Les gouvernements, et particulièrement en France, n’ont pas réagi ces dernières années alors que les crises identitaires, sécuritaires, sanitaires, sociales, économiques, ravageaient l’Europe. À les entendre alors, il n’y avait rien à faire pour protéger les frontières, ni rien à faire pour aider les Français. À part pour donner des centaines de milliards aux banques privées, les caisses de l’État étaient vides.
Un débat parlementaire – sans vote, ne servant au gouvernement qu’à diffuser sa propagande, les « élus de la République » n’étant pas consulté sur la dilapidation de l’argent du peuple – était organisé hier à l’Assemblée dite, sans doute par ironie, nationale. Manuel Valls y a multiplié les annonces et le déblocage de fonds qui coûteront aux contribuables plusieurs centaines de millions d’euros pour organiser l’invasion de leur propre pays.
Leur premier ministre a annoncé l’emploi de 279 millions d’euros pour l’accueil initial et de l’hébergement d’urgence des prétendus ‘réfugiés’, ainsi que les aides aux communes immédiatement et 334 autres millions d’ici 2017. L’argent volé aux Français sera également utilisé pour embaucher des fonctionnaires à l’Office français de protection des réfugiés et des apatrides (OFPRA), l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) et à l’Éducation nationale. Cela représente un total de plus de 600 millions d’euros. Enfin, 250 autres millions d’euros seront mobilisés pour l’hébergement d’urgence.
Il ne s’agit là que d’annonces partielles qui sont loin de couvrir tous les frais auxquels les Français devront faire face (Aide médicale d’État (AMÉ), coûts liés aux crimes, délits, pollutions, scolarisation, etc. engendrés par l’invasion), d’autant plus que les chiffres de 24 000 ou 30 000 réfugiés ne reposent sur aucune réalité. Le nombre total d’envahisseurs sera, si rien ne change, bien plus important. Un autre coût n’a pas été chiffré, celui de la création de 900 postes supplémentaires dans les forces de l’ordre, alors qu’environ 10 000 militaires et policiers sont actuellement mobilisés dans le cadre du plan vigipirate pour surveiller des lieux de culte islamistes et juifistes alors qu’ils pourraient beaucoup plus utilement être déployés aux frontières.
« La solidarité, c’est garantir un accueil des réfugiés et demandeurs d’asile »,
« Il faut des centres d’accueil […] il faut des moyens »,
«Il faut du cœur, bien sûr, mais un cœur intelligent. Un cœur ferme. Un cœur lucide»,
a notamment déclaré Manuel Valls.