événement de provocation organisé à Marseille en 2010, l’EuroPride (sic). La manifestation, financée par l’argent du contribuable grâce à l’action d’un suppurateur de longue date liée au mouvement des invertis, Jean-Claude Gaudin. Ce dernier aurait imposé comme prestataire pour cet événement… SC Conseil, la société de Sébastien Chenu créée justement pour l’occasion, et qui avait empoché une subvention de 100 000 euros selon Rue89.
Vers un rassemblement rose-bleu marin
Au Rassemblement bleu marine (RBM), Sébastien Chenu obtiendrait la présidence du Collectif culture (sic) dont le délégué général Jean-Yves Narquin – le frère de Roselyne Bachelot celle qui décore des déviants sexuels pour ce simple motif –, annonçait il y a quelques mois que la composition allait « en scotcher plus d’un ».
Son discours d’intronisation devrait être caractérisé par son humour qui ferait passer le nom même de Conchita Wurtz pour exquise délicatesse.
« À Gaylib, nous sommes une équipe déjà ancienne, pas assez féminisée enfin ça dépend de ce que l’on entend par là. […] Tous derrière Baroin ! Tous derrière toi, Yves !»
avait-il lancé aux débuts de Gaylib, provoquant les folles exclamations réjouies de ses congénères, maniant l’humour gras et vulgaire comme d’autres l’huile de ricin et le manganello.
Ce qui est sûr c’est que les propos de Christine Boutin déplorant « qu’aujourd’hui c’est mode c’est les gays et on est envahi de gays » – dont s’étaient emparés Florian Silnicki et Sébastien Chenu pour l’attaquer et exiger son départ de l’UMP – n’auront jamais été plus vrais qu’au Front national. À plusieurs reprises, Sébastien Chenu avait attaqué ces derniers mois l’UMP très violemment, ménageant au contraire Marine Le Pen.
Dont le parti dénonçait pourtant ces dernières années l’action dissolvante de GayLib. Il n’y a pas que Sébastien Chenu à naviguer à vue au gré de ses intérêts immédiats et à se renier…
Ce qui marque désormais la débauche et par conséquent la dérive du nationalisme francais version « dédiabolisée »du FN « mariné » à la sauce prétendue gaullienne en demi-teinte , c’est cette tentation judeo- sioniste qui est entrain de faire muté ce parti vers sa normalisation dans les marges du système UMPS au moment où ses succès électoraux sont suscités par la prise de conscience populaire des français « gaulois » devant la domination totalitaire et impériale du pouvoir sémito-maçonnique en France ,en Europe et dans le monde …Croyant que ces succès électoraux sont le fruit (pourri) de sa dédiabolisation médiatique , c’est à dire à sa soumission au diktat sioniste et israélien , le brain trust de Marine le Pen est entrain d’aliéner et de perdre de larges couches de l’opinion française favorables aux thèses du nationalisme français intégral ,un spectre de forces vives et sûres , allant de la base traditionnelle pétainiste (dont les cadres ont été excommuniés du FN par la fille du chef et sa nouvelle équipe) , au soraliens de la classe moyenne , aux dieudonnistes de la jeunesse , aux neo-catholiques , aux neo-maurrasiens jusqu’aux nouvelles places fortes de la Dissidence française dans tous le secteurs de la pensée et de l’idéologie française dont le travail idéologique souterrain et public est arrivé à terme pour venir à bout des fondements théologiques et politiques du totalitarisme Sémitique qui sévit en France depuis l’Affaire Dreyfus et la seconde guerre mondiale … Cette erreur d’appréciation , le FN va la payer chèr s’il continue à ne pas se convaincre définitivement que la Remplacement sociologique des populations française entrainé par l’immigration islamique massive et la dénatalité gauloise , est consubstantiel au projet idéologique judeo-maçonnique dont il n’est que l’effet et le symptôme et non pas la cause ou un phénomène isolé de l’histoire contemporaine européenne et française déterminée en première instance tant au niveau de l’état que dans la société et ses superstructures par la contradiction principale du conflit entre le projet impérial sémitique et le projet nationaliste aryen