Dans une interview accordée à Defence News, le général français Pierre Schill, chef d’état-major de l’Armée de terre, a déclaré que le conflit en Europe de l’Est avait « modifié la dynamique des combats », alors que l’armée française a déployé plus de 500 soldats sur le flanc oriental de l’OTAN en Roumanie quatre jours après le début du conflit entre la Russie et l’Ukraine en février 2022. Une force qui a ensuite été élargie à plus de 1 000 soldats, dont une unité de défense aérienne et un centre de commandement avancé.
Schill observe que leçons apprises en Ukraine incluent l’importance de la surveillance par drones à longue portée, de la guerre électronique et de l’utilisation d’armes à létalité élevée. L’armée est également confrontée à une pression accrue pour protéger des cibles de grande valeur, telles que les postes de commandement, à une époque où les progrès technologiques facilitent la détection de leur emplacement.
Mais le chef d’état-major de l’Armée de terre, va beaucoup plus loin. Il a ajouté qu’en plus des avancées clés sur le champ de bataille – telles que l’utilisation accrue de drones et l’adaptation militaire de la technologie civile – la crise a démontré que le flux d’informations doit être contrôlé en ce qu’il affecte à la fois l’opinion publique nationale et internationale.
Et Schill note que « l’armée joue un rôle crucial dans le domaine de l’information » :
« Sans la capacité de convaincre et de contrer les influences négatives, tout engagement militaire peut échouer. L’émergence des réseaux sociaux a renforcé cette notion et a considérablement accéléré la diffusion de l’information, vraie ou fausse, tout en augmentant son volume, sa portée et sa résonance.. »
Le chef d’état-major de l’Armée de terre affirme à demi-mots que la guerre d’aujourd’hui nécessite un contrôle de l’opinion publique, c’est-à-dire un contrôle sur les informations qui sont transmises à la population. Des propos peut-être pas sans lien avec les sondages sur « le soutien à l’Ukraine » en France.
Selon un sondage Elabe pour Les Echos et l’Institut Montaigne du 13 juin, trois Français sur quatre se disent toujours « inquiets » que le conflit se propage dans d’autres pays. La perspective que le conflit s’étende spécifiquement à la France angoisse d’ailleurs toujours deux Français sur trois. Et l’adhésion des Français au soutien militaire à Kiev a fortement reculé sur l’année écoulée.
Cette prise de distance de l’opinion publique se traduit dans une certaine défiance à l’égard des récentes annonces du chef de l’État concernant le soutien tricolore à Kiev alors qu’à l’occasion des célébrations du 80e anniversaire du Débarquement, Emmanuel Macron a annoncé la cession très prochaine à l’Ukraine d’avions de combat Mirage 2000-5, particulièrement adaptés à la défense aérienne.
Si la formation des pilotes recueille une petite majorité (54 %) d’avis favorables, les deux autres mesures sont rejetées par l’opinion : 54 % des Français se disent opposés à la vente d’avions de chasse, 57 % à l’envoi d’instructeurs sur le terrain.
Quant à l’envoi de troupes combattantes au sol en Ukraine, l’éventualité fait l’unanimité contre elle : 83 % des Français ne veulent pas en entendre parler !
La servilité de ces « chefs » militaires, ici le franc-mac Pierre Schill, est écoeurante.
Notre Ennemi, c’ est celui qui a fait sauter notre gazoduc.
Et ses collabos, dont l’ Éborgneur, devenu l’ Empoisonneur:
D’ au moins 100 000 Français, aux chiffres confirmés par les assureurs,
qu’ il a assassinés de ses poisons-faux-vaccins.
Et qui aurait dû s retrouver sans un cul de basse-fosse militaire
pour haute trahison, dès le 24 mars 2020, où il interdit les antipaludéens, pour la seule raison qu’ ils marchent.