Le gouvernement d’occupation allemand a annoncé la probable venue en 2015 de 800 000 envahisseurs au fallacieux prétexte du droit d’asile, quand l’immense majorité d’entre eux ne sont que des individus ayant refusé de travailler et de bâtir leur pays et venus profiter et piller l’Europe.
Les autorités présentent ce fait comme inéluctable, comme une réalité avec laquelle les Allemands doivent composer de gré ou de force. À aucun moment, alors que l’Europe connaît officiellement une terrible crise économique, le gouvernement n’a annoncé combien coûterait le seul accueil de ces envahisseurs. Il ne s’agit là que du coût financier immédiat, sans prendre en compte l’impossible coût humain, culturel, identitaire, racial, que font peser les envahisseurs sur le pays par les viols, les meurtres, les vols, la corruption du sang, l’imposition de religions étrangères, etc. Chaque envahisseur, pour l’accueil initial, coûte environ selon les estimations des provinces allemandes entre 12 000 et 13 000 euros. Multiplié par 800 000, cela représente 10 milliards d’euros.
Malgré l’énormité de la somme, les provinces réclament plus d’argent :
« Le gouvernement fédéral devrait faire plus »,
exige un responsable.
« Le gouvernement fédéral doit rapidement dire comment il va assumer une part des coûts des soins pour les réfugiés à long terme, de manière structurelle »,
déclare la présidente de Rhénanie-du-Nord-Westphalie Hannelore Kraft.
Le gouvernement a déjà promis un milliard d’euros supplémentaires ; la ministre des Finances du land du Schleswig-Holstein exige elle de nouvelles hausses des impôts, qui devront peser sur les Allemands.