En ces jours où apparaissent des mouvements que – citant mon collègue de philosophie, qui a eu certains de mes vieux maîtres en Sorbonne, l’Académicien Finkelkraut, ce qui sort de l’ordinaire -, je qualifierai de communisme en action, sous masque d’antiracisme, je présenterai aux lecteurs français et étrangers aussi (je songe à mon camarade italien Claudio Mutti, par ailleurs latiniste éminent, expert en langues turques et créateur de la revue Eurasia), cette courte étude sur la découverte en avril 1943 du massacre de Katyn en Biélorussie, non loin de Smolensk près de laquelle se trouvait la Légion des Volontaires Français antibolchéviques que devait connaître, après une enquête sur place, et rejoindre, par exemple, le lieutenant et futur capitaine de la Légion Etrangère, Frédéric Pompidou (libraire rue de Seine).
Un article de l’Illustration lui fut consacré, au reste, orné de sa photo, et c’est ainsi que, tout jeune homme, je connus ce patronyme devenu ensuite celui du premier ministre et second président de cette République qui pourrait, par des jeux souterrains, changer de numéro et prolonger le destin des précédentes ! Frédéric Pompidou avait voulu, comme le Normalien helléniste perpignanais Robert Brasillach, faire un reportage sur la Légion qui comprenait, entre autre célébrités, un Bernard de Polignac, de la lignée princière, sergent dont une partie de la famille exilée s’était installée en Ukraine, retrouvé en 1943 crucifié près de Bopr, vidé de son sang par les partisans, comme me le décrivit, pour l’avoir découvert ainsi, un témoin toulousain, ancien séminariste et ami de Monseigneur Mayol de Lupé, aumônier de la Légion, mais Occitan qui refusa de rentrer au corps d’élite que l’on sait, « car on ne s’y battait pas assez », selon ses dires, à son goût, et s’engagea dans les commandos de maquisards antimaquis d’Italie du Nord sous le commandement d’Otto Skorzeny ! Cet homme, feu Laurent R., dont je parle, était poète, maire un temps de sa localité dans les années 60, novelliste occitan et membre de l’Académie des jeux floraux, gloire de cette ville que les Romains antiques et des Italiens de la Renaissance disaient celle de Pallas, seconde Athènes ! De fausses identité italiennes enorgueillissaient les bourgeois toulousains qui firent bâtir des hôtels de ce style de la bien dite Renaissance !
C’est donc le hasard d’un reportage qui fit connaître, de première main, peut-on dire, par des témoins français directs, dans la presse parisienne ce massacre de Katyn ordonné par une décision officielle du Bureau Politique du Parti Communist de l’Union Soviétique, dont le document est sur la toile, daté du 5 mars 1940. La décision fut alors prise de fusiller des officiers et des fonctionnaires polonais pouvant faire obstacle au projet d’une bolchevisation future de la Pologne. Le nombre d’exécutés existe dans les archives moscovites et nous ne nous y arrêtons guère, mais le mode d’exécution était, non seulement dans cette forêt de Katyn, mais en d’autres endroits du vaste territoire, d’exécuter le prisonnier politique, isolément, les mains liées dans le dos, de la fameuse balle dans la nuque !
Les Allemands convoquèrent des neutres, dont des experts suédois et des Suisses pour examiner le charnier que l’on peut voir dans le reportage filmé montrant justement Brasillach, avec son imperméable, marcher près de Fernand de Brinon, ambassadeur, et contempler l’exhumation des cadavres, l’examen de leurs papiers et correspondance. Tout cela était identifiable. Mais le scrupule allemand bien connu, qui est une forme du sens technique, dans l’industrie comme dans les arts, les fit choisir comme témoin un belligérant américain capturé en février 1943 sur le front tunisien, où des troupes US avaient subi, en effet, quelque revers et rencontraient l’hostilité générale des Tunisiens ; Bourguiba et Hedi Nouïra, futur créateur de la banque tunisienne, pour donner deux exemples typiques, ayant été libérés par le Service de Sécurité allemand, de la prison dans laquelle les avaient enfermés le Front Populaire, une fois la zone libre d’armistice franchie en novembre 1942 par suite de la non résistance au débarquement anglo-américain en Algérie.
Cet officier américain, d’ascendance hollandaise, le lieutenant-colonel nord-américain John Huff Van Vliet junior (1914-2000), fut donc adjoint à la commission d’experts neutres internationaux les 16 et 17 avril 1943, et pleinement convaincu, comme ses collègues, de l’évidente culpabilité soviétique. Mais l’histoire va bientôt s’épaissir, comme les ténèbres, en le réduisant au silence. Et l’objet principale de cet article est de faire, en effet, connaître ou de confirmer le rôle néfaste et sinistre joué par le président démocrate Roosevelt (« le monde des roses » à reparler ce « bas-allemand » platt-deutsch, d’ancienne zone glacière, que sont aussi le hollandais et le flamand) qui intima de taire à jamais ce que ce lieutenant-colonel avait vu et compris de la criminalité soviétique !
Cet homme, sorti en 1937 de l’école militaire de West Point, fils du colonel John H. Van Vliet Senior et arrière- petit-fils d’un général de l’Union, a pu être choisi par les Allemands pour non seulement son importance au sein du théâtre des opérations en Afrique du Nord, mais surtout aussi pour son travail de reconnaissance, à partir de septembre 1941 jusqu’en décembre, des bases possibles américaines à installer sur le sol britannique en prévision de l’entrée en guerre des U.S.A., ce qui était l’intention commune de Churchill et de Roosevelt. Il revint en Angleterre en 1942 comme instructeur. Son témoignage avait donc du poids. Cela démontre, une fois de plus, que l’entrée en guerre des USA était imminente, et que Pearl Harbour, sauf pour les naïfs, était un piège bien préparé, précédé du blocus pétrolier du Japon ! La chose est entendue et des militaires américains ont dénoncé cette manœuvre, l’on dirait aujourd’hui du deep State, de l’Etat profond « démocrate », opération indigne achevée par l’atomisation, faut-il le rappeler, de deux villes anciennement chrétiennes du Japon ! Un immense Katyn atomique !
Son dossier sur Katyn disparut pour toujours des archives du Département d’Etat. Mais au Archives Nationale U.S., près de Washington, sont des lettres codées de captivité entre lui et un autre officier nommé Stewart, traitant du massacre de Katyn !
Un document américain établit ce qui suit :
« Le 22 mai 1945, immédiatement à son arrivée à Washington D.C., après la fin de sa captivité, Van Vliet a remis un rapport au général Clayton Bissell indiquant ce qu’il avait trouvé. Bissell classa le rapport Top Secret afin de restreindre sa circulation, et plus tard le rapport disparut des archives. Quoique Bissell ait prétendu qu’il avait envoyé le rapport au Département d’Etat, ce dernier dit ne l’avoir jamais reçu, et l’armée n’avait pas de reçu à montrer qu’il l’avait eu. Appelé à rendre compte de ses activités devant une commission du Congrès enquêtant sur Katyn en février 1952, Bissell a prétendu qu’il ne faisait que mettre en œuvre l’esprit de la Conférence de Yalta. »
(original anglais in geni.com)
Ce rapport était, selon ce que croyait en 1950 et dit au génénal Biswell la secrétaire, Mrs Meeres qui le tapa en un seul exemplaire, marqué à la date du 22 mai 1945, mais a pu l’être le jour suivant, en donnant comme raison que plusieurs exemplaires auraient nécessité l’emploi de carbones qu’il aurait fallu détruire, et qu’elle se serait ainsi sali les mains etc… De toute façon le général affirma avoir lu le 24 mai 1945 le rapport entier du lieutenant-colonel.
La visite de Katyn par le lieutenant-colonel américain n’était pas solitaire, car il était accompagné d’un autre prisonnier U.S. Stewart, eux deux ne retournèrent de Katyn que 4 ou 5 mois plus tard, lisons-nous dans ce rapport américain mentionnant qu’ils avaient été approchés par une commission suisse qui les y avait retenus.
Un dernier exemple de la lâcheté obligée de ces militaires obéissant à des consignes politiques de taire tout crime soviétique, est bien rendu par le dialogue entre un enquêteur parlementaire des années 50 et deux généraux américains !
Mr. Flood (enquêteur membre du Congrès, député de Pennsylvanie) : « Si le général Holmes a dit ou dit ne pas se souvenir avoir reçu une lettre de vous ou le rapport Van Vliet ne direz vous pas que le général Holmes fait une fausse déclaration ? »
Général Biswell : « J’ai déjà répondu à cette question à l’audience » ; et le juge de l’assurer que c’est par précaution, pour l’entendre répéter et pour raison d’insistance. Ce à quoi, Biswell embarrassé redit son estime pour son collègue Et le Congressman Flood de l’acculer : « a-t-il raison ou tord ? » ; et de s’entendre répondre qu’il croit qu’il a raison de parler ainsi. L’armée était la grande non pas muette, mais menteuse, car d’avouer sous pression des parlementaires qu’il n’avait jamais remis de rapport Van Vliet sur Katyn !
(cf. Auditions devant le comité choisi pour mener une enquête sur les faits, l’évidence et les circonstances du massacre de la forêt de Katyn, etc., du mardi 22 au 26 août 1952, sur la toile books.google.fr)
Pierre Dortiguier
tous les jours les communistes se tapent la téte contre la cuvette des wc ,ils font repentence a leur politique de merde ,qui a fait plus de 100 millions de morts dans 113 ans ,cette secte faite de faux juifs ,de coquins ,de crapules ,de pederastes et de pedophiles remuez et vous trouvez thorez ,et le petit moquet un espiégle ami des boches lui aussi revait de vivre en urss il prefera étre la copine des cocos et des socialistes allemands ,helas entre pourris il avait mal choisis son camps les autres fanatiques du front populaire les socialistes roses aux gros pifs lui montrérent que paris et la rue solferino ce n’était pas moscou et les goulags ,petit cours d’histoire au cas j’ai du sang israelite et de la famille dans les camps de mathausen et dachau comme soldats pas comme salops aux culs rouges ,amen !
Haut niveau intellectuel. Style, grammaire, orthographe qui font honneur à la langue française. Bravo!
Mais, soyez sûr que tous les communistes ne « se tapent pas la tête contre la cuvette des WC ». Il en reste, plus que vous ne croyez…
Et je n’ai pas recours à un pseudonyme bidon, foireux ou cocoriqueste pour signer.
Roger Martin