Des rues Staline, mais pas de rue Pétain
En soixante-dix ans, l’occupant a souillé les rues de France des noms d’innombrables criminels contre l’humanité, meurtriers de masse ou terroristes. Il serait difficile de faire le décompte des rues Staline, Churchill, De Gaulle, Lénine, Mandela, etc. À Saint-Ouen, l’ancienne maire stalinienne Jacqueline Rouillon-Dambreville a même osé baptiser une rue de la ville du nom de Nadia Guendouz, ayant appartenu au groupe terroriste Front de libération nationale (FLN, Jabhat at-Tahrīr al-Waţanī), responsable de la mort de plus de 100 000 personnes, dont plusieurs dizaines de milliers de Français.
Le FLN a non seulement massacré des familles entières d’Européens, mais a encore accompagné la plupart de ses crimes d’actes de tortures, de viols et d’exactions indicibles, abominations assumées et revendiquées par Nadia Guendouz comme d’ailleurs par la quasi-totalité de la classe politique française. Plus effroyable encore est la disparition de plusieurs milliers de Français, probablement devenus esclaves en Algérie comme les Européens le furent durant des siècles – ce qui entraîna notamment la campagne d’épuration contre les gangs arabes au XIXe siècle – et dont la République ne s’est jamais préoccupée.
La commémoration de l’Algérie libre et prospère
Le geste de Robert Ménard à Béziers n’en est que plus louable. Le maire sans étiquette de la ville, soutenu par le Front national et divers groupes conservateurs, a honoré le commandant Hélie de Saint-Marc en donnant à une artère de la ville son nom. L’action est d’autant plus symbolique qu’elle remplace la rue du 19 mars 1962, date d’un cessez-le-feu qen Algérie qi ne fut jamais respecté par les terroristes islamo-communistes du FLN, date à partir de laquelle les massacres s’accélérèrent, autant contre les Blancs que contre la population locale.
La lâcheté et le déshonneur de De Gaulle et de sa Ve République naissante a conduit l’Algérie à plus de 50 ans de crises en tout genre depuis, économiques, sociales, sécuritaires, humanitaires, avec plusieurs dizaines de milliers de morts, soit un total imputable au FLN de probablement plus de 300 000 morts et disparus, plus de 2 millions de déplacés, des centaines de milliards de francs de dégâts, etc. Cela a également été à l’origine de l’invasion massive de la France, les ennemis profitant du recul des Blancs pour pousser leur avantage et fuyant une situation de misère comme c’est aujourd’hui toujours le cas.
Selon une presse très hostile, 2 000 à 2 500 Français, donc probablement plus, ont assisté à la cérémonie de baptême de la rue du commandant Hélie Denoix de Saint-Marc. Robert Ménard a prononcé un émouvant discours, évoquant le « paradis » que fut l’Algérie française. Il est revenu sur la carrière militaire d’Hélie Denoix de Saint-Marc.
Un héros français
Membre d’un réseau travaillant pour les Anglais durant la guerre, il entra à l’École militaire spéciale de Saint-Cyr avant de commencer une brillante carrière : envoyé en Indochine avec le 3e régiment étranger d’infanterie (REI) de la Légion étrangère, puis au sein du 2e bataillon étranger parachutiste (BEP) où il s’illustre par sa bravoure, son sens du devoir comme du commandement. Il est traumatisé quand la République qu’il sert lui ordonne d’abandonner les populations indochinoises, qui ont fait confiance à la France, et de les livrer aux tueurs communistes vietnamiens et chinois.
Présent en Algérie française en 1961, c’est justement pour ne pas revivre la trahison de l’Indochine qu’il désobéit aux ordres illégaux du traître De Gaulle. Il participe en avril 1961 au Putsch d’Alger à la tête du 1er régiment étranger de parachutistes (REP), le plus prestigieux régiment français, qu’il commande alors par intérim. Voulant assumer la totalité de ses actes, il se rendra et sera jugé par un tribunal militaire où il défendra l’honneur de l’armée française contre la trahison de leur République.
Sa vaillance lui a valu l’attribution des plus hautes décorations militaires. À sa mort le 26 août 2013, Hélie Denoix de Saint-Marc était grand-croix de la Légion d’honneur, titulaire de la Croix de guerre 1939-1945 avec une citation, de la Croix de guerre des TOE avec 8 citations et de la Croix de la valeur militaire avec 4 citations.
L’anti-France écume de rage
Le laquais de l’ennemi, Manuel Valls, plutôt que de s’occuper de la lutte contre le chômage, contre l’invasion, contre la criminalité qui augmentent toujours plus, a tenté une fois encore de faire parler de lui. L’ignoble individu qui accepte sans ciller que des rues de France portent les noms de Staline ou de Nadia Guedouz, a évoqué cette cérémonie en déclarant :
« La nostalgie, et notamment la nostalgie de l’Algérie française, n’apportera rien de bon. Le FN n’aime pas la France ».
Pour l’ennemi, qui perd chaque jour plus ses moyens, une France de 6 millions de chômeurs et 12 millions d’envahisseurs, pour 3 millions de crimes et délits annuels, est préférable à la simple dénomination d’une rue.
Dans leur République, seule la mémoire des étrangers, surtout s’ils ont du sang d’Européens sur les mains, est digne d’être célébrée.
Avec Manuel Valls, qui se prend chaque jour plus pour un Manuel Azana qui tenterait de faire l’union antifasciste contre le réveil de la France, quelques dizaines d’extrémistes et d’étrangers – 500 selon la presse très favorable aux perturbateurs – ont tenté à Béziers de provoquer des incidents durant la cérémonie y compris en appelant à la violence.
Le baptême de Béziers, souhaitons-le, pourrait être le premier parmi de nombreux autres. De Vercingétorix, Lucter et Drappès à Jeanne d’Arc, Fabert et Saint Louis, en passant par les héros et les martyrs modernes tombés pour la délivrance de la France, Joseph Darnand, Robert Brasillach, Jean de Brem, Jean-Marie Bastien-Thiry et tant d’autres, les noms ne manquent pas pour remplacer les noms des faux maîtres et des ennemis de la France qui la dégradent aujourd’hui.
Ménard aime, je le crois la France hormis la ménorah qui l’a placé pour faire plaisir à ceux qui gouvernent la France et ainsi conserver la crèche dans la mairie.
Vous , jeune nation vous commémorez la mémoire de tous les nationalistes quel que ce soit leur différence qu’ils soient gaulliste (car certain on vu une trahison en 40 alors que ce n’en était pas une), fascistes ou même nationaux-socialistes (bien que certains furent violemment anti-chrétiens).
La France ne peut mourir éternellement l’âme charnelle de nos anciens refleurira et fera de nous les instruments d’une aube qui submergera notre nation d’amour pour notre identité, notre Dieu et notre patrie.
Que la France renaisse et que ceux qui la violent en soient bannis pour l’éternité.
La France aux français !!!