Les dispositifs de préférence étrangère pour marginaliser les Français en France se succèdent continuellement, occasionnant des dépenses que les Français se font ponctionner sous forme d’impôts, de taxes (environ 80 % du prix des carburants automobiles, par exemple) et d’amendes (sanctionnant la circulation automobile, l’histoire non mensongère, l’auto-défense face aux envahisseurs, etc.).
De prétendus « emplois francs »
Un de ces gadgets bling-bling fut dénommé, par antiphrase, « emplois francs » (sic). Pourquoi ne pas avoir imprimé une affichette incluant la francisque, tant qu’on était dans la contre-vérité ?
Car, bien évidemment, ces emplois ne concernaient aucunement les descendants de Clovis et de Clotilde, ni même d’aucun Gaulois, Celte, etc.
Non, ces postes visaient les quartiers détruits à une vitesse accélérée par les immigrés qui y sont logés le plus souvent « gratuitement » (habitations dont le loyer modéré est payé par la CAF, dans le cadre du regroupement familial). Gratuitement pour eux, mais évidemment pas pour les Français, contraints de s’enfuir des zones infestées, mais suffisamment peu racistes pour se laisser dépouiller par la racaille gouvernementale à son profit et à celui de ses seuls protégés, les allogènes.
Des emplois allogènes, dits « francs », d’abord largement étendus
Face à l’échec qui s’est annoncé immédiatement, la seule réponse gouvernementale avait été… d’étendre très rapidement ce projet au lieu de l’annuler purement et simplement pour économiser les cinq mille euros gaspillés par individu bénéficiant de cette « discrimination positive » qui réserve le travail aux colons :
« Initialement prévue dans 30 communes, l’aide financière favorisant l’embauche d’un jeune [sic] issu d’une zone sensible [re-sic] concerne dorénavant 163 communes. »
Le seul mérite de cette décision fut de confirmer qu’il y avait déjà en novembre 2013, officiellement reconnues comme telles non pas 30, mais 163 villes rendues tellement invivables que les acteurs de cette situation étaient jugés suffisamment républicains pour bénéficier de passe-droits supplémentaires afin de les récompenser pour leur œuvre destructrice menée contre la France.
Une « expérimentation » censée durer, mais qui prend fin
« Le dispositif “emplois francs” va être expérimenté pendant 3 ans (jusqu’au 29 juin 2016). »,
claironna-t-on fièrement dans les diverses structures étatiques, comme si l’utilisation de la méthode Coué allait résoudre quoi que ce soit, alors que même les hommes d’affaires maghrébins circulant en France nous le disent :
« Nous n’en faisons rien là-bas, vous n’en ferez rien ici ! »
Comme c’était donc parfaitement prévisible pour qui veut bien ouvrir les yeux sur la réalité, dès le mois d’octobre 2014, soit moins d’un an après l’extension de ce gaspillage, leur ministre de la ville Patrick Kanner dut reconnaître le coût et l’échec de cet énième dispositif immigrophile :
« Nous allons faire 30 millions d’euros d’économies, en abandonnant des politiques qui n’ont pas prouvé leur utilité ».
Il précisa ensuite plus clairement :
« Nous allons mettre fin à l’expérimentation des emplois francs. »
Des délais technocratiques pour ne réduire qu’un peu cette dilapidation-là
Il aura donc encore fallu attendre jusqu’en ce mois de juillet 2015 pour que paraisse – enfin ! – le décret d’abrogation d’un dispositif lancé deux ans avant… pour trois ans. Mais que les occupants se rassurent, ils continueront à bénéficier des largesses de leur République !
En effet, le budget de leur néfaste « ministère de la ville » ne diminuera que de quelques dizaines de millions, restant supérieur à 400 millions de leurs euros, par an !
Surtout, leur ministre a tenu à préciser, dès l’an dernier, que les subventions à 7 000 associations (sept mille !) dites « de proximité » seraient « sanctuarisées » (sic !), pour trois ans, soit 338 millions d’euros distribués annuellement pour acheter une « paix sociale » dont les pompiers caillassés, les policiers harcelés, les médecins dépouillés et plus largement les Français colonisés, peuvent constater quotidiennement le caractère totalement fantasmé par les adorateurs du « vivre-ensemble » !