Bureau du PS, gouvernement : la République des condamnés exemplaires
L’activiste antifasciste Jean-Christophe Cambadélis demeure secrétaire national du Parti socialiste (PS), malgré ses multiples condamnations (affaire Agos : cinq mois avec sursis pour un emploi fictif ; affaire MNEF : six mois avec sursis pour recel d’abus de confiance, sans compter l’affaire du doctorat). L’extrémiste trotzkyste a été nommé il y a un an, avec l’accord de François Hollande, à un poste où il a succédé à un autre corrompu condamné : Harlem Désir. Symbole de l’ignominie absolue de ces racailles, le premier s’était servi d’une association d’aide aux immigrés pour ses fins personnelles, le second d’une association dite antiraciste, c’est-à-dire raciste antiblanche.
François Hollande, entre autres mensonges, avait pourtant déclaré le 14 avril 2012 :
« Je n’aurai pas autour de moi des personnes jugées et condamnées »
Aux côtés de Ségolène Royal (condamnée pour licenciement abusif), de Christiane Taubira (condamnée pour licenciement et rupture de contrat abusifs), de Jean-Christophe Cambadélis , donc, etc., l’oligarchie socialiste a cru particulièrement opportun de nommer au poste de secrétaire national adjoint à l’intégration Yacine Chaouat.
Yacine Chaouat, l’intégration républicaine par le rejet de la France et les coups contre les femmes
Or, ce dernier a, aussi, été condamné. Mais contrairement à ses collègues, ce n’est pas pour de fausses factures, d’enrichissement personnel ou de contamination de sang par un virus mortel qu’il a été reconnu coupable, mais pour avoir battu sa femme. Par deux fois la justice l’a reconnu coupable de violences conjugales.
Il était allé commander sa femme, étrangère comme lui, de l’autre côté de la Méditerranée, le voyage et le mariage permettant à cette dernière d’obtenir la “nationalité” française à bon compte. C’est du moins ce que croyait Fatima, 21 ans à l’époque, avant que son époux ne lui reproche d’être « trop francisée » et finisse par la battre et la séquestré. Il l’avait notamment attaché à un radiateur où après l’avoir frappé, il l’avait fouetté à coups de ceinture.
Dès les débuts de ces agressions, avant le procès, après les condamnations, Yacine Chaouat a bénéficié du soutien plein et entier du PS, notamment de deux homosexualistes notoires et très influents, le maire de Paris de l’époque, Bertrand Delanoë, et le maire du XIXe arrondissement Roger Madec, où était élu le cogneur maghrébin. Les nombreuses demandes de démission à l’époque, émanant des groupes féministes de gauche, restèrent lettre morte. Jusqu’aux élections de 2014, Yacine Chaouat est resté adjoint au maire du XIXe. Depuis, l’ambitieux étranger cherche de nouveaux postes.
Islamofolle
Incapable de comprendre la mesure du problème, incapable visiblement de prendre simplement conscience de la gravité de ses actes, Yacine Chaouat a publié dimanche un communiqué où il annonce sa démission. Mais au lieu de présenter ses excuses, il a violemment attaqué les citoyens justement écœurés par cette nomination en se prétendant victime… d’islamophobie.
« À la suite de ma nomination hier soir en qualité de secrétaire national chargé de l’intégration républicaine, et face aux attaques sur les réseaux sociaux dont je fais l’objet et qui rejaillissent sur tout le Parti socialiste, j’ai présenté ma démission de cette fonction. J’ai commis une erreur [sic] il y a six ans, et la justice est passée [sic]. Après avoir payé ma dette, je regrette que l’on veuille m’appliquer une double peine [sic ; la racaille étrangère a justement évité la double peine qu’il méritait, c’est-à-dire son expulsion immédiate et définitive du territoire français]. C’est avec tristesse que je constate que dans la France d’aujourd’hui on n’a pas droit à une deuxième chance quand on est musulman »,
s’est-il lamenté. Laurent Fabius, Dominique Strauss-Kahn, Yacine Chaouat, Christiane Taubira, Kader Arif : leur république métissée promet encore de grandes heures d’exemplarité.
Vivement la charia en France,qu’ils ne soient pas les seuls à en profiter!
Nous aussi,français de SANG,on veut battre nos compagnes.