Aulnay : un président pathétique mais qui a choisi le camp de l’anti-France
Aulnay-sous-Bois et quelques autres cités de la banlieue parisienne sont secouées depuis plusieurs jours par des manifestations et des émeutes allogènes au prétexte de protestation contre le « viol » que l’Africain Théo aurait subi de la part de la police lors de son interpellation jeudi 2 février. Quatre policiers sont mis en examen : trois pour violences et un sous la qualification de viol.
Pourtant, dans le premier rapport rendu par l’IGPN au parquet de Bobigny et à la juge d’instruction, la police des polices retient la thèse de l’accident et estime qu’il n’y a pas eu viol parce qu’il n’y avait « pas intention de commettre un crime sexuel ». Ce jour-là, une bagarre éclate entre les policiers et Théo qui s’interpose entre la police et des individus interpellés. Au cours de son arrestation, le jogging du jeune homme est baissé, avant que le policier lui donne des coups de matraque, ce qui aurait occasionné les blessures dont souffre la victime. Le rapport de l’IGPN ne conteste pas la violence de l’intervention des policiers, il y a eu pénétration de la matraque, les rapports médicaux l’attestent mais ce n’est pas un viol.
Le viol est un crime intentionnel c’est-à-dire que l’auteur doit avoir eu la conscience et la volonté d’imposer à sa victime un rapport sexuel non consenti. Et le droit vient au secours du bon sens : il est difficile d’imaginer un policier voulant imposer un acte sexuel à l’Africain en question, au cours d’une intervention en train de déraper, au milieu d’une cité sensible, entouré de jeunes allogènes attendant la moindre faille pour passer à l’attaque contre la patrouille et le tout sous le regards des résidents, au mieux indifférents au sorts des policiers, au pire appelant à leur lynchage avec force cris, crachats et quolibets…
Mais aucune de ces considérations n’a empêché le reliquat de président de leur république que se traine la France, de faire le déplacement et de se rendre par surprise au chevet de l’Africain hospitalisé. Le chef de l’État, resté une demi-heure avec le jeune allogène et plusieurs membres de sa famille, a expliqué qu’il entendait par sa présence « souligner combien » Théo, un « jeune qui avait toujours été connu pour (son) comportement exemplaire », « avait réagi avec dignité et avec responsabilité après ce qui lui est arrivé ».
On n’avait pas constaté une aussi indigne mauvaise foi et une pareille négation du réel, par un chef de l’État, depuis longtemps ! Comment Hollande peut-il oser qualifier « d’exemplaire » le comportement de cet allogène qui s’interpose entre la police et les dealers de drogue qu’ils interpellent, pour leur permettre de tenter de s’enfuir, et qui se rebelle à son tour contre les forces de l’ordre qui veulent contrôler son identité ?
François Hollande a volontairement choisi de défendre la racaille étrangère et par extension le droit de ces populations importées à faire la loi sur le territoire français. Alors que les émeutes continuent toutes les nuits à Aulnay et que de nouvelles cités de la région parisienne connaissent également des incidents. Et ce ne sont pas les peines plus que légères prononcées par la justice contre les premiers émeutiers interpellés en fin de semaine dernière qui vont dissuader et enrayer le mouvement. En effet six voyous ont été jugées mercredi pour « avoir amassé des pierres » et « plongé la cité des Trois Mille dans le noir ». Ciré M. et Sofiane K. s’en sortent avec six mois de prison ferme, mais sans mandat de dépôt. Un peine aménageable automatiquement, autant dire qu’ils ne verront pas la couleur des murs d’un centre de détention. Yaya N. et deux autres, jugés pour des faits identiques, sont condamnés mais à six mois avec sursis car sans casier judiciaire…
Par son acte de trahison, François Hollande encourage implicitement toutes les populations qui crachent sur le pays qui les accueille à continuer de descendre dans les rues pour s’en prendre aux policiers et à tout ce qui symbolise l’État et la France. Au risque d’un nouveau dérapage plus sanglant ou d’une contagion de l’embrasement insurrectionnel…
François Hollande, c’est l’anti-France ! Et l’anti-France doit être détruite !
Il faudrait qu’il fût condamné pour haute-trahison.