Sommaire :
France
- Un détenu Islamiste agresse et blesse deux surveillants
- Procès de Mehdi, ancien militaire devenu djihadiste de Daech en Syrie
- Expédition punitive à la batte de baseball Badr Kacemi et Salahaddin Kose condamnés
- Fiché S., Mehdi Benadjaoub condamné pour non-respect de son assignation à résidence
- Devrim Rencber menaces et jets de pierre contre des policiers et des pompiers
- Prison ferme pour Karim Bouderbane, auteur de 3 vols dans le centre de Jeumont
- Des femmes voilées refoulées à l’entrée d’une école maternelle en Corse
- Les États-Unis ont bien piraté l’Élysée en 2012
Etranger
Europe
- Allemagne : le représentant local du judaïsme politique effrayé de la montée de l’AfD
- Allemagne : un envahisseur meurt en tentant de mettre le feu à sa femme
Monde
- Syrie : série d’attaques terroristes de l’État Islamique contre le régime
- Corée du Nord : Pyongyang multiplie les tests de missiles balistiques
Vidéo
- Sur les traces de Jeune nation : Pierre Sidos et l’OEuvre française en 1980
Ephéméride nationaliste
- 6 septembre 1955 : mort de Maurice Pujo
Agenda
- Samedi 10 septembre 2016, conférence d’Yvan Benedetti, directeur de Jeune Nation
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France
Un détenu Islamiste agresse et blesse deux surveillants
Un détenu en unité de prévention de radicalisation a blessé deux surveillants pénitentiaires dimanche après-midi, à la maison d’arrêt d’Osny. Le détenu a d’abord agressé à l’arme artisanale un premier surveillant, venu le chercher pour un départ en promenade. Un second surveillant, posté à l’entrée de la cour de promenade, a également été blessé alors qu’il tentait de venir en aide à son collègue.
Blessés, les deux agents sont tout de même parvenus à s’extraire de la coursive, avant d’être pris en charge par leurs collègues. Resté sur les lieux, l’agresseur a dû faire face aux unités d’intervention de l’Administration pénitentiaire (ERIS). Ce dernier a alors tenté de blesser également les agents, qui l’ont rapidement maîtrisé, sans arme létale, grâce à l’utilisation de «balles en caoutchouc», explique la direction. Cinq autres détenus se trouvaient également sur les lieux, mais n’ont pas pris part aux agressions.
Les deux surveillants, l’un touché au thorax et à la gorge, l’autre blessé au bras, ont été transportés à l’hôpital.
Le détenu a été transporté à l’hôpital avant d’être placé en garde à vue pour tentative d’homicide volontaire.
Procès de Mehdi, ancien militaire devenu djihadiste de Daech en Syrie
Un militaire français, qui avait passé cinq ans sous les drapeaux, sera jugé cette semaine pour terrorisme : il avait quitté l’armée pour rejoindre Daech.
D‘anciens militaires français ont bel et bien rejoint les rangs djihadistes en Syrie. C’est le cas de Mehdi, un ancien tankiste formé au maniement des lance-roquettes antichar, qui vient d’être renvoyé devant le tribunal correctionnel pour association de malfaiteurs en vue de la préparation d’actes de terrorisme. Le jeune homme de 32 ans y sera jugé en compagnie de deux complices présumés, issus de la même filière roubaisienne.
Habitué des opérations extérieures, notamment en Afrique, Mehdi a passé cinq ans sous les drapeaux avant de déserter en 2010 à la suite de sa radicalisation. Selon les services de renseignement, il apparaît alors en lien avec des membres de la mouvance salafiste lilloise. En avril 2012, il est placé une première fois en garde à vue. L’exploitation de son ordinateur saisi en perquisition permet de découvrir une documentation fournie liée à Al-Qaïda, ainsi que des références au groupuscule radical Forsane Alizza.
Se disant favorable à la charia et au djihad et prêt à mourir en martyr, il est malgré tout remis en liberté à l’issue de sa garde à vue.
Un an plus tard, en mai 2013, Mehdi gagne la Syrie où il reste dix mois avant de revenir en France en mars 2014. De nouveau interpellé en avril 2015 dans la région de Toulouse où il habite désormais, il est depuis placé en détention provisoire. Au cours de l’instruction, l’ancien militaire n’a eu de cesse d’invoquer le but humanitaire de ce séjour au cours duquel il a fait venir son épouse et ses trois enfants pendant un mois.
Mais selon l’un de ses coprévenus qui l’a croisé à plusieurs reprises sur place, Mehdi a intégré un groupe combattant où il était chargé de faire la circulation routière. Ce converti, blessé à plusieurs reprises lors de combats fratricides entre groupes rebelles, a aussi expliqué l’avoir aperçu portant une cagoule et un kalachnikov.
Mais c’est la découverte de photographies dans la carte mémoire d’un autre soldat français, mis en examen dans une procédure distincte, qui va se révéler la plus gênante pour Mehdi. Sur ces clichés, on l’aperçoit en tenue militaire en possession d’un fusil d’assaut et d’un porte-grenades. Sur l’une des photographies, il tient par l’épaule un combattant porteur d’un écusson de Daech.
Confronté à ces clichés, Mehdi finit par évoquer sa présence au sein de groupes armés : un bref passage au sein de l’organisation Etat islamique avant de rejoindre une katiba (une unité) proche du Jahbat al-Nosra (affilié à Al-Qaïda). Admettant avoir été envoyé au combat, il explique néanmoins que l’essentiel de ses journées était consacré à la pratique du sport et à l’aide apportée aux réfugiés. Mais pour le juge d’instruction qui a signifié son renvoi devant le tribunal le 22 juillet dernier, Mehdi est bel et bien soupçonné d’avoir rejoint la Syrie afin d’intégrer un groupe de combattants djihadistes.
Expédition punitive à la batte de baseball Badr Kacemi et Salahaddin Kose condamnés
Vendredi dernier, face aux trois prévenus qui lui font face, le président Gastaldi évoque « un véritable massacre », la scène qui s’est déroulée le 24 juin 2015, sur la terrasse du McDo de la Sapinière, à Laxou.
Trois hommes se restaurent tranquillement quand l’un d’eux, qui vient de voir passer un scooter avec trois passagers sans casque, a soudain l’idée de faire une remontrance au conducteur de l’engin. Le ton monte rapidement. « T’es de la police ? », balance le pilote du deux-roues. Les insultes fusent puis le scooter décampe.
Dix minutes plus tard, les trois clients du fast-food voient débouler une Audi A3 et une Citroën C3. Une dizaine d’individus en descendent. Parmi eux, Badr Kacemi, le conducteur du scooter, et Salahaddin Kose, l’un de ses passagers.
Les clients n’ont pas le temps de réagir, ils sont immédiatement frappés.
Quatre individus s’en prennent notamment à l’homme qui a fait la réflexion sur le port du casque. Armé dune batte de base-ball, Badr Kacemi le roue de coups. Dans les jambes puis sur la tête et dans l’abdomen. La victime perd connaissance, aura 30 jours d’ITT…
Un témoin évoque une « meute en chasse », un autre « un acharnement » assure aussi que Badr Kacemi « était prêt à tuer ». « Mon client a vu la mort », souligne Me Desmet.
Kose écope, lui, au final, de 18 mois ferme. La note de Kacemi est en: 3 ans ferme et maintien en détention.
Fiché S., Mehdi Benadjaoub condamné pour non-respect de son assignation à résidence
Il n’aurait jamais dû venir à Douai, même pour voir son avocat. Le 22 juillet, vers 17 heures, Mehdi Benadjaoub, Sinois de papier, a été interpellé à l’issue d’un contrôle de police. Il était en possession de cannabis et ne devait venir à Douai que pour pointer au commissariat car le jeune homme est fiché « S » et assigné à résidence. Écroué dès le lendemain, Mehdi Benadjaoub a été jugé vendredi pour ne pas avoir respecté cette assignation à résidence. « Je ne suis pas un terroriste », a répété le prévenu, relayé par Me Lehingue. Il a quand même été condamné à six mois de prison ferme, plus quatre mois de révocation d’une peine précédente. Il reste donc en détention.
Devrim Rencber menaces et jets de pierre contre des policiers et des pompiers
Un jeune « Boroillot de papier » a comparu jeudi, à Montbéliard pour tentative de destruction d’un bien, participation avec arme à un attroupement armé, outrages, menaces contre les forces de l’ordre… Mais Devrim Rencber est absent. Incarcéré à la suite d’une condamnation, il a pourtant bénéficié d’une permission de sortie. « Mais il a préféré faire ses démarches professionnelles avant de venir au tribunal », l’excuse son avocat, qui sollicite un renvoi du dossier. Le tribunal s’y oppose. La présidente, rappelle que le prévenu a été régulièrement convoqué.
Elle relate les faits qui se sont déroulés en deux temps. Vers 18 h, ce jour de juin, les policiers essuient des insultes et sont agressés alors qu’ils sont en mission de sécurisation de la mosquée, dans le quartier. « Place Godard, une dizaine d’hommes les ont injuriés. Ils ont reconnu l’un d’entre eux (le prévenu) qui a jeté la première pierre contre leur véhicule », évoque la présidente. Quelques minutes plus tard, alors que les forces de l’ordre prêtent assistance aux pompiers qui interviennent pour un incendie dans un appartement, le même individu revient à la charge. « Il a dit à un des policiers : “Toi, tu fais le malin avec ton Flash-ball. Mais je t’ai déjà vu avec ta femme au Colruyt, avec tes béquilles, tu fais moins le malin’’», rapporte la présidente. Interpellé le lendemain, il a reconnu qu’il se trouvait bien place Godard.
Les juges ont prononcé la relaxe pour les faits de participation à un attroupement. Devrim Rencber a été condamné à 12 mois de prison ferme avec maintien en détention (de plus, la peine d’un mois avec sursis a été révoquée).
Prison ferme pour Karim Bouderbane, auteur de 3 vols dans le centre de Jeumont
Déjà recherché par les services de police pour des faits similaires, Karim Bouderbane a été interpellé ce jeudi, à 2 h 45, alors qu’il s’était introduit par effraction dans le Kiosque à pizzas, situé rue de Lessines. À l’arrivée des forces de l’ordre, le « Jeumontois de papier », soucieux de ne pas laisser de trace, fouillait le commerce, les mains recouvertes de chaussettes.
Âgé de 34 ans, Karim Bouderbane a été placé en garde à vue puis jugé, en comparution immédiate, vendredi dernier au tribunal correctionnel d’Avesnes. Il a notamment dû répondre de vol sur personne vulnérable (commis le 31 juillet dans le centre de Jeumont pour un préjudice de 140 €) et du vol par effraction du magasin Atol, le 25 août. Plusieurs paires de lunettes et une télévision avaient alors été dérobées au commerce du centre-ville. Un butin qui a en partie été retrouvé suite à l’interpellation de l’individu, visiblement membre d’un groupe de voleurs qui sévissaient depuis plusieurs semaines dans le centre jeumontois.
Pour ces faits, il a été condamné à une peine de six mois de prison et à la révocation d’un sursis de six mois, ramenant sa peine à un an de détention, avec mandat de dépôt.
Des femmes voilées refoulées à l’entrée d’une école maternelle en Corse
Cinq femmes voilées ont été interdites d’entrer dans une école maternelle de Bonifacio en Corse, lundi 5 septembre, par des parents d’élèves.
Lundi 5 septembre, plusieurs parents d’élèves ont bloqué l’accès à une école maternelle de Bonifacio en Corse, à cinq femmes voilées « portant une djellaba et un voile sur les cheveux », selon l’un de ces parents d’élèves.
lCorse-Matin rapporte que a gendarmerie et la direction de l’école maternelle ont du intervenir, et qu’une réunion-débat est prévue en mairie. Les parents d’élèves réclament « une explication », selon le quotidien, car ils estiment que leurs « enfants sont réprimandés si l’on voit leur croix ».
Les États-Unis ont bien piraté l’Élysée en 2012
En 2012 les systèmes informatiques de l’Élysée avaient été la cible de 2 importantes attaques informatiques dont une entre l’élection de François Hollande et son intronisation, en mai. Les données présentes sur les ordinateurs de collaborateurs de Nicolas Sarkozy avaient ainsi pu être aspirées. Aujourd’hui Bernard Barbier, l’ancien directeur technique de la DGSE, vient de confirmer les soupçons : les États-Unis sont bien à l’origine de ce piratage. « Le responsable de la sécurité informatique de l’Elysée était un ancien de ma direction à la DGSE. Il nous a demandé de l’aide. On a vu qu’il y avait un malware. En 2012, nous avions davantage de moyens et de puissance techniques pour travailler sur les métadonnées. J’en suis venu à la conclusion que cela ne pouvait être que les Etats-Unis » a-t-il indiqué. Les États-Unis avaient à l’époque nié toute implication mais lors d’un séjour auprès de ses homologues américains, Bernard Barbier avait reçu les confidences de Keith Alexander (directeur de la NSA) lui confessant qu’il était déçu car il pensait que jamais on ne les détecterait et d’ajouter : « Vous êtes quand même bons ». Bernard Barbier prend soin de conclure par son étonnement : « Les grands alliés, on ne les espionnait pas. Le fait que les Américains cassent cette règle, ça a été un choc. ».
Qu’est-ce que ce serait si on n’était pas de « grands alliés » ?
Etranger
Europe
Allemagne : le représentant local du judaïsme politique effrayé de la montée de l’AfD
Un an après la décision d’Angela Merkel d’ouvrir grand l’Allemagne et accessoirement l’Europe aux envahisseurs, le parti de tendance populiste anti-invasion, l’AfD (« Alternative für Deutschland ») a remporté un succès électoral important dans une région de l’ex-RDA communiste, infligeant un camouflet au parti de la chancelière, la CDU, à un an des législatives. Avec 21%, selon les sondages à la sortie des bureaux de vote, le petit parti né en 2013 devance la CDU d’Angela Merkel, pourtant élue de la région, qui se classe troisième avec 19 à 20 % des voix ; les sociaux-démocrates du SPD arrivant en tête dans le Mecklembourg-Poméranie occidentale avec environ 30 % des voix.
Les représentants locaux du judaïsme politique ne cachent pas leur déception et même leur inquiétude face à la poussée de ce nouveau mouvement même si on se souvient que l’AfD est traversée par des courants qui ne lui sont pas tous hostile (voir l’affaire Wolfgang Gedeon). Ainsi, avant même les résultats, le président du Conseil central des Juifs d’Allemagne Josef Schuster a jugé « effrayante » la montée des intentions de vote pour le parti de droite populiste AfD ; ajoutant : « les électeurs ne réalisent pas qu’ils vont voter pour un parti qui ne veut pas se différencier de l’extrême droite ». Selon Josef Schuster, ce parti qui connaît un essor considérable depuis un an et la décision de la chancelière Angela Merkel d’accueillir en masse les réfugiés « ne présente que des slogans et aucune solution ».
Néanmoins, pour notre part, tout ce qui a pour effet d’effrayer un représentant du judaïsme politique, aurait plutôt tendance à nous rassurer. Allez savoir pourquoi…
Allemagne : un envahisseur meurt en tentant de mettre le feu à sa femme
Selon la police, un envahisseur logeant dans un foyer allemand est décédé jeudi, alors qu’il tentait de mettre le feu à sa femme. Cette dernière est gravement blessée et l’incendie a ravagé une partie du bâtiment. L’homme de 45 ans dont la nationalité n’a pas été divulguée, était déjà connu de la police, notamment des autorités de Ruedesheim sur Rhin (Hesse). La femme qui était séparée de son mari a été transportée à l’hôpital par hélicoptère. Mais 2 autres personnes ont également été blessées dans l’incendie du bâtiment qui abritait 14 personnes.
L’afflux d’un million d’envahisseurs l’an passé, pseudo demandeurs d’asile, et déjà de plus de 300 000 cette année contraint les autorités à réquisitionner des auberges, des salles de sport ou des casernes de l’armée, où les conditions de promiscuité suscite des violences et surtout de graves nuisances et risques pour les populations environnantes.
Monde
Syrie : série d’attaques terroristes de l’État Islamique contre le régime
Une série d’attentats revendiqués par le groupe jihadiste État Islamique a ensanglanté lundi plusieurs villes de Syrie alors que lors du G20, les discussions russes et américaines sur une sortie du conflit n’ont abouti à un accord.
L’attaque la plus meurtrière a provoqué la mort d’au moins 35 personnes à Tartous, bastion du régime sur la Méditerranée. Elle a été menée sur un pont à l’aide d’une voiture piégée et d’un kamikaze, qui a déclenché sa ceinture d’explosifs lorsque des personnes se sont rassemblées pour secourir les blessés de la première explosion.
Dans le Nord-Est, au moins 8 personnes ont été tuées également par un kamikaze circulant à moto à Hassaké, ville tenue quasiment entièrement par les milices kurdes mais où le régime est également présent. Les autres explosions ont causé la mort de 4 personnes à Homs et d’une autre sur une route à l’Ouest de Damas.
Ces attaques suicide simultanées, conformes au mode opératoire des jihadistes, ont donc fait au moins 48 morts dans des zones du pays contrôlées par le régime ou les milices kurdes. Elles sont survenues au lendemain d’une sévère défaite de l’État islamique qui a été chassé par les forces turques alliées à des rebelles syriens des dernières positions qu’il tenait le long de la frontière turque en Syrie. Mais ces explosions sont aussi le fruit d’une stratégie adoptée par le groupe islamo-terroriste depuis le début de l’année, qui consiste à frapper les régions sous contrôle des forces loyales à Bachar el-Assad pour séduire les opposants au régime en démontrant la capacité du groupe à le frapper.
Corée du Nord : Pyongyang multiplie les tests de missiles balistiques
Pyongyang a lancé trois missiles qui se sont abimés en mer du Japon, des missiles d’une portée de 1000 km, selon la Corée du Sud, qui suit de très près chaque essai nucléaire ou balistique de sa voisine. « Sachant que les trois missiles ont touché presque le même endroit au même moment, a déclaré Tomomi Inada, ministre japonaise de la Défense, je pense que leur technologie s’est améliorée très nettement ».
La Corée du Nord a lancé près de 20 missiles depuis le début de l’année. Pyongyang a également procédé en janvier à son quatrième essai nucléaire, suivi en février par un tir de fusée. Ces tirs réussis rapprochent Pyongyang de la capacité de sanctuarisation de son territoire. Mais ils interviennent également 2 semaines après le lancement d’un projectile par un sous-marin nord-coréen montrant sa capacité offensive. En effet, l’engin avait parcouru un demi-millier de kilomètres en direction du Japon, soit une nette avancée dans les programmes balistiques nord-coréens. Une véritable capacité SLBM (« Missile mer-sol balistique stratégique) ferait monter d’un cran la menace nucléaire nord-coréenne, en ce que Pyongyang pourrait porter sa dissuasion bien au-delà de la péninsule coréenne.
Vidéo
Sur les traces de Jeune nation : Pierre Sidos et l’Oeuvre française en 1980
https://www.youtube.com/watch?v=RIaMdYitdG0
Ephéméride nationaliste
6 septembre 1955 : mort de Maurice Pujo (biographie)
Agenda
Samedi 10 septembre 2016, conférence d’Yvan Benedetti, directeur de Jeune Nation
Le samedi 10 septembre 2016, permanence nationaliste de rentrée de Bourgogne Nationaliste avec le groupe militant bourguignon du Parti Nationaliste Français, qui sera suivi d’une conférence d’Yvan Benedetti, directeur de Jeune Nation.
© Jeune nation – 2016
Deborah Kip et ses enfants, 1630, Pierre Paul Rubens (National Gallery of Art – Washington)