Depuis le mois de novembre 2018, la France est secouée par le mouvement des Gilets jaunes qui, à la surprise du pouvoir, ne s’étiole pas. Enfin, après tant d’années d’un écrasement croissant de la part de l’oligarchie de républicaine, les Français – c’est-à dire les classes moyennes soit 70 % du peuple, ceux qui ne peuvent délocaliser leur activité, depuis ceux qui subviennent tout juste ou à peine à leur subsistance classer moyenne inférieure, jusqu’aux professions libérales matraquées fiscalement – réagissent et n’acceptent plus de se laisser détruire. Pour autant, rien n’est gagné. Nous n’en sommes qu’au début d’un processus plus ou moins long, qui sera ponctué de crises nationales et internationales, politiques, ethniques, financières, qui doit aboutir à la délivrance du peuple français, mais aussi des autres peuples d’Europe occidentale.
Cependant, en l’état, le mouvement des Gilets jaunes s’engage à court terme dans une impasse. Que leur ont apporté de tangible les manifestations hebdomadaires ? Quelques mesures démagogiques, sans grand effet relativement aux demandes formulées. Des tromperies comme cette augmentation du Smic dont 80 % du montant étaient prévus avant la révolte. Des mises en scènes comme les rencontres entre Macron et des maires triés sur le volet, ceux-là même qu’il ignorait superbement jusqu’alors. Des mesures dilatoires comme ce « grand débat national » qui est une fumisterie grossière dans la mesure où des sujets comme l’invasion migratoire en sont écartés et que le rapport final sera soigneusement expurgé de tout ce qui peut déranger le pouvoir.
Loin d’être libre, la parole est emprisonnée comme jamais en France. Ainsi, parler du judaïsme politique, de la maçonnerie pourra vous en cuire. Et pour une bonne raison : nous touchons au magistère de leur république ! Une preuve tangible en est cet appel du 8 décembre de Haim Korsia, Grand Rabbin de France, demandant au corps rabbinique de faire prier pour la République en danger ! Maintenant, il est question d’organiser un référendum qui sera concocté de telle manière qu’il puisse être favorable au pouvoir. Il suscite une liste « Gilets jaunes » aux élections européennes pour diviser une opposition pourtant inconsistante – situation qui est l’un de ses meilleurs alliés politiques – bien que le piège ne semble pas fonctionner. Ne nous leurrons pas : bien que rejeté, Macron a encore des ressources pour durer. Nous ne devons pas accepter le combat sur le terrain que le régime propose.
En attendant, le pouvoir continue sa politique de destruction. Le déménagement des pouvoirs publics de nos provinces continue, avec les fermetures d’écoles, de postes, de voies ferrées. Macron a signé le Pacte de Marrakech créant de fait l’obligation pour les peuples d’Europe de se laisser envahir et génocider sans broncher. Il a signé le traité d’Aix la Chapelle qui, en l’absence de volonté politique, aboutit à inféoder Paris à Berlin ; la désindustrialisation de notre pays continue, tandis que, fanfaronnant à l‘étranger, Macron se permet d’ordonner au président Maduro de démissionner, aboyant avec l’Otan et s’ingérant dans les affaires d’un Etat souverain : quoi que l’on pense des échecs économiques de Maduro, se crée le risque d’attiser une guerre civile dans ce pays qui est devenu un enjeu géopolitique international, entre les Etats-Unis et la Russie et la Chine.
Ce n’est pas tout. Un instant déstabilisé, le pouvoir s’est ressaisi, matraque les Français ou plus exactement les éborgne en nombre, prenant prétexte de casseurs dont on se demande s’il ne les stipendie pas. La répression frappe des Français luttant simplement pour survivre et est une fois de plus sans commune mesure avec la mansuétude du régime face aux banlieues ethniques et aux violences gauchistes. Comme à son habitude, leur république sait se défendre. Rappelons pêle-mêle, la répression de Cavaignac en juin 1848 et ses milliers de morts, la fusillade de Fourmies en 1891, les morts de Draveil en 1908, le 6 février 1934, la répression sanglante contre les Français d’Algérie comme la rue d’Isly etc.. En février 2019, le pouvoir a fait voter une « loi anti casseurs » pour renforcer la répression. En outre, Macron peut faire intervenir des policiers étrangers, si ce n’est déjà fait. La force de police européenne (Eurogenderfor ou EGF), créée par le traité de Velsen du 18 octobre 2007 peut se substituer aux forces de police civile d’un Etat, à n’importe quelle phase d’une crise et son personnel pourra être soumis à l’autorité civile ou à un commandement militaire. L’oligarchie mondialiste se donne les moyens d’écraser les peuples !
Pour autant rien ne sera réglé. Pour calmer durablement un tel mouvement revendicatif, il faut distribuer plus de richesses. A cette fin, il faut relancer l’activité économique : prisonnière de l’euro et du libre-échange mondialiste, la ploutocratie qui oppresse les Français en est incapable ; il faut arrêter l’invasion migratoire : elle ne le fera pas puisque son but est le génocide de la race blanche ; il faut rendre vie à nos provinces : elle s’en moque, car pour elle, la France se réduit à une métropole parisienne de taille mondiale et ses satellites comme Lyon, Bordeaux, Toulouse, Strasbourg, Lille, le reste passant par pertes et profits.
Son objectif est de gagner du temps, en espérant que les Français se lasseront, ou bien, tout simplement disparaîtront, submergés par l’invasion migratoire qu’elle tente seulement de mieux dissimuler.
Cependant, le système actuel de manifestation ne peut durer. Il faut éviter de bloquer ceux qui travaillent encore, envisager d’autres modes d’action, notamment la multiplication des actions en province, en de multiples lieux, s’en prendre aux organes déconcentrés du pouvoir : de cette manière les forces de répression du régime finiront par être débordées. Il faut utiliser la logique du système pour le bloquer, par exemple surcharger les systèmes publics afin de provoquer une thrombose etc.. Mais sans structure et volonté, tout passage en force est illusoire.
Tout dépend de la conscience révolutionnaire des gens et du nombre de ceux qui s’engageront dans ce processus. Ces trois mois de révolte ont eu cet effet majeur d’avoir amené nombre de Français à développer une conscience politique qu’ils n’avaient pas jusqu’alors et à ne plus accorder la moindre confiance au régime et à son personnel. Certes, les esprits restent formatés par quarante années de formatage anti raciste, shoatique. Or, ici et là – cela inquiète l’oligarchie – certains ont compris que le régime avait pour magistère le judaïsme politique, la maçonnerie.
Les nationalistes ont la doctrine, la conscience révolutionnaire et politique indispensables pour mener un combat victorieux. Mais actuellement, il leur faut créer des canaux de diffusion de leur doctrine. Trop souvent, ils agissent sous forme d’activisme stérile et contre-productif. Il faut savoir donner plus de coups que nos ennemis ne le peuvent. Il faut apprendre à maîtriser les assemblées, ce que savent faire les gauchistes. Ils faut cesser les querelles personnelles, se former, s’organiser et s’unir sans état d’âme pour rendre la France à elle-même et délivrer le peuple français d’un asservissement destructeur qui n’a que trop duré.
MILITANT.
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« cesser les querelles personnelles, se former, s’organiser et s’unir sans état d’âme »
Ce vœu pieux est évidemment l’expression de la sagesse, face au Régime.
Ancien responsable départemental du Val d’Oise pour le Mouvement OCCIDENT, puis militant à ORDRE NOUVEAU, au PARTI DES FORCES NOUVELLES, au FN, ensuite , en Belgique au PFN , au VLAAMS BLOC -devenu Vlaams Belang, j’avais toujours préconisé le rassemblement des divers courants d’action et de pensées, ceci au niveau national.
Malheureusement, je dois constater avec tristesse que les egos des innombrables responsables des associations, mouvements, partis et chapelles qui s’inspirent TOUS de la trilogie :
contre le mondialisme et le Nouvel Ordre Mondial
contre l’immigration/invasion et le métissage généralisé
pour la défense de notre identité , de nos us et coutumes, et de l’Homme Blanc,
sont absolument incapable de se réunir dans un même front.
Sans doute y aura-t-il à l’avenir un évènement majeur qui permettrait une indispensable fédération de toutes les bonnes volontés. Ne désespérons pas !