Le 9 septembre 2025, le Président de la République Emmanuel Macron a nommé Premier ministre Sébastien Lecornu : c’est son 7ème Premier ministre en 8 ans, qui doit former le 8ème gouvernement de la présidence Macron (soit exactement un gouvernement par an !). Comme ses 4 prédécesseurs immédiats, il ne dispose d’aucune majorité à l’Assemblée nationale, qui est déjà la 3ème de la présidence Macron (3ème en 8 ans, pour une chambre censée durer 5 ans…), sachant que ses 2 prédécesseurs ont été renversés par des motions de censure de l’Assemblée. Inutile d’en dire plus : la crise institutionnelle est évidente aux yeux de tous.
Évidemment, la crise des institutions n’est qu’une conséquence de la crise globale que connaît la France. Elle est néanmoins bel et bien présente, et il faut s’interroger sur la manière de la résoudre.
La gauche propose comme solution de donner le pouvoir à une Assemblée nationale élue à la proportionnelle : il ne s’agit là que d’un retour à peine déguisé à la IVème République qui, avec 25 gouvernements en 12 ans, ferait passer la présidence Macron pour un modèle de stabilité…
Un régime dont le pouvoir repose sur une assemblée ne peut pas être stable : il faut un chef. La Vème République avait cette prétention de nous donner un « monarque républicain » au-dessus des partis : ce ne fut en réalité jamais le cas, le jeu des partis s’imposant de toute façon à cause de la responsabilité du gouvernement devant le parlement. C’est celle-ci qu’il faut éliminer, comme dans la constitution de 1852 et dans le projet du maréchal Pétain de 1943. Les ministres ne doivent être responsables que devant le Président de la République, nommés et révoqués par lui, et ainsi ils seront de nouveau des grands commis de l’État, comme sous l’Ancien Régime, et non plus les instruments des partis. Le Président de la République, pour être libéré des contingences électorales, doit voir son mandat s’allonger à dix ans renouvelables, et pouvoir ainsi réellement gouverner sur le long terme, et non plus avec comme devise « après moi, le déluge ». Si les assemblées doivent être conservées comme lien entre les citoyens et l’État central et pour leur indispensable travail législatif, le pouvoir exécutif n’en sera pas moins à l’abri des remous parlementaires.
Mais les institutions ne sont bien sûr que des outils, et, pouvant faire le bien dans de bonnes mains, elles peuvent tout aussi bien permettre le mal dans de mauvaises mains : un Macron élu pour dix ans et avec des ministres responsables devant lui seul sera encore plus nocif car il aura les mains libres. Il ne sert à rien de changer les institutions si l’on ne change pas les principes qui les guident et les hommes qui les dirigent.
La Vème République affirme dès son préambule son attachement à trois textes ayant valeur constitutionnelle : la déclaration des droits de l’homme de 1789, celle de 1946 et la charte de l’environnement de 2004. Son article 1er affirme : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée. La loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales. »
Au Mouvement National-Catholique, nous proposons que la constitution s’appuie plutôt sur les principes suivants : « Le préambule rappellera que la France est un pays européen de race blanche et de religion catholique ; il affirmera la primauté du bien commun sur les intérêts particuliers, la supériorité de la loi naturelle (Décalogue) sur le droit positif, le caractère sacré de la vie (de la conception à la mort naturelle), du mariage (union d’un homme et d’une femme en vue de fonder une famille) et de la famille (cellule de base de la société). » (extrait du programme du MNC)
C’est à partir de ces principes, qui furent ceux de notre civilisation européenne et chrétienne, ceux sur lesquels fut bâti notre pays, que l’on pourra régénérer la France : mais il faudra pour cela rejeter la tutelle du veau d’or. Le matérialisme consumériste dans lequel nous sommes vautrés depuis la victoire des Alliés en 1945 doit être balayé par une véritable « révolution des âmes », comme disait Léon Degrelle : les institutions, l’État, la société tout entière, tout n’existe que par les hommes qui les animent. Il faut non seulement changer les hommes dans le sens de « sortir les sortants », car ceux qui sont actuellement au pouvoir ne sont que des marionnettes cyniques aux mains de financiers cosmopolites et de forces occultes, mais il faut aussi changer les hommes intérieurement, qu’ils abandonnent leur individualisme pour se dévouer au service du bien commun.
Donc oui à la démission de Macron, l’employé des Rothschild, oui à la dissolution de cette assemblée ingouvernable, oui à la fin de la Vème République, mais pour un véritable changement de régime : une véritable Révolution nationale, sociale, spirituelle menant à l’instauration d’un ordre nouveau, sain, rétablissant la primauté du bien commun, et donc, tôt ou tard, chrétien.
Quentin Douté
Secrétaire général du Mouvement National-Catholique
Source : https://www.national-catholicisme.fr/la-ve-republique-agonise-changeons-de-regime/


































Jeune Nation TV







C’est un traitement de choc qu’il va falloir mettre en oeuvre pour régénérer les races blanches et çà ne passera pas en proposant une Constitution dont les gens n’en ont rien à foutre, comme disait JMLP, ce qu’il manque dans ce pays c’est « Une usine à couilles! »
Tout n’est que trop clair. Il faut en finir avec la République en se donnant les moyens de l’abroger à jamais, et la remplacer par une société intégralement et définitivement fondée sur l’Ordre Naturel, c’est-à-dire consistant en 1) un peuple génétiquement inaltérable, 2) avec un chef, 3) qui sera un bon chef parce qu’il sera animé des bonnes idées et du bon esprit, 4) et une terre, la patrie, inaliénable elle aussi.
C’est ce qui, pour faire simple et faire consensus, pourrait aussi se résumer par la formule « ein Volk, ein Reich, ein Führer ».
LES CLOPORTES SONT TOUJOURS LA!
Monsieur de Rozoi écrit ceci dans la Gazette de Paris le 9 août 1792 (il le paiera de sa vie quelques heures plus tard (source Jacques Ploncard d’Assac, 1792, Les dernières marches du trône; éditions Dominique Martin Morin, 1986, p.318.)
Le Parti des « Honnêtes gens ».
« Au lieu de sortir de ces foyers pour opposer une fois enfin le courage des lions à la férocité des loups qui l’entourent, la gent moutonnière broute au jour le jour , n’a pas une seule idée de la véritable grandeur, et s’il le faut, périra sous les fers des assassins, encore occupée d’avoir étudié ses devoirs dans les carrefours, en lisant des placards infâmes et dans les spectacles , où la bourgeoisie et la femme de l’ancienne cour viennent encore étaler un luxe misérable , en se disant qu’on sera massacré . Vile populace de toutes les classes, ils te connaissent bien ces Brissot, ces Condorcet; Pétion, qui pour te t’enchainer et te courber sous le joug qu’ils t’imposent, n’arment pas plus de sept à huit mille hommes , contre une cité dont la population est de 6 à 700 000 individus…Ramas d’êtres abâtardis au point que les Brissot, les d’Orléans, les Santerre méprisent assez pour te laisser vivre encore, tu dors sur la foi de ta réputation d’être le plus lâche des espèces végétant sur le globe. » Et, pendant ce temps, le roi n’ose goûter le sommeil, tant il craint que d’un moment à l’autre les Bandes Noires ne pénètrent jusque dans son palais. Quelques heures plus tard, ce sera les massacres des Tuileries…
Question: Voyez vous une diffèrence entre la « vile populace » de 1792 et celle de 2025?
En 1792 la « vile populace » crevait de faim,des guerres, des dettes et des impôts à intervales réguliers depuis Louis 14 (souverain que au passage vous glorifiez tous dans le milieu national…)
En 2025 les choses sont différentes 6 personnes sur 10 vivent de la redistribution… donc c est un peuple de prostitués.
COMPARAISON N EST PAS RAISON…
Une révolution est une évolution raté.
Quand un système diffectionnel refuse des réformes structurelles forcément il crève.
Pourquoi vouloir donc rétablir une monarchie à l ancienne? Le risque: Une monarchie libérale de pacotille à l anglaise ou une monarchie clericale et bougeoise genre Franco ou finalement les libéraux mettent le pays en coupe réglée contre quelques miettes au prolétariat.
Franchement c’est une impasse tout cela…Je veux un régime national socialiste. Il est l application du droit naturel et pas une utopie eschatologique dont le monde blanc aurait besoin. La plupart des personnes pondant ce genre d article vivent en vase clos …sur le papier c est bien beau ce qu il raconte… mais gentil ne fait pas tout… je veux des actes pas des paroles…Un chef dur et féroce mais juste avec une grande rigueur morale.
Il y a deux mondes nationalistes totalement încompatibles : les bigots et les NS.
Pour moi c est très clair.
Rien à foutre de ton national-socialisme et les derniers bandéristes seront bientôt éliminés…
Ne t inquiètes pas bientôt Pierre Édouard Sterin prendra la tête du camp national avec derrière lui toute la mafia catholique et les gens comme moi auront droit à la nuit des longs couteaux.
Vous avez gagné, j en suis sûr.
S’allier avec vous offrira une porte de sortie à beaucoup…entre bourgeois on s arrange toujours au delà des étiquettes et des apparences.
J imagine déjà Bollore Goldsmith et Pierre Édouard Sterin parlant de l ancien testament devant notre dame avant d aller sur un yacht .
Évidemment, j appartiendrais encore le jour venu à cette classe sociale de cocus… pas d inquiétude je ne me fais aucune illusion.
Vous pouvez vu l orientation du mouvement national actuel sabrer sans crainte le champagne.
Mais faites attention j ai une formation militaire et je ne serais pas le seul mécontent !
H.H. 14/88
Je me fous comme d’une guigne de ces « cathos tradis », un ramassis de ringards qui vivent dans la contradiction et pourtant, ils sont sensés vivre dans la Vérité…Je ne parle pas ici des clercs peu clairs, mais de saints comme Padre Pio qui peuvent par leur exemple provoquer un élan vers le National-Socialisme définit par Barres dans la Libre Parole, lorsqu’il se présente à la députation de Nancy en 1901 comme candidat « socialiste-nationaliste » déclarant à des auditeurs (Texte repris par Jacques Ploncard d’Assac, Manifeste Nationaliste chez Plon, p.129, 1972)
« Nationalisme engendre nécessairement socialisme. Nous définissons le socialisme: l’amélioration matérielle et morale de la classe la plus pauvre. »
Sait-on que c’est Barrès encore qui écrit dans Scènes et Doctrines du Nationalisme: « Je ne crains jamais d’insister sur l’union de l’idée socialiste et de l’idée nationaliste », et demande qu’on établisse fortement « la puissance convergente des deux principes. »
Sait-on que c’est Charles Maurras qui déclare » qu’un socialisme libéré de l’élément démocratique et cosmopolite, peut aller au nationalisme comme un gant bien fait à une belle main. »?
II s’agit ici non pas d’un socialisme marxiste mais corporatif.
Voila l’affaire revenir aux corporations (sans intervention de l’état, l’encyclique « Quadragesimo anno »
de Pie XI, publiée le 15 mai 1931 , 40 ans après Rerum Novarum dénonce en partie ce fait)
Je n’ai aucun grief contre vous et je comprends votre position, personnellement je n’ai pas de formation militaire mais sachez que je viens de l’ultra-gauche (sympathisant de l’Internationale Situationniste de Guy Debord et de Raoul Vaneigem) et j’ai viré de bord (c’est le cas de le dire) car je me suis rendu compte qu’en définitive, il n’y a pas d’opposition entre jeunes et vieux par exemple mais une lutte entre la Vérité et l’erreur et que l’erreur ne se trouve pas dans nos traditions mais dans le « progrès » qui n’est pas une évolution (de la matière a sa forme) mais une révolution qui fait table rase du passé. Si, il n’y avait pas eu Grignon de Monfort pour réévangéliser la Vendée, il n’il aurait pas eu de guerre de Vendée.
Il nous faudrait cinq curés d’Ars et un Arbitre, roi ou dictateur qui tranche sur les décisions prises par les corps intermédiaires.
Allez Kamaraden, commençons à nous changer nous-mêmes et ensuite assemblos nos talents pour constituer un beau corps organique, cela est possible.