Rosans est un village aux confins du Dauphiné et de la Provence, où vivent environ 500 habitants. Une association y a vu le jour, sous l’impulsion de deux habitants. Dénommé « Respectez les Rosanais », le collectif citoyen exige l’organisation d’un référendum à propos de l’accueil de deux familles d’étrangers – dans un premier temps, mais l’expérience a tristement démontré qu’il n’y avait jamais que « deux familles » – que la mairie veut imposer dans la commune. Au détriment de Français nécessiteux, ces étrangers seraient logés en HLM, bénéficiant de la criminelle politique de préférence étrangère mise en place par leur République.
La pétition a déjà été signée par plus d’un habitant sur cinq, mais le maire de la commune, Josiane Olivier, prétend vouloir « consulter » la population… quand le projet aura été accepté par la préfecture.
« La mairie nous a répondu qu’il n’était pas question d’organiser un tel vote. Madame le maire nous a simplement signalé que si la préfecture rendait un avis favorable à l’accueil de ces familles, la population serait consultée. Mais nous n’en connaissons pas les modalités »,
dénonce l’un des dirigeants du collectif, Jean-Marie Boudon.
La volonté de leur République d’imposer l’invasion au cœur de la France et de suppurer les communautés les plus préservées est loin d’être nouvelle. Le Juif Michel Debré et le traître De Gaulle, notamment au travers des opérations « BUMIDOM » et « Enfants de la Creuse », ont imposé à partir des années 1960 plusieurs dizaines de milliers de non-Blancs – contre leur volonté pour leur grande majorité ou convaincus par des promesses mensongères –, aux populations rurales dans le second cas.
Officiellement, il s’agissait de faire face à la désertification rurale et à la dénatalité. Pourtant, non seulement aucune mesure nataliste ne fut engagée pour les populations françaises – alors qu’en seulement quelques années celles instaurées par le maréchal Pétain eurent un effet important –, aucune politique publique saine ne fut mise en place, mais les ennemis de l’Europe au contraire accentuèrent le phénomène. Quelques années plus tard, la Juive Simone Veil imposa à la France l’avortement de masse, qui a tué depuis plus de 6 millions d’enfants blancs.
Je ne suis pas domiciliée à Rosans, mais dans un village proche de la Drôme. Ce problème risque de s’imposer rapidement dans beaucoup de commune, surtout là où les politiques locaux d’obédience gouvernementale ou affidés sont aux ordres. Les Français pauvres, appauvris ou ceux aux revenus modestes n’arrivent pas à ce loger. Les logements sociaux (investissements des communes en plus) devraient être attribués à ces catégories. La disponibilité devrait être connue de tous et non de quelques privilégiés. Il n’en est rien ! J’ai perdu mon entreprise (exploitée en nom propre) il y a six ans. Je me suis donc retrouvée à la rue avec ma famille. J’ai contacté toutes les mairies du sud de la Drôme où il y avait des logements sociaux libres, chaque fois j’ai eu des refus. J’ai dû remplir un dossier conséquent pour me voir attribuer le n°2342 que j’ai conservé pendant plusieurs années sans qu’aucun logement me soit attribué. Depuis nous vivons dans des logements qui ont souvent proche du taudis dont le prix n’est pas en rapport de la qualité. Je me demande encore aujourd’hui comment sont gérés ces fameux logements sociaux. À l’époque j’aurai pu aller à Rosans…
Donc voyez-vous, inutile que les socialistes opposent Pétain au bon sens du rejet des populations locales et brandissent solidarité, humanisme, pour en plus les culpabiliser, les montrer du doigt… Oui les Français doivent se faire respecter à commencer par ceux qui gouvernent communes, cantons, régions…