Une étude de 2023, évaluée par des pairs et publiée dans la revue scientifique Nature, a apporté des éclaircissements importants sur la technologie des vaccins à ARNm. Et leurs risques…
ARNm, les risques
L’étude de Nature détaille un effet secondaire spécifique lié à l’utilisation de la 1-méthylpseudo-uridine dans les vaccins à ARNm.
Cet ingrédient semble perturber la traduction de l’ARNm, conduisant à des erreurs de traduction dans environ un tiers des cas. Ces erreurs peuvent entraîner la production de protéines non prévues, dont la nature et les effets potentiels restent incertains. Cette production aléatoire de protéines aléatoires se manifeste au niveau cellulaire, c’est-à-dire, probablement chez n’importe quelle personne injectée.
Cette étude soulève des questions quant à l’impact potentiel de ces variations protéiques sur la santé humaine, un aspect qui n’a pas été pleinement exploré dans la recherche clinique, contrairement à ce que la firme, les politiques, les experts chargés de parler en leur nom ont affirmé pendant trois ans, en parlant de « vaccins » surs et efficaces, les mieux testés et les mieux surveillés de tous les vaccins de l’histoire de l’humanité…
Les chercheurs suggèrent la nécessité de modifier la conception des séquences d’ARNm pour minimiser ces incidents de décalage des ribosomes dans les futures applications de la technologie à ARNm.
Autrement dit, une fois réglé ce « petit » problème ,découvert « un peu » tardivement (sic !), de production aléatoire de protéines aléatoires, la technologie à ARNm devrait ouvrir un avenir radieux à la santé humaine… Sauf, bien entendu, pour les millions de personnes déjà injectées qui vivront dorénavant avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête, ne sachant pas s’ils seront touchés, et s’ils le sont, quelles seront les conséquences de cette production aléatoire de protéines aléatoires.
Mais comme on a donné le prix Nobel aux concepteurs de la technologie vaccinale à ARNm, forcément, tout va bien.
Faire taire les lanceurs d’alerte
Signalons aussi qu’un nouveau projet de loi « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » a été adopté par le gouvernement, en Conseil des ministres, le 15 novembre dernier. Et son article 4 prévoit de créer un nouveau délit dans le Code pénal contre :
- Ceux qui incitent les gens à s’abstenir de suivre certains traitements médicaux officiels (comme les vaccins anti-Covid ou les médicaments anticholestérol) ;
- Ceux qui promeuvent des traitements alternatifs comportant un risque pour la santé (comme le jeûne ou le régime cétogène).
L’exposé des motifs du gouvernement indique :
« ll apparaît aujourd’hui essentiel de mieux protéger la santé publique et de sanctionner les pratiques les plus dangereuses pour la santé des personnes en portant une attention particulière aux pratiques en matière de bien-être, de soins et d’alimentation. L’article 4 du projet de loi y contribuera fortement en créant un nouveau délit de provocation à l’abandon ou l’abstention de soins présentés (…) comme bénéfiques pour leur santé alors qu’il est manifeste que cet abandon ou abstention est susceptible d’entraîner pour elles des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »
Contre ceux, par exemple, qui alertent sur des « vaccinations » à ARNm dont tous les effets ne sont pas connus à l’avance…
Ou contre Thierry Casasnovas, bête noire de Big Pharma, explicitement nommé dans un texte du gouvernement qui accompagne le projet de loi :
« L’utilisation accrue d’Internet et des réseaux sociaux depuis les périodes de confinement a accompagné l’émergence de nouvelles formes de spiritualité, le développement de ‘coachs’ dans tous les domaines de la vie professionnelle, familiale ou personnelle, mais aussi une offre croissante de pratiques de ‘bien-être’, souvent présentées — explicitement ou non — comme alternatives à la médecine ‘conventionnelle’. A titre d’exemple, la chaîne Youtube du ‘crudivoriste’ Thierry Casanovas a réuni plus de 500 000 ‘followers’, pour la promotion de ‘thérapies alternatives’ (stages de jeûnes, jus de légumes etc.) même pour des pathologies lourdes (ex. cancers) »
Pourra-t-on encore vous informer des risques relatifs à ce qui s’est apparenté à de véritables « essais cliniques grandeur nature » (comme ceux fortement encouragés par les promoteurs des « vaccins » à ARNm contre le Covid-1984), une fois le projet de loi adopté ? Rien n’est moins sûr.
La tyrannie sanitaire et empoisonneuse n’a pas lâché prise. Elle est toujours en marche. Le professeur Raoult s’exprimait et faisait un bilan sur ces sujets avant-hier :
Le vaccin migratoire me paraît plus dangereux pour notre ADN et notre ARN d’un facteur de plusieurs millions.
De plus, la santé de ceux qui se sont fait vacciner contre une menace imaginaire ne me préoccupe pas beaucoup, ce sont en général les mêmes qui sont pour l’immigration et le métissage.
Bonjour à tous !
En particulier aux malades un peu plus intelligents que la moyenne et qui multiplieront leur chances de survie… Mais de survie « ILLEGALE », titre d’un livre que j’ai publié sur le sujet aux éditions Trédaniel : « Enquête sur un survivant illégal ». Livré signé de mon épouse de l’époque, Sophie Chervet.
Autre « survivant illégal » sur lequel j’ai enquêté : François Mitterrand, qui, bien que condamné alors par le corps médical qui ne lui accordait que quelques mois de survie, est allé jusqu’à la fin de son mandat, grâce aux molécules du docteur es sciences en biologie moléculaire BELJANSKI.
Que croyez-vous qu’il advint de ce Beljanski ?
A peine Mitterrand étai-il décédé qu’on lui envoyait rien de moins que le GIGN. Il était arrêté, menotté, et ses laboratoires étaient détruits !
Ce Beljanski était pourtant un grand scientifique membre du CNRS et chercheur à l’Institut Pasteur. Auteur de 135 communications scientifiques publiées dans les plus sérieuses revues médicales. Ayant collaboré aux USA avec un Prix Nobel. Et dont les qualités furent reconnues par un autre Prix Nobel, le Professeur Montagnier, qui le site dans l’un des ses livres.
Oui mais voilà : il commettait le crime inexpiable… Ses molécules qui permettaient de multiplier les chances de survie des cancéreux étaient NATURELLES, donc pas brevetables, contrairement à la sacro-sainte molécule chimique de synthèse qui permet à l’industrie de la chimio-pharmacie d’engranger des milliards.
Après la saisie de ses fichiers, les gendarmeries furent envoyées chez les malades pour confisquer les molécules naturelles qui les maintenaient en vie. A la suite de quoi, j’ai eu l’occasion de photographier pour le journal « Minute », les manifestations de milliers de malades dans les avenues parisiennes, mais aussi à Lyon, réclamant les molécules qui leur sauvaient la vie…
Mais c’était aussi l’époque où, au cours de mon enquête sur le sujet, je rencontrai un ancien de l’OAS d’Alger, devenu directeur d’un Labo Pharmaceutique, qui me retirait toute illusion sur la hiérarchie médicale :
» LES MANDARINS DE LA MEDECINE? NOUS, LABORATOIRES, NOUS NOUS LES PAYONS COMME DES PUTES ! »
Si tu me lis… Jean-Marcel… tu te souviens ?