« C’est une faute morale, une faute terrible. Toute l’idée de la République s’effondre ».
Daniel Cohn-Bendit, pédocriminel juif à papiers allemands, binational français depuis mai 2015.
« La défense de la binationalité […], c’est comme la lutte contre la peine de mort, vous êtes pour ou vous êtes contre. Mais si vous dites aujourd’hui “je suis pour la binationalité sauf pour les terroristes”, demain d’autres diront “d’accord je suis pour la binationalité sauf pour ceux qui ont commis des crimes contre les policiers”(…), vous serez contre pour les assassins d’enfants, etc. »
Serge Blisko, député juif.
« C’est scandaleux : cela voudrait dire qu’une partie de la population est française sous condition et qu’il existe deux catégories de Français nés en France. Qu’on nous tolère, en quelque sorte. Le message qui est envoyé est très mauvais et provoque un malaise profond. »
Rokhaya Diallo, sénégalo-gambienne, financée par le gouvernement américain pour propager la « diversité ».
« Je ne me suis jamais senti aussi peu Français [sic] ».
Mourad Benchellali, terroriste islamiste combattant La Base (el-Qaïda).
« C’est tout à fait contraire à nos principes républicains, a fortiori dans un pays qui cherche à rassembler ses citoyens indépendamment de leurs origines. C’est une ligne rouge qui a été franchie et je m’en désole. C’est un grand recul pour notre démocratie ».
Pouria Amirshahi – tout est dans le nom.
« C’est une victoire et pour les terroristes et pour le Front national, parce que leurs idées sont portées par ceux qui se réclamaient de la gauche. C’est purement symbolique et c’est purement politicard ».
Éva Joly.
« Voter contre s’impose. J’appelle toutes les consciences républicaines à se réveiller et à refuser cette pente glissante. Il faut savoir poser des bornes infranchissables. À force de vouloir couper l’herbe sous le pied du FN, on risque d’appliquer son programme. Aujourd’hui, je vois une nouvelle blessure infligée à nos valeurs. Persister dans cette voix [?] est une folie ».
Cécile Duflot, 4,4 % du corps électoral en s’alliant au Front de gauche et à divers partis lors des élections.
« Dès l’annonce du projet d’inscrire dans la Constitution la déchéance de la nationalité de tous les binationaux, y compris ceux et celles nés Français, le Défenseur des droits a manifesté sa désapprobation, car ce projet revient à graver dans le marbre de notre norme supérieure une division fondamentale des Français en deux catégories, à l’encontre de l’esprit et de la lettre de la Constitution »
Jacques Toubon, chiraquien revanchard, recalé au Conseil constitutionnel (qui a validé la constitutionnalité de la mesure).
« On n’exporte pas un terroriste ! Que se passera-t-il si l’Algérie, les États-Unis nous adressent des déchus ? Allons-nous les accepter ? […] En réalité, c’est faire beaucoup de bruit pour rien et risquer, vraiment, de fabriquer des apatrides. […] Comment expulser un individu qui a toujours vécu en France ? Une autre nation a-t-elle à gérer quelqu’un né chez nous ? »
Marc Trévidic, ex-magistrat anti [sic]-terroriste, héros hier des « patriotes » et « dissidents ».
« Jean Christophe Cambadélis s’est opposé à la déchéance de la nationalité jusqu’au bout, mais il n’a pas obtenu gain de cause. Il ne prend pas position pour ne pas affaiblir le président, mais il ne prend pas position non plus pour la mesure. Il parlera en temps et en heure ».
Un proche du corrompu condamné chargé de porter sa parole pour qu’il puisse dire ce qu’il refuse de dire tout en le disant.
La palme : le corrompu Thomas Thévenoud en père de la morale républicaine
Jean-Christophe Cambadélis a fait des émules, dont Thomas Thévenoud. L’individu qui passera en jugement dans quelques semaines pour un nombre élevé d’accommodements avec la loi engendrés par une tragique « phobie administrative », a osé publier une tribune dans Libération – le journal qui militait pour la légalisation de la pédocriminalité. Le texte a été corédigé par Saïd Ben Amer et diffusé sous le titre « Tous français, jusqu’à quand ? » et adressé à « Monsieur le Président de la République », l’individu que Thomas Thévenoud a trahi, auquel il a menti, « les yeux dans les yeux ». Le corrompu a tenu à démontrer que son amour de l’étranger ne se limitait pas plus à ses comptes secrets et que sa trahison à la sphère politique.
« En cette veille de Noël, vous avez clairement signifié à une partie de vos concitoyens qu’ils n’étaient pas invités à participer au deuil et à la reconstruction. Vous avez décidé sciemment de créer deux catégories de Français.
Les premiers seront les Français incontestables, ceux qui, s’ils commettent des actes terroristes seront jugés et condamnés comme ils le méritent. Ceux-là, ce sont les enfants légitimes de la France. Même s’ils la trahissent, ils ne seront jamais reniés.
Les seconds seront les Français contestables, les Français en régime probatoire, les pas vraiment Français. Ceux-là, s’ils commettent des actes terroristes seront également jugés et condamnés comme ils le méritent. Mais, en plus, ils seront déchus de leur nationalité et « cela même s’il[s] [sont] né[s] français » même s’ils ont été scolarisés et socialisés en France. Bref, même s’ils sont un pur produit de la France.
Ces enfants de France ont aussi une autre nationalité, puisque c’est d’eux qu’il s’agit, car elle est la nationalité de leur père ou de leur mère sans qu’ils n’en aient jamais fait la demande et sans qu’ils ne soient souvent jamais allés dans ces pays dont ils ont pourtant la nationalité. Ça n’a jamais fait d’eux des demi-Français jusqu’à aujourd’hui.
La République, dans toute son histoire, n’a jamais fait une telle distinction. […]
Des millions d’autres, se soucient de savoir s’ils font toujours pleinement partie de la nation, de la famille au moment où elle est durement frappée.
Ils voient dans cette catégorisation une rupture d’égalité dans le régime de la nationalité qui remet en cause leur appartenance à la nation. Aujourd’hui, ils se sentent abandonnés.
Monsieur le Président de la République, une fois que vous en aurez posé le principe, rien n’empêchera une nouvelle majorité en 2017 d’élargir les conditions de la déchéance de nationalité à d’autres motifs juridiques.
Avec cette décision, vous facilitez le travail de ceux qui pourraient vous succéder. Que Marine Le Pen ait été la première à saluer cette mesure laisse à tous les hommes et les femmes de gauche un goût de cendre dans la bouche. […] Comment expliquer alors que vous ayez fait aujourd’hui le choix de créer deux sortes de Français. Par quel calcul, pour quel petit bénéfice politique, en êtes vous arrivé à penser que cette mesure allait constituer une réponse à la situation que nous vivons ?
Le renoncement à nos valeurs est-il un gage de réussite électorale ? Les résultats des dernières élections régionales devrait vous amener à en douter.
Mais ce qui nous attend risque d’être plus cruel encore : c’est la défaite en plus du déshonneur ».