La dernière manifestation gangrenée par l’ultra gauche qui s’est tenue jeudi a donné lieu à de nombreux débordements, celle-ci se tenait afin de demander le retrait de la loi «travail» de la marocaine El Khomri. Ils étaient entre 170.000 (selon la police) et 500.000 manifestants (selon les rouges de la CGT) qui ont défilé jeudi 28 avril en France contre le projet loi travail de la marocaine.
Sur ces nombreux débordements qui ont eu lieu en France, provoquant parfois de violents heurts, plusieurs individus cagoulés issus de l’extrême gauche ont pris part aux cortèges et cherché l’affrontement avec les forces de l’ordre. Ces dernières ont procédé à 124 interpellations et comptent 24 blessés dans leurs rangs, dont un en état d’urgence absolue à Paris.
Le préfet de police de Paris, Michel Cadot, a dénoncé lors de sa conférence de presse, les «exactions nombreuses» et les «violences inqualifiables» des «casseurs». Des individus «organisés et méthodiques, cagoulés et casqués» maîtrisant «les techniques pour enlever les pavés» et les utiliser comme «projectiles pour attaquer les forces de l’ordre» a-t-il détaillé. Pour une fois la presse aux ordres de la dictature socialiste a pointé du doigt les «casseur issus de l’extrême gauche, comme les No-Borders et les Anti-fa».
Car il est a noté que dans leur république, si vous n’êtes pas dissident, si vous n’êtes pas suspecté du crime ultime de pensée raciste, leur justice française trouvera toujours le moyen de vous faire sortir rapidement de prison et nos belles âmes vous trouveront toutes les excuses possibles.
Si, en revanche, il vous venait à l’esprit d’être dissident, d’écrire, de mobiliser, de militer contre ce régime dictatorial socialiste qui s’est installé en France, alors préparez-vous aux foudres impitoyables de leur justice, au lynchage médiatique, et là n’attendez pas aucune rédemption possible.
Le préfet de police a précisé que les autorités étaient en train de réaliser «l’inventaire des dégradations» réalisées lors du défilé parisien, sur «les véhicules, le mobilier urbain et les commerces le long du parcours», mais en réalité pour quoi faire ? Car encore une fois, qui paiera la note ? ce sera encore le contribuable qui passera à la caisse. Pourtant, dans leur état d’urgence, avec l’installation de milliers de caméras supplémentaires, les coupables sont facile à identifier ! Mais pour ça, encore faut-il le vouloir !
Le premier Ministre de leur république, le Catalan Manuel Valls, en déplacement en Nouvelle Calédonie, a confirmé son soutien aux policiers sur twitter et le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a demandé aux syndicats de condamner ces violences. Il est bien sûr évident qu’aucune demande de dissolution de ces mouvements de casseurs de l’ultra gauche rouge sera à l’ordre du jour du prochain conseil des Ministres de mercredi prochain, car dans leur république, ce sont les mouvements de la droite radicale que l’on chassent et pas ceux de la gauche rouge écarlate !
François Palaffittes