Vingt-quatre heures après l’attaque d’un commissariat à Joué-lès-Tours samedi, un islamiste malade a foncé avec sa voiture sur plusieurs groupes de passants à Dijon ce dimanche. Au total, il a attaqué cinq fois vers 20 heures avant d’être arrêté.
Onze personnes ont été blessées dont deux sérieusement. Les témoins ont entendu le criminel crier « Allah Akbar » au moment des faits. Il aurait parlé de l’occupation de la Palestine par l’État criminel d’Israël. Ces attaques surviennent quarante-huit heures après la diffusion d’une vidéo par des égorgeurs de Syrie appelant les islamistes en France à frapper les intérêts français et à « faire exploser la France ».
À Joué-lès-Tours, ce sont trois policiers qui avaient été blessés, soit, en deux jours, quatorze victimes de la politique d’invasion de la France mise en place leur République.
Contrairement au crime de Touraine, le terroriste qui a frappé en Bourgogne hier n’a pas été abattu. Pire encore : s’il a été interpellé, les autorités ont déjà évoqué l’acte d’un « déséquilibré » qui serait « suivi [sic] en hôpital psychiatrique ». Il pourrait donc rapidement être remis en liberté ou placé dans un établissement peu surveillé d’où il pourra, comme de nombreux autres, s’évader rapidement.
L’incompétent Bernard Cazeneuve, avant l’annonce de cette seconde attaque, avait évoqué concernant l’attentat de Joué-lès-Tours un individu « très mystérieux et très déstabilisé » (sic). Selon une source officielle citée par une agence de presse, alors que l’islamiste de Dijon a très clairement lié son crime à l’islamisme, pour les autorités « ses revendications semblent encore floues » !