« Aucune politique au monde en matière d’intégration ne réussit à cent pour cent. […] Il y a peut-être dix pour cent d’échec [en France]. Je n’ai pas le chiffre exactement, mais finalement plus réduit que dans d’autres pays. Même aux États-Unis, on n’arrive pas à ce succès dans l’intégration. »
a déclaré hier l’étranger Patrick Devedjian, sans citer la moindre source à propos de ces prétendus pourcentages de réussite d’intégration. En réalité, le mythomane de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) a tout simplement inventé ces chiffres, puisque le concept « d’intégration » ne recouvre aucune réalité statistique. Le concept même d’intégration a longtemps été nié y compris par des sociologues et des historiens du système.
Patrick Devedjian s’est réjoui également qu’« un quart des Français ont au moins un de leurs grands-parents sur quatre qui était de nationalité étrangère ».
Il n’a pas précisé ce qu’il pensait des 10 % d’échecs, des mères françaises pleurant leur enfant assassiné par des gangs multiraciaux comme ces derniers mois à Digne-les-Bains, Paris ou Marseille, des pères français impuissants après le viol et les tortures infligées à leurs filles, comme dernièrement encore dans le RER A, comme l’année dernière à Évry, la ville de Manuel Valls qui ne s’était même pas déplacé.
Pour cet étranger, Christophe Rambour, Jérémy Mortreux, Anne-Lorraine Schmitt, Jérémy Roze, Marion n’existent pas alors que la mort d’un seul Français causé par l’immigration prouve sa nocivité fondamentale et est insupportable aux vrais fils de France. Si la douleur des Français n’intéresse pas Patrick Devedjian, qui vit dans les quartiers les plus bourgeois des Hauts-de-Seine, avec ses salaires de cumulards, député, président de conseil général, ancien ministre, avocat – notamment de tueurs arméniens de l’Armée secrète arménienne de libération de l’Arménie (ASALA), groupe marxiste ayant perpétré des attentats terroristes meurtriers en France –, il se préoccupe du sort des colons :
« Il y a une ségrégation urbaine, que l’on vit, et que l’on a surtout vécue dans les banlieues. Le plafond de revenus est si bas qu’il n’y a d’éligibles à l’attribution de logements sociaux que des personnes qui vivent soit de prestations sociales […] soit de revenus du travail très faibles, et il n’y a guère que les immigrés pour accepter de travailler pour des revenus si bas »
a-t-il prétendu, reprenant le discours des trotzkystes et du grand patronat pour justifier l’invasion de la France et excuser les criminels antifrançais et, quasiment mot pour mot, les actes de repentance de Manuel Valls envers les occupants victimes « d’apartheid » quelques jours plus tôt.