Le berceau de l’Europe secoue les chaînes ottomanes
La guerre d’indépendance grecque (1821-1829), ou Révolution grecque (Ελληνική Επανάσταση του 1821), est le conflit durant lequel les Grecs, finalement soutenus par les grandes puissances (France, Royaume-Uni, Russie), réussirent à obtenir leur indépendance de l’Empire ottoman.
Le 25 mars 1821, les Grecs, définis d’abord en tant que chrétiens orthodoxes, se révoltèrent face à la domination de l’Empire ottoman. Cette révolte réussit, et l’indépendance de fait fut proclamée lors de l’Assemblée nationale d’Épidaure le 1er janvier 1822. L’opinion publique européenne était assez favorable au mouvement, à l’image des philhellènes.
Cependant, aucun gouvernement ne bougea à cause du poids politique et diplomatique de la Sainte-Alliance, et particulièrement de l’Autriche de Metternich, partisan acharné de l’ordre, de l’équilibre et du principe de légitimité instauré par le congrès de Vienne.
Des Grecs vivant hors de l’Empire ottoman, comme des habitants des Îles Ioniennes tels que Ioánnis Kapodístrias, et des membres de l’élite grecque de Constantinople et des Principautés danubiennes, les Phanariotes, apportèrent dès le début leur aide aux insurgés.
Pendant deux ans, les Grecs multiplièrent les victoires.
Cependant, ils commencèrent très vite à se déchirer, divisés entre « politiques » et « militaires ». La Sublime Porte appela en 1824 à l’aide son puissant vassal égyptien Méhémet Ali.
Pour les Grecs, les défaites et les surtout les massacres se succédèrent.
Cependant, les Russes souhaitaient de plus en plus ardemment intervenir, par solidarité orthodoxe mais aussi parce qu’ils avaient leur propre ordre du jour géostratégique.
Les Britanniques, quant à eux, désiraient au départ limiter l’influence russe dans la région mais finirent par s’allier avec la Russie.
Une expédition navale de démonstration fut suggérée lors du traité de Londres de 1827.
Une flotte conjointe russe, française et britannique rencontra et détruisit la flotte turco-égyptienne lors de la bataille de Navarin
La France intervint par l’expédition française en Morée (Péloponnèse) en 1828.
La Russie déclara la guerre aux Ottomans la même année.
Sa victoire fut entérinée par le traité d’Andrinople, en 1829, qui augmentait son influence régionale.
Ces interventions européennes précipitèrent la création de l’État grec. La conférence de Londres (1830), où se réunirent des représentants britanniques, français et russes, permit en effet l’affirmation de l’indépendance grecque que la Prusse et l’Autriche autorisèrent. La France, la Russie et le Royaume-Uni gardèrent ensuite une notable influence sur le jeune royaume.
Voilà un très bon article, dont l’intérêt est de nous rappeler que la Grèce est restée en première ligne face à une Turquie toujours aussi arrogante, menaçante et conquérante.
Les Français ne pensent pas assez à la Grèce.
Quand il y a eu le problème de la faillite de la Grèce, il est très dommage que des Français n’aient pris la parole que pour critiquer les Grecs et la gabegie financière qui régnait dans ce pays.
Outre le fait qu’on aurait pu en dire autant de la France, ce n’est pas cela l’imporant, et là n’était pas le problème.
Le soulèvement des Grecs de l’île de Chios puis son populicide commis par les Ottomans fut le réel point de départ du chemin vers l’indépendance grecque. Certains des miens en firent partis, et il ne survécu alors qu’un enfant blond.
Autrefois les Grecs se partageaient l’actuelle Turquie avec les Arméniens.
Nos divisions et des renégats, des vendus, des traîtres au plus haut niveau ont favorisé l’arrivée et la domination des Barbares, jusqu’aux conversions forcées…Et voilà que la Turquie, ethniquement Grecque et caucasienne par sa population encore, ne se souvient ni de son passé ni de ses anciens. Au contraire ils haïssent les uns et les autres au point d’avoir commis par les pires populicides contre leurs prochains. Et ils continuent !
L’Islam est une monstrueuse prison, une usine à mensonges et à ignominie. Mais il ne prend que la place que nous lui laissons. Qui s’éloigne du Christ se rapproche du diable ; on ne fait pas la guerre à son prochain au bénéfice des erreurs et de théologies criminels. Il y a aujourd’hui 8 Turques pour 10 millions de Grecs et 3 millions d’Arméniens en Arménie. Au moment de la chute de Constantinople les rapports étaient pourtant inversés.
A plusieurs reprises la France aurait pû en finir avec les Mahomettants qu’elle a toujours dominé, elle aura au moins protégé les Chrétiens d’Orient.
En revanche la République anti française a orchestré l’islamisation forcée des dernières tribus kabyles chrétiennes… Comme elle favorise la conversion de sa propre population à cette monstrueuse et criminelle croyance.
Il n’y a aucune association sérieuse à envisager avec des croyances anti Christ quelles soient talmudo-coraniques, republicano-païenne, nazi-coco.
Seulement voilà il n’y a plus que 2% des Français qui pratiquent le catholicisme, et parfois même de travers à cause de leurs évêques, qui après avoir trahi le Christ, trahissent les Français, depuis Vatican II
On deplorera aussi l’entrée en guerre de Mussolini contre les Grecs qui ne lui avaient rien demandé. Il s’est pris une raclée bien mérité.