L’avant-garde étrangère de leur République confisque tellement les postes au détriment des Français que cela conduit à se tromper de prénom entre les membres des mêmes fratries. Il est vrai qu’à l’homonymie et aux prénoms de même origine s’ajoutent des carrières parallèles à partir du trotskysme, dans la bureaucratie pour l’un et dans l’appareil socialiste pour l’autre, après leur passage par la très yiddish « Ligue communiste révolutionnaire ».
A ainsi été publié un arrêté ministériel
« modifiant l’arrêté du 12 décembre 2014 portant désignation pour l’année 2015 des membres de la Commission nationale du diplôme initial de langue française [DILF] et des membres du jury national du diplôme initial de langue française »
pour annoncer que :
« les mots : “Le directeur du Centre international d’études pédagogiques, M. David Assouline, président” sont remplacés par les mots : “Le directeur du Centre international d’études pédagogiques, M. Daniel Assouline, président” ».
Cet obscur professeur en physique et chimie – Daniel – n’a absolument aucune qualification ni compétence pour juger de ce qui est d’une maîtrise de la langue française sur des critères précis par un étranger, contrairement à un linguiste de type grammairien par exemple.
Il est donc évident qu’il continue de bénéficier du plus grand arbitraire au sommet de la République de sa communauté pour parasiter, sans aucune légitimité, l’administration publique et y cumuler les postes.
Pourtant, nombre de nos compatriotes – trop Français ? – hautement diplômés sont au chômage ou subissent un temps partiel. Mais les publics prioritaires ont besoin d’y occuper toutes les places pour instaurer complètement le désordre trotskyste totalement anti-français et plus largement anti-Blancs dans tous les rouages de l’État et bénéficier des rentes financières liées à ces fonctions par eux confisquées.
Sur nomination de la Marocaine Najat Belkacem, c’est donc bien également un Marocain, mais d’une autre religion, qui jugera si leurs envahisseurs pour détruire la France commencent à maîtriser des rudiments de langue française, puisque :
« le DILF est un diplôme de français langue étrangère évaluant les premiers apprentissages ».