« Après plus d’un an d’enquête et de casting […], ça y est on est partis pour quelques mois de tournage/montage exaltants. Merci à nos 3 témoins de me faire confiance et de m’ouvrir leur cœur », a écrit la présentatrice sur les réseaux sociaux. L’émission devrait être diffusée « dans quelques mois en prime Time sur M6 », a-t-elle précisé.
Comme le rappelle Puremédias, cette nouvelle émission n’est pas le seul projet en cours pour Karine Le Marchand. Une ambition intime, une émission d’entretiens avec cette fois des responsables politiques, devrait être de retour cette année.
Voilà que miss Le Marchand se lance dans la propagande transgenre. Une émission de commande plus qu’une vocation, à n’en pas douter. La révolution Arc-en-ciel en marche, une fois de plus. J’aimerais cependant revenir sur son oeuvre précédente, « l’amour est dans le près ».
En effet, alors que les campagnes françaises montrent des taux records de suicides, que les agriculteurs sont trainés à la mort économique et littérale par l’iniquité des normes de Bruxelles, Karine et M6 en ont fait en plus une source de mépris et de divertissement avec cette émission obscène pendant 14 saisons. Sous couvert de faire trouver l’amour à de pauvres hères, le résultat dans l’inconscient des masses – déjà assez abêties pour regarder ce genre d’ordure – aura été de confondre l’agriculteur et l’idiot du village. Une façon de cracher sur ce qui est noble, d’avilir ce qui fait France ; une continuation indirecte et plus pernicieuse du travail de Charlie Hebdo, dont une des missions a été et sera toujours de transformer en « boeuf » tout ce qui se veut et s’affirme français – le catholicisme, la patriotisme, le FN en son temps, et j’en passe.
La future émission de Karine Le Marchand se voudra à n’en pas douter éducative ; elle voudra nous informer du mode de vie et des péripéties du nec plus ultra des progressismes : être un mutant, un travelo déviant charcuté pour aller à l’encontre de la nature même via chirurgie – le tout avec l’accord d’un Hyppocrate bien compris.
Pourtant, certains éléments biographiques de la vie de Karine Le Marchand sont nettement plus intéressants d’un point de vue sociologique. Métisse d’une mère d’origine Lorraine et d’un père natif du Burundi, son vrai nom est Mfayokurera. Ce dernier quittera le foyer alors que la petite Karine n’a qu’un un et demi. Ce n’est que beaucoup plus tard, à l’occasion du tournage pour TV5 Monde d’un reportage au Burundi, qu’elle reprend contact avec son père, ancien directeur de la télévision nationale burundaise. Son père meurt du sida deux ans plus tard. Tout l’Afrique dans cet homme, un authentique concentré d’un certain exotisme.
De 2007 à 2013, elle est en couple avec l’ancien footballeur et désormais pseudo intellectuel antiblanc Lilian Thuram. Le 4 septembre 2013, elle dépose une plainte contre ce dernier pour violence conjugale. Là encore, les stéréotypes ont la peau dure…
Tout n’est pas noir (sic) cependant, puisque Karine est la mère d’une fille prénommée Alya – en référence aux origines juives-hongroises du père – depuis 2002.
Bref, arrêtons là. Nous sommes à Jeune Nation, pas à Voici.
Le meilleur moyen de vous protéger, vous et vos proches, de ce genre de parasitage moral et mental est le même que nous préconisons pour échapper à la corona-folie : éteignez votre télé, à jamais.
Source : ouest-france.fr