Manuel Valls présentait hier ses vœux à la presse du système. Abandonnant pour quelques heures le libéral-socialisme, il a nettement gauchisé son discours, puisant dans les pires dogmes du marxisme culturel.
« Ces derniers jours ont souligné beaucoup des maux qui rongent notre pays ou des défis que nous avons à relever. À cela, il faut ajouter toutes les fractures, les tensions qui couvent depuis trop longtemps et dont on parle peu […] la relégation péri-urbaine, les ghettos, ce que j’évoquais en 2005 déjà, un apartheid territorial, social, ethnique, qui s’est imposé à notre pays »
a déclaré hier l’agent d’Israël en France Manuel Valls. Il a énoncé les pires poncifs de l’extrême gauche antifrançaise, laxiste, pro-immigrée pour justifier à demi-mot tous les crimes commis contre l’Europe par de prétendus « déshérités ». Il a plaint les colons d’être plongés dans la « misère sociale » à laquelle « s’additionnent les discriminations quotidiennes parce que l’on n’a pas le bon nom de famille, la bonne couleur de peau, ou bien parce que l’on est une femme ».
Se voilant la face sur ce sujet-là aussi, il a nié l’existence du combat mené par les étrangers contre la France et s’incarnant aujourd’hui identitairement dans un islamisme conquérant ; il a excusé les crimes des étrangers par la « peur collective face au chômage de masse, au chômage de longue durée, au chômage des jeunes, face à la vie trop chère, au risque de déclin, à l’angoisse du déclassement individuel qui pousse au repli sur soi, à l’angoisse des parents pour l’avenir de leurs enfants. »
C’est toute la « culture de l’excuse » de la gauche qui a été réhabilitée en quelques phrases, elle qui a fait tant de mal et que nous avions pu croire disparue.
S’il s’est très longuement attardé sur les peines des colons, à aucun moment Manuel Valls n’a évoqué les véritables causes de la situation : l’invasion du pays, la haine de la France, des Blancs, des Français distillée par le système depuis 70 ans par les intellectuels juifs, par les ennemis de la France de toute sorte à commencer par la presse de caniveau comme Charlie hebdo, ayant fait du Français moyen la cible d’attaques quasi monomaniaques, les criminelles politiques de repentance de la République qui laissent accroire à des millions d’étrangers manipulés que les Français leur doivent tout.
À aucun moment l’étranger n’a évoqué les Français, ce qu’ils ressentent face à l’invasion, face à l’islamisation, face aux attaques généralisées et quotidiennes du système, de sa presse, de sa police, leurs attentes ni leur besoin. À aucun moment il ne s’est préoccupé de la situation des jeunes Français qui, pour la première depuis plusieurs générations, connaissent des situations économique, professionnelle, familiale, pire que celles de leurs parents, justement du fait du système et de l’invasion.
Comme depuis de nombreux mois, Manuel Valls et son gouvernement font comme si les Français n’existaient pas, comme si, entre l’oligarchie financière et intellectuelle et les « pauvres » des banlieues, les Français qui travaillent, qui payent leurs impôts, qui ne posent pas de bombes, qui n’agressent pas leurs concitoyens, qui ne diffusent pas des messages de haine à longueur de journaux provoquant des guerres à l’autre bout de la planète, n’existaient pas.
Il s’est d’ailleurs intéressé à ce dernier sujet, les violences provoquées dans les pays islamiques par le torchon antifrançais, minimisant tout à coup ce « Charlie » devenu emblème national et qui « n’est pas le seul message de la France », une France qui enferme les historiens, qui persécute les patriotes, qui fait matraquer les enfants catholiques dans les manifestations, mais dont il ose prétendre qu’elle « porte la liberté d’expression partout, mais elle défend aussi d’autres valeurs qui nous sont chères : la paix, le respect des convictions, le dialogue entre les religions ».
L’utilisation du mot « apartheid » par Manuel Valls n’est pas anodine. Il veut ainsi contribuer à lui conférer un sens négatif alors même qu’il fut sans contestation le meilleur des régimes en Afrique du Sud, le seul système positif visant à permettre à toutes les communautés de se développer et de vivre en harmonie dans ce pays et fidèlement à leur génie propre. Le chaos multiraciste régnant aujourd’hui prouve qu’il était le seul régime adapté à la situation. S’il devait être employé en France, ce serait pour rappeler que les Blancs ont été chassés des quartiers colonisés, que ceux qui y demeurent subissent un racisme quotidien et que les filles et les fils de France ont souvent payé du prix de leur sang le fait d’être considéré comme des citoyens de seconde zone dans leur propre pays.
Mais la provocation de Manuel Valls est encore plus lourde de sens. En employant un terme désignant une politique volontaire d’un État, il affirme que c’est la République qui a volontairement discriminé les étrangers en les enfermant dans des « ghettos », alors même que la France est le pays européen envahi où la suppuration ethnique dans l’administration, dans les médiats, dans les gouvernements est la plus violente, où les campagnes antiracistes et de préférence antinationale ont été les plus abouties. Surtout, il indique aux allogènes qu’ils ont raison de se sentir exclus parce que ce n’est pas de leur faute, mais que cela a été voulu et organisé sciemment par le régime. En conséquence, celui-ci doit se faire pardonner. Le discours ignoble de Manuel Valls n’est rien d’autre qu’un nouvel acte de repentance, ouvrant droit à ceux qui occupent la terre de France à de nouvelles réclamations et dédommagements qui seront volés dans la poche des Français auxquels ils ont été imposés contre leur gré.