Une étude lyonnaise, publiée dans une revue scientifique le 2 janvier, estime que « près de 17 000 morts au début de la pandémie de Covid-19 sont liés au traitement par l’hydroxychloroquine, promu par le professeur Didier Raoult », selon France 3 Régions (francetvinfo.fr)
Cette étude, « Biomedecine et Pharmacotherapy », d’une équipe de « chercheurs » de Lyon menée « sous la direction du Pr Jean-Christophe Lega, professeur de thérapeutique aux Hospices Civils », a étudié la surmortalité chez les patients traités à l’hydroxychloroquine en France, aux Etats-Unis, en Belgique, en Italie, en Espagne et en Turquie, en se basant sur le nombre de patients Covid hospitalisés, leur taux de mortalité et le taux de prescription de l’hydroxychloroquine, entre mars et juillet 2020.
Puis les « chercheurs » ont extrapolé les chiffres pour obtenir cette estimation de près de 17.000 décès qui se répartissent très inégalement : 95 morts en Turquie, 199 en France, 240 en Belgique, 1 822 en Italie, 1 895 en Espagne et 12 739 aux Etats-Unis.
Les chercheurs en concluent que « les patients souffrant d’un Covid et qui reçoivent ce médicament ont plus de risque de mourir que ceux qui ne le reçoivent pas », tout en soulignant qu’il s’agit « d’une estimation grossière, dans le sens ou elle ne concerne que quelques pays pendant une courte période et que le nombre total de morts est probablement bien plus grand »
Dans un tweet cinglant du 14 janvier, Didier Raoult commente avec sa verve et sa pugnacité habituelle cette étude évidemment largement reprise par la meute médiatique toujours à l’affut de complaire au pouvoir et à « Big Pharma ». Et chacun en prend pour son grade :
« C’est nous les gentils docteurs !
Tous les livres de référence en français et en anglais depuis 20 ans détaillent mon protocole de traitement utilisant l’hydroxychloroquine à 600 mg/ jour pendant un an pour la maladie de Whipple et la fièvre Q.
J’ai réalisé avec ce traitement plus de 10000 dosages d’hydroxychloroquine qui sont de 1(+/-) 0,2 microgramme par millilitre de sang après un mois de traitement et restent stables pendant tout le traitement.
J’ai traité et fait traiter dans le monde des milliers de patients à ces doses sans accident cardiaque.
Les rhumatologues ont rapporté une série d’un million de patients qu’ils ont traités sans accident cardiaque par rapport à un groupe contrôle de 300000 personnes (Lancet).
Pourquoi les apprentis sorciers anglais dans leur étude recovery, (qui sert de référence), ont donné 4 fois cette dose qui est toxique (comme l’a écrit notre passager ministre de la sante dans sa thèse) et inclus des patients sans confirmation diagnostique (sans PCR) ?
Ceci témoigne d’un degré d’ignorance et de négligence que les imbéciles ne voient ni ne contestent pour les utiliser. C’est aussi futile que Veran ministre s’affolant de la mort d’un américain après absorption du produit de désinfection de son aquarium comme preuve du danger de la chloroquine. C’est du même niveau que l’annonce de la FDA disant « si vous n’êtes pas une vache ou un cheval, ne prenez pas d’ivermectine ! »
En France, au contraire, on a donné dans l’essai discovery des doses non thérapeutiques d’hydroxycholoroquine de 400 mg/jour, ce qui est le témoin du déclin de l’INSERM, depuis confirmé (sans sanction) par la cour des comptes. Ce pays est ridicule !
Que le ministère et la presse ne s’intéressent qu’à des publications qu’ils ne comprennent pas, écrites par des incompétents n’a qu’un sens :
Celui d’une propagande continue pour justifier des décisions fantaisistes et la distribution de vaccins dont on n’avait vérifié ni l’efficacité, ni l’absence de danger et dont la seule raison d’être était de prétendre qu’il n’y avait pas d’alternative.
Aucune communication sur les études belges, espagnoles, iraniennes, faites par des gens qui ont soigné leurs malades avec les mêmes résultats que nous à l’IHU, et qui n’ont pas tripatouillé des études approximatives choisies délibérément parmi les plus mauvaises.
Les esprits sains regarderont plutôt le site https://c19early.org/ où 2600 études covid sont analysées. C’est limpide et les résultats sont les mêmes que les nôtres. »
Didier Raoult, contraint de « prendre sa retraite » de professeur des universités-praticien hospitalier en août 2021, est depuis l’objet de diverses poursuites par lesquelles on tente de salir sa réputation professionnelle pour discréditer ses éclairages sur les coulisses de la « pandémie » : les liens et intérêts entre les gouvernements, Big Pharma et l’OMS, son protocole thérapeutique contre le Covid-19.
Parmi ces accusations, celle d’avoir conduit des recherches dangereuses sur des personnes a déjà tourné court : un rapport d’inspection de l’ANSM de juin 2022 a déjà conclu qu’il n’y avait pas d’éléments objectivant la mise en œuvre de RIPH (recherche impliquant la personne humaine) non autorisées.
Peu effrayé, Didier Raoult continue son œuvre sur sa propre chaine Youtube, « C’est ça la science » et vient de publier un ouvrage consacré aux antibiotiques : « Ni angéliques, ni diaboliques, les antibiotiques ».
L’ouvrage démonte les mensonges à l’égard des antibiotiques, financièrement motivés, et les magouilles d’une des plus importantes mafias légalisées : la dangereuse industrie pharmaceutique et ses filiales en matière agricole et alimentaire…
Un ancien étudiant en médecine de l’Université d’Alger, Jean-Marcel Z… adjoint de Jean-Jacques Susini, esprit extrêmement brillant, qui a continué ses études de médecine en prison puis après sa libération, en 1965, devenu par la suite PDG d’un grand laboratoire pharmaceutique, m’a fait un jour la confidence suivante :
« LES MANDARINS DE LA MEDECINE ? L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE SE LES PAYE COMME DES PUTES ! »
Auteur de pas mal d’articles sur le sujet et de quelques livres, je tiens à témoigner une fois de plus que la corruption, du plus petit médecin prescripteur aux mandarins de la médecine puis jusqu’aux ministres, est la méthode la plus couramment employée par cette industrie.
J’avais été notamment, en 1993, à l’époque où il était Ministre de la Santé, renseigné par l’une des collaboratrices de Douste-Blazy, qui était aussi Maire de Lourdes. Cette femme était écoeurée par la niveau de corruption de ce digne représentant du gouvernement Balladur.
Corruption par les labos pharmaceutiques, bien entendu…