Leur nouveau stade Jean Bouin à Paris, présenté comme « innovant » [sic] et utilisé depuis deux ans par le Stade français-Paris connaît déjà ses premières… pannes d’éclairage !
Mais qu’on se rassure chez Arnold Schwarzenegger et tous les membres de la nomenklatura du « réchauffement climatique », le spectacle énergivore au laser a bien fonctionné !
Show laser ! #Merci @Rexel_Group #SFPRCT #SFParis pic.twitter.com/OWlmCYn4Rr
— Stade Français Paris (@SFParisRugby) 6 septembre 2015
Un stade mal enfanté par des partisans de la gestation pour autrui et contre l’avis des habitants
Rappelons que le nouveau stade a été souhaité durant dix ans par l’ancien président du Stade français-Paris, le très secret Max Guazzini qui a remplacé les couleurs bleue et rouge de Paris par une dominante de rose sur les tenues des joueurs.
Il s’était entendu avec l’équipe de l’ancien maire de Paris, Bertrand Delanoë, également porté sur les mêmes décolorations généralement en phase avec les mœurs particulières de leurs promoteurs et leur irrépressible envie de les extérioriser.
Notons que le néo-Stade français-Paris exhibe également ses joueurs, posant nus, très partiellement dissimulés qui par un ballon, qui par un bout de serviette ou une ombre portée, dans un calendrier qu’on s’arrache certainement dans tous les partis politiques de leur République, néo-FN inclus.
Français, payez le stade, mais envoyez vos enfants pratiquer leur sport scolaire ailleurs !
Comme dans tout « projet innovant », c’est le peuple qui paie, l’estimation du coût total avoisinant les 150 millions d’euros, soit un milliard de francs. Ce coût, s’il n’avait pas encore été atteint ou à peine dépassé à ce jour, le sera sous peu puisqu’il faudra inclure la réparation de l’éclairage – déjà ! – défaillant.
Outre le paiement de taxes et d’impôts, c’est également l’habitant qui est éjecté au profit du spectacle mondialiste, comme les élèves scolarisés dans ce quartier de Paris et les pratiquants amateurs d’autres sports, tel l’athlétisme, contraints… d’aller voir ailleurs.
Au mépris des ressources naturelles, pour eux, l’important, c’est d’être télévisé
L’éclairage de ce nouveau stade n’est pas fiable et on nous rebat quotidiennement les oreilles avec leur « réchauffement climatique » (malgré un été plutôt frais en France après un autre très humide l’an dernier) et le « développement durable »… qui suppose d’économiser les ressources naturelles au lieu de les gaspiller dans des spectacles.
Alors, pourquoi ne pas jouer dans la journée, éclairés et réchauffés par le soleil ; « cara al sol », comme diraient nos amis espagnols ?
Mais pour être diffusé à la télévision en première partie de soirée, pardi !… Vu que le football était en pause internationale.
Je penses que les parisiens auraient dû jouer en blanc vu les conditions… Dans l’ombre on a du mal à distinguer les 2 équipes #SFPRCT
— P Antoine LECLERCQ (@paulolrcq) 6 septembre 2015
Résultat ? Les roses – et bleu-nuit – ont perdu face aux rouges – et noirs –, 13 à 20, en direct à la télévision, dans un stade « innovant » hors de prix et qualifié d’inutile par leur opposition municipale. Quant aux spectateurs, ils se sont plaints de ne pas voir correctement le jeu et de peiner à distinguer les deux équipes, ce qui était déjà manifestement difficile à la télévision, malgré les caméras à éclairage électronique qui améliorent l’image.