26 €
J’ai le plaisir de vous présenter la réédition du deuxième volet de la trilogie de Saint-Loup sur les combattants français du front de l’Est.
Après les Volontaires qui narre les aventures de la LVF, Marc Augier (connu après guerre sous le pseudonyme de Saint-Loup), s’embarque au sein de la 33e division SS – la célèbre division Charlemagne de la Waffen-SS, composée essentiellement de Français, soldats d’élite, tous volontaires – pour défendre la grande Europe du péril rouge.
De Belgard à Kolberg (villes « renommées » après leur annexion en 45 par les vainqueurs russes et polonais) au repli en Allemagne à la fin de la guerre, pour défendre Hildesheim puis Berlin aventure longuement racontée à la fin du livre.
Marc Augier, ancien pionnier des auberges de jeunesse (socialiste) devenu journaliste national-socialiste – directeur du Combattant Européen – est devenu reporter de guerre à partir de la création de la LVF en 1941 et nous a laissé des pages magnifique sur cette héroïque épopée.
Salut à la victoire !
Disponible sur Arts Enracinés
Le 20 avril 1991, lors de la réunion organisée par LES AMIS DE ST LOUP, à la Maison des Mines de Paris, pour la présentation du livre « Rencontres avec St Loup » (dont je vous recommande la lecture), les milices juives ont attaqué avec une extrême violence, blessant plusieurs personnes, dont notamment le militant nationaliste LEON GAUTHIER, cofondateur du Front National et journaliste à Rivarol…
Ayant personnellement contribué à la rédaction de ce livre, j’étais par ailleurs en charge du Service d’Ordre. Mais l’organisateur de la rencontre, l’historien Philippe C. , avait commis l’erreur de convoquer ce Service d’Ordre à l’heure d’ouverture au public alors qu’il eut fallu être présents lors de l’ouverture de la salle.
De sorte que, lorsque nous nous sommes présentés, les milices juives avaient déjà frappé.
Quelle a été la réaction policière ? Ils ont prétendu, au prétexte d’assurer la sécurité, nous interdire l’entrée de notre propre salle de réunion !
De sorte qu’à mon grand regret, j’ai dû donner l’ordre de passer en force pour assurer la suite de la rencontre des Amis de St Loup.
A lire aussi le livre de Léon Gauthier « Siegfried et le Bérichon »…
J’ai du mal à comprendre. Si ce monsieur aimait tant l’Allemagne, pourquoi n’y est il pas resté après la guerre ?