Journal du 25 mars 2016

Sommaire :

France

Hicham étrangle Marguerite, 84 ans, pour la voler
Un Tunisien aux assises pour viols et agressions sexuelles
Nouvelle opération de Choisir la Vie : Législation IVG, halte à la discrimination
Le responsable du site d’information Panamza attaqué par la Fourrest qui lui réclame 15 000 €
Nouvelle journée de violence par l’extrême gauche
Arrestation d’un islamiste sur le point de commettre un attentat à Argenteuil
Nouvelle hausse du chômage en février, la plus forte depuis 2013

Étranger

Europe

Slava Banana
Le TATP : un redoutable explosif facile à fabriquer
Des passagers «détournés» ont été arnaqués par des charognards chauffeurs de taxis.
Radovan Karadzic, 40 ans de prison pour génocide
Pas d’étranger au gouvernement en Ukraine
Union européenne : la gangrène de la corruption coûte cher
Daesh aurait envoyé 400 combattants en Europe pour s’attaquer à l’Occident
Accusation Explosive : la Belgique disposait à l’avance de renseignements précis sur les attaques terroristes, et n’a rien fait

Monde

800 000 envahisseurs attendent de passer en Europe depuis la Libye
Des troupes nord-coréennes aux côtés de l’Armée arabe syrienne
Mali : procès des destructions de mausolées devant la Cour pénale internationale

Vidéo

Le Président – L’Europe

Éphéméride nationaliste

25 mars 1877 : naissance de Alphonse de Châteaubriant
25 mars 1991 : mort de Mgr Lefebvre

Agenda

Paris : IIème Forum de l’Europe

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Journal du 25 mars 2016

France

Hicham étrangle Marguerite, 84 ans, pour la voler

Marguerite, 84 ans, a tenu à être présente mardi pour voir son agresseur jugé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Tours. Lui qui, vendredi 18 mars, vers 19 h, l’avait repérée, tel un vautour sa proie, avant de la suivre jusqu’à son immeuble et de la délester de sa gourmette – un bijou offert par son défunt mari pour la naissance de sa fille – dans l’ascenseur.

« Il a choisi sa victime et a profité de sa fragilité, a pointé le substitut du procureur. Il n’a eu que mépris pour elle comme pour les enquêteurs », ne reconnaissant être l’auteur qu’une fois confondu par les investigations.
Pour ce vol avec violence, mais aussi pour usage de stupéfiants – le jeune homme ayant tenté de consommer au cours de sa détention- le

Tribunal déclare Hicham Oumoussa coupable de l’ensemble des faits reprochés et, en répression, le condamne à trente mois d’emprisonnement, révocation totale du sursis antérieur – soit « trente-quatre mois à faire » précise le président – et maintien en détention.

Il devra également indemniser la victime : 500 € pour le préjudice moral, 100 € pour le préjudice corporel et 265 € de préjudice matériel.

Un Tunisien aux assises pour viols et agressions sexuelles

Un Tunisien de 34 ans, arrivé à Nantes il y a huit ans, comparaît depuis mardi 22 mars devant la cour d’assises de Loire-Atlantique, pour viol et tentative de viol à l’encontre de prostituées roumaines et agression sexuelle sur une infirmière française.

Il conteste tout. Il a d’abord contesté avoir emmené de force une prostituée sous le pont de Cheviré, à Bouguenais, pour la violer, avant de quitter les lieux, dans la nuit du 1er au 2 avril 2013. Il a aussi contesté les accusations de viol et tentative de viol à l’encontre de trois autres prostituées de même nationalité, en avril 2011, octobre 2012 et mars 2013. Lesquelles ont porté plainte après avoir été mises au courant de l’agression de la première.

Il conteste aussi avoir agressé une infirmière, le 10 septembre 2011, procédure initialement classée, puis rapprochée de celle des prostituées grâce aux empreintes génétiques collectées et stockées dans le fichier national. L’infirmière l’a pourtant reconnu lors d’une confrontation.

Le verdict est attendu aujourd’hui.

Nouvelle opération de Choisir la Vie : Législation IVG, halte à la discrimination

Choisir la Vie communique :

Le 8 mars, l’arrêté instaurant le remboursement de tous les actes autour de l’intervention volontaire de grossesse (consultations, analyses, échographies) a été publié au Journal officiel.

A compter du 1er avril 2016, tous les actes de l’IVG seront remboursés à 100 %. Depuis 2013, seul l’acte lui-même était pris en charge à 100 % par l’Assurance maladie. Dès avril prochain, les examens de biologie, les échographies ou la consultation de recueil de consentement seront intégralement remboursés. Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, s’est félicitée de la publication de l’arrêté.

Cette mesure, constitue une grave discrimination à l’encontre des femmes enceintes qui voudraient garder leur enfant et qui dans les premières semaines de grossesse ont des examens qui, eux ne sont pas intégralement remboursés !
Montrez votre opposition à cette mesure qui prendra effet à partir du 1er avril : demandez affiches et autocollants auprès de Choisir la Vie ! [email protected]

Le responsable du site d’information Panamza attaqué par la Fourrest qui lui réclame 15 000€

Le fondateur du site Panamza est attaqué par Caroline Fourest pour «diffamation publique». La pseudo journaliste fem-haine réclame 15 000 euros pour «préjudice morale au rédacteur du blog, qui l’avait qualifié de «désinformatrice» dans l’un de ses articles.

Le procès s’est tenu mardi à la 17ème chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris.

Le responsable du site explique qu’il avait remarqué dans un article de 2013, que la journaliste aux ordres avait modifié un témoignage concernant des arrestations par la police américaine d’agents du Mossad, le 11 septembre 2001.

La journaliste porteuse de tous les vices, ne s’est pas déplacée à l’audience. C’est son avocat qui a annoncé qu’elle réclame 15 000 euros de dédommagement en raison du « préjudice moral » qu’elle prétend avoir subi.

Le verdict sera rendu avant l’été.

Nouvelle journée de violence par l’extrême gauche

Pour la troisième semaine consécutive, l’extrême gauche était autorisée à saccager les villes, officiellement contre le projet de loi travail, présenté ce jeudi en conseil des ministres par la marocaine El Khomri.

à Paris, l’entrée du lycée Jacques Decour (Paris IX) a été incendiée, un abri bus a été vandalisé, au moins deux voitures ont été brûlées aux invalides. Comme les semaines précédentes, les CRS ont été visé par des jets de bouteilles, de cocktails molotov, et ont dû user de gaz lacrymogène pour faire reculer les extrémistes. L’IGPN a été saisie jeudi soir après qu’une racaille étrangère se soit cognée au sol quand un CRS tentait de la maitriser dans le XIXe arrondissement. Bernard Cazeneuve s’est dit choqué. Les français, eux, sont choqués que des casseurs d’extrême-gauche de plus en plus violents, soient toujours autorisés à manifester. Les français opposés aux unions d’invertis avaient eu le droit à un traitement plus expéditif, interpelés par centaines par la police politique et presque systématiquement placés en garde à vue. Traitement toujours en vigueur pour les nationalistes, plus surveillés que les terroristes.

Il n’y a eu que 15 interpellations.

à Nantes, les manifestants cagoulés ont visé avec des pierres, des œufs remplis de peinture et autres projectiles, les policiers et CRS. Ils s’en sont également pris aux lignes de tramway, arrachant pavés et câbles, et ont incendié des poubelles. Seulement 19 racailles ont été interpellées, et 4 policiers blessés.

à Rennes évidemment, des vitrines ont été cassées, un supermarché vandalisé, et la boutique Lacoste pillée. 150 articles ont été volés par les manifestants opposés à la loi travail, qui ont blessé deux vendeuses au passage. « ça a duré 10 secondes, pas plus » a déclaré l’une d’entre elles, choquée.

Sur Twitter, la Police de Rennes a annoncé avoir saisi des lances-pierre, des barres de fer, du matériel de protection, des casques…

A Rouan, où la permanence PS a été gentiment décorée, à Marseille, les scénarios ont été semblables que dans les autres villes.

Arrestation d’un islamiste sur le point de commettre un attentat à Argenteuil

Jeudi matin, un islamiste à papiers français a été arrêté par la police antiterroriste à Argenteuil. Il préparait des attentats imminents, mais ne serait pas lié aux terroristes de Bruxelles et de Paris.

Des perquisitions étaient encours jeudi soir. On ne sait encore où il allait perpétrer sa besogne culturelle, ni contre quoi.

Nouvelle hausse du chômage en février, la plus forte depuis 2013

Alors que la priorité du gouvernement Valls-Hollande est la promotion du racisme anti-blancs, le chômage continue sa progression.

Pour le mois de février, Pôle Emploi a enregistré 38400 nouveaux demandeurs d’emploi. une hausse de 1.1% en un mois, la plus forte enregistrée depuis 2013. Le nombre de demandeurs d’emploi sans aucune activité atteint 3.59 millions de personnes, où presque 10% de la population.

S’il tient une seule de ses promesses, Hollande ne devrait pas se représenter en 2017.

Étranger

Europe

Slava Banana

Défilé Russe à Sébastopol, en Crimée occupée par l’armée « russe ».

Qui nous parlait du dernier bastion Européen, seul rempart face à la décadence mondialiste et au grand remplacement ?…

Le TATP : un redoutable explosif facile à fabriquer

À Bruxelles mardi, comme au Bataclan à Paris ou sur les champs de bataille syriens, le TATP, surnommé dans les milieux djihadistes « la mère de Satan », s’avère être un explosif de choix.

« Quinze kilos d’explosif de type TATP, 150 litres d’acétone, 30 litres d’eau oxygénée, des détonateurs, une valise remplie de clous et de vis » ont été trouvés dans un appartement des kamikazes de Bruxelles, a révélé mercredi le procureur fédéral belge Frédéric Van Leeuw.

Découvert à la fin du XIXe siècle par un chimiste allemand, le peroxyde d’acétone (en anglais TATP : triacetone triperoxide) est un explosif artisanal obtenu en mélangeant, dans des proportions précises, de l’acétone, de l’eau oxygénée et un acide (sulfurique, chlorhydrique ou nitrique), produits faciles à trouver dans le commerce. On obtient alors une poudre constituée de cristaux blancs, ressemblant à un sucre grossier, qu’un détonateur simple suffit à faire exploser, dans une déflagration produisant un terrible dégagement de gaz brûlants.

En Irak et en Syrie, les laboratoires, d’abord sommaires puis quasi industriels, de TATP et d’autres matières explosives artisanales se sont multipliés. Dans un rapport publié en février, l’ONG Conflict Armament Research a mis au jour, après une enquête de vingt mois, un réseau de 51 sociétés, basées dans vingt pays, dont la Turquie, la Russie mais aussi la Belgique et les États-Unis, ayant fourni à l’EI les composants nécessaires à la fabrication semi-industrielle d’explosifs artisanaux.

Regarder un tutoriel sur Internet ne suffit pas. Il faut quand même que quelqu’un vous ait montré une fois. Mais des instructeurs, les gars de l’État islamique n’en manquent pas, en Syrie et en Irak. Puis ça se diffuse de cours pratique en cours pratique. Quand on vous a montré, vous pouvez effectivement le faire dans votre cuisine.

Pour provoquer l’explosion du TATP, un détonateur est nécessaire. Il peut être fabriqué, à l’aide d’un fin tube métallique rempli de pâte et relié à deux fils électriques qui, mis en contact, vont provoquer un arc électrique puis une flamme. Plus simplement, ils peuvent être achetés dans le commerce. C’est ce qu’a fait Salah Abdeslam, l’un des djihadistes du 13 novembre, arrêté le 18 mars à Bruxelles : après avoir laissé photocopier son permis de conduire, il avait acheté une dizaine de détonateurs pyrotechniques chez un vendeur de matériel pour feux d’artifice de la région parisienne, sans éveiller le moindre soupçon.

« Le principal problème que nous pose le TATP », confie à l’Agence France-Presse un membre des services français antiterroristes, qui demande à rester anonyme, « c’est la disponibilité des ingrédients. On peut surveiller les ventes d’eau oxygénée, d’ailleurs on le fait bien sûr, mais si les gars sont assez malins pour faire vingt pharmacies et acheter de petites quantités, ça passe. Pareil pour l’acétone et l’acide… » « Lors d’un stage, on a passé l’après-midi à fabriquer des explosifs artisanaux, notamment du TATP, ensuite testés. C’est d’une facilité déconcertante. Uniquement avec des produits achetés » dans des magasins de bricolage. « En une demi-heure, on avait fabriqué l’explosif, une demi-heure après on le faisait péter. Et ça a pété fort », dit-il.

Des passagers «détournés» ont été arnaqués par des charognards chauffeurs de taxis.

Pas content le CEO de l’aéroport de Charleroi : «Nous avons reçu plusieurs plaintes de passagers que des chauffeurs de taxi ont littéralement arnaqués», rapporte Jean-Jacques Cloquet. De fait, ils leur ont demandé jusqu’à deux fois le prix normal de la course pour les transporter à Bruxelles. Soit un forfait de… 300 euros (!), ce qui est tout à fait illégal. Après les attentats de Zaventem qui ont amené des vols de diversion sur le tarmac de Gosselies, les taxis ont en effet été surbookés. Des chauffeurs en ont profité pour majorer leurs prix. Et imposer leurs conditions alors que les gares SNCB de la capitale avaient été fermées, et qu’il n’y avait pas assez de shuttles pour Bruxelles.

De tels comportements d’abus ont déjà été constatés à l’aéroport de Charleroi. Lors de précédentes crises liées aux intempéries hivernales, les mêmes pratiques avaient déjà fait des victimes. «Mais ici, cela dépasse les bornes!». Le Président de BSCA, Laurent Leveque n’hésite pas à parler de «racket. Une honte en cette période où il faut faire preuve de solidarité collective.»

Ceux de nos lecteurs qui ont déjà pris un taxi à Bruxelles, ont dû constater comme nous, qu’à l’instar de paris, les chauffeurs sont très –très- rarement des européens blancs ! Mais… pas d’amalgame, hein ?

Radovan Karadzic, 40 ans de prison pour génocide

Le 24 mars 2016, le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie qui siège à La Haye a rendu son verdict contre Radovan Karadzic. Ce dernier était poursuivi depuis 1995 pour 11 chefs d’accusation – dont 2 pour génocide – en raison des crimes commis en son nom en Bosnie lors de la guerre qui a suivi l’éclatement de la Yougoslavie en 1991. À cette époque, Karadzic était le chef du Parti démocratique serbe en Bosnie-Herzégovine, destiné à rassembler la communauté serbe et protéger ses intérêts hors de Serbie, et également Président du Conseil de sécurité nationale de la République serbe de Bosnie.

Il est acquitté le 28 juin 2012 de l’accusation de génocide concernant des crimes commis dans des municipalités de Bosnie entre mars et décembre 1992. Cependant il reste poursuivi du chef de génocide pour le « massacre de Srebrenica » et de crime contre l’humanité et crime de guerre pour les bombardements de Sarajevo pendant la guerre de 1992 à 1995. C’est-à-dire étrangement des accusations pour des crimes qui ne concernent finalement plus que des victimes de confession musulmane…

Le Tribunal a donc prononcé jeudi 24 mars, soit 24 ans après le début de la guerre et alors qu’il est âgé de plus de 70 ans, une peine de 40 ans de prison contre Radovan Karadzix.

De nombreux serbes de Bosnie pensent que leur chef de la période de guerre est innocent des crimes qu’on lui impute et que sa condamnation infligerait une grave injustice à tous les Serbes. Et ses soutiens se comptent jusqu’au plus haut degré des institutions de la République serbe de Bosnie. Le président actuel, Milorad Dodik, a ainsi écrit : « L’armée de la République serbe de Bosnie a mené une guerre juste et honnête, autant que faire se peut » et il a même dénoncé le Tribunal pénal international et « la partialité évidente de ses décisions ». Il a encore déclaré la semaine dernière : « Quelqu’un a conclu que les Serbes doivent être tenus responsables de tout ce qui est arrivé (…) Les chefs de guerre musulmans et croates de Bosnie n’ont pas été poursuivis. Voilà pourquoi le verdict ne comporte aucun élément de justice, mais de la vengeance. »

Et la procédure conduite par le Tribunal est critiquée jusqu’en Serbie même. Le ministre serbe de la Justice, Nikola Selakovic a affirmé à une chaine de télévision : « Je ne pense pas que le verdict pourra en aucune façon aider le processus de réconciliation qui était l’intention première du tribunal ».

Pas d’étranger au gouvernement en Ukraine

Mikheil Saakachvili, gouverneur de l’oblast d’Odessa en Ukraine, a fait des déclarations à des médias ukrainiens quant au recrutement d’hommes politiques et de fonctionnaires compétents aux postes à responsabilité de l’État. Il s’oppose aux nominations de personnes de nationalité étrangère qui empêchent selon lui l’émergence d’une génération de responsables ukrainiens d’Ukraine. « Supposons qu’on invite des réformateurs étrangers ou qu’on tire de l’oubli un ancien premier ministre ou ministre d’Europe de l’Est. Je ne doute pas que parmi eux il y ait des gens de qualité, d’ailleurs j’en connais quelques-uns et je nourris le plus grand respect pour eux, mais qu’ont-ils à faire avec l’Ukraine ? »

Mikheil Saakachvili, qui est actuellement en froid avec le Premier Ministre, Arseni Iatseniouk, dont il souhaite ravir la place avec l’appui des gouvernements occidentaux, aurait-il oublié lui-même ses propres origines ? En effet Saakachvili était géorgien jusqu’à sa naturalisation ukrainienne récente en mai 2015 !

Certes né à Tbilisi en Géorgie, en réalité Mikheil Saakachvili n’est de nulle part (ou partout). Il appartient à cette oligarchie de dirigeants repérés et formés aux États-Unis pour « servir » (maîtrise universitaire de l’École de Droit de Columbia en 1994 ; « Doctor of Laws » de l’École de Droit de l’université George Washington en 1995 ; diplôme de l’Institut international des droits de l’Homme à Strasbourg la même année). Il est passé ainsi du « bizness » à la politique et d’un pays à l’autre comme d’un conseil d’administration à un autre, au gré de ses intérêts et des intérêts de ses maîtres. Il a ainsi travaillé à New York dans le cabinet de droit Patterson Belknap Webb & Tyler puis s’est fait élire deux fois président de la république de Géorgie de 2004 à 2007 et de 2008 à 2013 avant d’être nommé gouverneur d’Odessa… Et puis quoi ensuite ?

Union européenne : la gangrène de la corruption coûte cher

Le Parlement européen a publié une étude qui montre que le coût global de la corruption dans l’Union pourrait s’élever à 990 milliards d’euros chaque année. Ce chiffre est l’hypothèse haute. D’autres scénarios évaluent malgré tout la déperdition entre 180 et 250 milliards d’euros annuels. Le rapport attire également l’attention sur le fait qu’en plus des conséquences économiques, la corruption est « un instrument du crime organisé et des groupes terroristes, souvent utilisée pour gagner de l’influence et mener leurs opérations ». Selon l’étude, les pays les plus touchés par la corruption sont la Croatie, Chypre, la Lituanie et la Roumanie.

Le rapport ne dit pas la part de corruption que l’on doit aux institutions de l’Union européenne dont les processus de décisions sont particulièrement opaques et perméables à l’influence d’une multitude de lobbies qui ne travaillent pas dans l’intérêt des peuples et du continent.

Daesh aurait envoyé 400 combattants en Europe pour s’attaquer à l’Occident

Des experts en sécurité ont indiqué à Associated Press que Daesh a formé au moins 400 agresseurs et les a envoyés en Europe pour attaquer. L’annonce intervient après les attentats qui ont frappé l’aéroport et le métro bruxellois.

Les services de renseignement européen et irakien, ainsi qu’un politique français qui suit de près le travail des réseaux djihadistes, ont souligné l’existence des camps conçus spécialement pour entraîner les combattants à lancer des attaques contre l’Occident.

Selon ces responsables, ces apprentis-terroristes y apprennent à et reçoivent l’ordre de trouver le bon moment, l’endroit, et la méthode pour effectuer leur mission.

Selon le site Russe : Sputniknews.com :

De nouveaux rapports révèlent que le groupe terroriste Etat islamique (EI ou Daech) aurait formé au moins 400 terroristes pour commettre une série d’attentats en Europe.

Accusation Explosive : la Belgique disposait à l’avance de renseignements précis sur les attaques terroristes, et n’a rien fait

Des responsables israéliens de la sécurité auraient mis en garde les autorités belges contre les mesures de sécurité « insuffisantes » à l’aéroport de Bruxelles quelques semaines avant les attentats meurtriers de mardi, a rapporté mercredi la chaîne israélienne Arutz 2.

Des inspecteurs israéliens chargés d’évaluer la sécurité dans les aéroports internationaux ont identifié des « failles de sécurité » et en auraient informé les autorités belges, mais la sécurité à l’aéroport serait restée laxiste.

Par ailleurs, selon le quotidien israélien Ha’aretz, les services de sécurité belges, ainsi que d’autres agences de renseignement occidentales, disposaient de renseignements précis concernant les attaques terroristes de Bruxelles de mardi.

Selon le journal, les services de sécurité savaient, avec un degré élevé de certitude, que les attaques contre l’aéroport et le métro bruxellois avaient été planifiées dans un futur très proche.

Selon certaines sources à confirmer, l’attaque aurait été prévue pour le week-end de Pâque, mais a été anticipée en raison de l’arrestation de Salah Abdeslam.

Monde

800 000 envahisseurs attendent de passer en Europe depuis la Libye

Hier, interrogé par Europe 1, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a d’abord estimé le nombre de migrants concentrés en Libye à des « centaines de milliers ». Il a ensuite ajouté que 800 000 était un « chiffre à peu près convenable ».

Le ministre a également précisé : « Il y a trois dangers majeurs qui existent en Libye. Le premier c’est Daesh, qui a entre 4 000 et 5 000 combattants en Libye. Il faut également éviter les trafics de migrants, qui profitent d’ailleurs à Daesh, et le troisième danger est le trafic d’armes ».

Des troupes nord-coréennes aux côtés de l’Armée arabe syrienne

Lors des négociations à Genève sous l’égide de l’ONU entre le régime de Bachar el-Assad et l’opposition syrienne, un responsable du Haut Conseil des négociations (alliance de formations d’opposition syriennes) a dénoncé la présence d’unités militaires nord-coréennes aux côtés des forces gouvernementales. « Il y a deux unités militaires de la Corée du Nord en Syrie » et ces deux unités militaires, Chulma 1 et Chulma 7, seraient, « mortellement dangereuses ». D’après ce même représentant, les troupes de Bachar el-Assad seraient également appuyées par des contingents afghans et iranien.

Mali : procès des destructions de mausolées devant la Cour pénale internationale

Le 24 mars 2016, une chambre de la Cour pénale internationale qui siège à La Haye a confirmé le chef d’accusation de crime de guerre contre Ahmad Al Faqi Al Mahdi, à raison de la destruction de monuments à caractère historique et religieux à Tombouctou, au Mali.

L’individu est un jihadiste d’Ansar Eddine, un mouvement principalement touareg associé à Al-Qaeda au Maghreb islamique qui collaborait étroitement avec les leaders de deux autres groupes armés. Il aurait été jusqu’en septembre 2012 à la tête de la « hisbah » (instance chargée de promouvoir la vertu et prévenir le vice) qui a été créée en avril 2012. Il était également associé aux travaux du Tribunal islamique de Tombouctou et participait à l’exécution de ses décisions.

Ahmad Al Faqi Al Mahdi est accusé par le procureur de la CPI d’avoir délibérément ciblé et détruit 9 mausolées et la porte d’une mosquée (formant une part importante du patrimoine culturel de Tombouctou et du Mali, protégés en tant que tels et qui ne constituaient pas des objectifs militaires), entre le 30 juin et le 11 juillet 2012. La Cour a confirmé ces charges et l’a renvoyé en jugement devant une chambre de première instance.